Le Groupement des Éditeurs de Presse de côte d’Ivoire (GEPCI) a été reçu en audience hier mercredi 10 juillet dernier par la ministre de la Communication Affoussiata Bamba Lamine.
Entre autres sujets abordés, figurent les préoccupations des patrons de presse, énumérées en quatre points. À savoir la subvention de 6 mois d’impression des journaux, la répartition équitable de la manne financière de l’État à l’ensemble de la presse, le recouvrement des 400.000.000 de Fcfa dus aux entreprises de presse par les annonceurs et enfin la ratification de la convention de florence et de Naïrobi relative à la fiscalité.
Pour Amédé Assi, président du GEPCI, l’État semble faire de l’injustice quand il s’agit de venir en aide à la presse. «L’État nous impose d’être à jour sur plusieurs points notamment la convention collective, le paiement des impôts et de la CNPS. Nous estimons que nous sommes la seule corporation à qui l’État fait de telles obligations», s’est-il justifié à sa sortie d’audience.
En attendant que l’État examine en détails ces préoccupations, le GEPCI rappelle à l’État sa promesse de janvier dernier qui est de subventionner, la presse avant la fin de l’année 2013.
Elysée LATH
Entre autres sujets abordés, figurent les préoccupations des patrons de presse, énumérées en quatre points. À savoir la subvention de 6 mois d’impression des journaux, la répartition équitable de la manne financière de l’État à l’ensemble de la presse, le recouvrement des 400.000.000 de Fcfa dus aux entreprises de presse par les annonceurs et enfin la ratification de la convention de florence et de Naïrobi relative à la fiscalité.
Pour Amédé Assi, président du GEPCI, l’État semble faire de l’injustice quand il s’agit de venir en aide à la presse. «L’État nous impose d’être à jour sur plusieurs points notamment la convention collective, le paiement des impôts et de la CNPS. Nous estimons que nous sommes la seule corporation à qui l’État fait de telles obligations», s’est-il justifié à sa sortie d’audience.
En attendant que l’État examine en détails ces préoccupations, le GEPCI rappelle à l’État sa promesse de janvier dernier qui est de subventionner, la presse avant la fin de l’année 2013.
Elysée LATH