Korhogo - A l'initiative de la préfecture et de l'USAID (Agence américaine de développement), les acteurs de la société civile de Korhogo ont bénéficié, de jeudi à samedi, d'un atelier de renforcement de capacités, pour mieux exercer un contrôle citoyen des actions et décisions du pouvoir public dans un contexte de bonne gouvernance.
L'objectif étant de les aider à mieux comprendre les différents aspects de la bonne gouvernance, pour renforcer leur capacité d'action et de contrôle, les participants, notamment des guides religieux, des dirigeants d'ONG et des responsables d'associations, ont été instruits sur sept thématiques.
Il s'agit de l'éthique, de la corruption, des devoirs de l'agent du service public, du lobbysme, des ressources publiques et de la dénonciation.
Pour chaque thématique, le formateur, M. Christian Bardeleau, a développé les concepts clefs, avant d'enseigner l'usage des instruments d'appréciation, appelés lentilles, pour l'analyse des cas.
"C'est un bagage que vous avez pour prendre l'autoroute de la bonne gouvernance", a-t-il souligné au terme de la formation, exhortant les participants à une bonne application des connaissances acquises pour parvenir à la dénonciation des actions et décisions opposées à l'intérêt général et au bien-être des populations.
Des participants, tels que Mme Sorho Valérie, directrice de l'ONG "Animation rurale de Korhogo", M. Soro Drissa du Réseau des éducateurs aux droits humains (REDH-CI) et M. Silué Moussa, secrétaire général du Collectif des associations de jeunesses de Korhogo, ont salué l'initiative de l'atelier qui leur a permis d'apprendre beaucoup.
"Maintenant, je suis capable d'analyser les actions des gouvernants et de les interpeller", a déclaré Mme Sorho Valérie qui recommande la mise en place d'une plate-forme des bénéficiaires de la formation, pour plus d'efficacité d'action.
M. Silué Moussa estime que cet atelier se présente comme la conclusion de toutes les rencontres auxquelles il a participé sur la bonne gouvernance.
"Le contenu est bon, il répond aux besoins du moment", a noté, pour sa part, M. Soro Drissa qui a préconisé l'implication du Secrétariat national eu renforcement des capacités et à la bonne gouvernance dans ce genre d'atelier, pour instruire la société civile et lui faciliter sa mission de contrôle.
L'objectif étant de les aider à mieux comprendre les différents aspects de la bonne gouvernance, pour renforcer leur capacité d'action et de contrôle, les participants, notamment des guides religieux, des dirigeants d'ONG et des responsables d'associations, ont été instruits sur sept thématiques.
Il s'agit de l'éthique, de la corruption, des devoirs de l'agent du service public, du lobbysme, des ressources publiques et de la dénonciation.
Pour chaque thématique, le formateur, M. Christian Bardeleau, a développé les concepts clefs, avant d'enseigner l'usage des instruments d'appréciation, appelés lentilles, pour l'analyse des cas.
"C'est un bagage que vous avez pour prendre l'autoroute de la bonne gouvernance", a-t-il souligné au terme de la formation, exhortant les participants à une bonne application des connaissances acquises pour parvenir à la dénonciation des actions et décisions opposées à l'intérêt général et au bien-être des populations.
Des participants, tels que Mme Sorho Valérie, directrice de l'ONG "Animation rurale de Korhogo", M. Soro Drissa du Réseau des éducateurs aux droits humains (REDH-CI) et M. Silué Moussa, secrétaire général du Collectif des associations de jeunesses de Korhogo, ont salué l'initiative de l'atelier qui leur a permis d'apprendre beaucoup.
"Maintenant, je suis capable d'analyser les actions des gouvernants et de les interpeller", a déclaré Mme Sorho Valérie qui recommande la mise en place d'une plate-forme des bénéficiaires de la formation, pour plus d'efficacité d'action.
M. Silué Moussa estime que cet atelier se présente comme la conclusion de toutes les rencontres auxquelles il a participé sur la bonne gouvernance.
"Le contenu est bon, il répond aux besoins du moment", a noté, pour sa part, M. Soro Drissa qui a préconisé l'implication du Secrétariat national eu renforcement des capacités et à la bonne gouvernance dans ce genre d'atelier, pour instruire la société civile et lui faciliter sa mission de contrôle.
