En début d’année 2013, le gouverneur du District Autonome d’Abidjan, Robert Beugré Mambé avait fait un discours-message à ses frères, amis et compatriotes d’Abidjan. A son début, le message fait émotion, où le gouverneur fait partager sa foi en l’avenir du District Autonome d’Abidjan, belle capitale économique de la Côte d’Ivoire. La stratégie du discours-message de Robert Beugré Mambé est simple : « que ceux qui ont les yeux de l’esprit voient ». Le discours-message passe aussitôt à l’offensive : faire du District d’Abidjan, ‘’la perle des lagunes » et la plus belle capitale économique d’Afrique. Dans ce cas, il faut rendre au gouverneur du District ce qui lui revient. Ses actions cohérentes pour le développement social d’Abidjan et ses profondes ambitions de bonheur pour ses amis, frères, sœurs du District d’Abidjan. Aux autres africains vivant dans le District d’Abidjan, Robert Beugré a indiqué que le ‘’beau’’ le ‘’vrai’’ et le ‘’juste’’ n’ont jamais disparu du district d’Abidjan, dominé par le peuple Atchan, dont l’organisation sociale, tourne dans sa forme profonde, autour de la solidarité et de l’humanisme. Cependant, le gouverneur dans son discours-message 2013 est resté politiquement honnête : A ses amis, frères, sœurs et aux autres africains, Robert Beugré Mambé a dit qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Ce qui existe, a existé. Et, ce qui existera, existe déjà. Dans ce discours-message de 2013 du gouverneur, tout se passe comme si Robert Beugré Mambé, célébrait une messe, où les dernières phases étaient très pathétiques. A ses amis, frères, sœurs, le gouverneur a ramené tout le monde dans l’espace-temps, où tout homme se définit, selon la ‘’longueur’’ la ‘’hauteur’’ la ‘’largeur’’ la ‘’profondeur’’, le passé, le présent, l’avenir. Beugré Mambé, veut simplement dire aux populations du district autonome d’Abidjan, qu’ils doivent rester humble et jouer le rôle essentiel, en s’effaçant devant la grandeur de Dieu, pour faire entrer le district autonome d’Abidjan, dans l’éternité de la « perle des lagunes».
Ben Ismaël
Ben Ismaël