Comme annoncé à la première réunion du conseil municipal, le maire Georges Philippe Ezaley a entamé des visites pour s’enquérir des réalités des services de sa commune. Après les forces de sécurité, la semaine dernière, le lundi 29 juillet, le maire s’est rendu au marché municipal de la première capitale de la Côte d’Ivoire. C’est une infrastructure en péril qu’il a trouvée, navré de voir des personnes, plutôt des partenaires travailler dans des conditions plus que déplorables.
En effet, le marché, vieux de plus de vingt-cinq ans, souffre de bien de maux : Toiture trouée, caniveaux bouchés distillant une odeur malodorante, à côté de tas d’ordures déposées ici et là souvent à quelques pas de magasins abritant des restaurants. L’état des WC et douches publics, le sol boueux par endroits sont passés sous l’œil curieux du maire et sa délégation et provoquant du dégoût. A côté de ce tableau noir, des commerçantes occupent, de façon anarchique, les espaces aussi bien à l’intérieur du marché qu’a l’extérieur. Certaines préfèrent rester en dehors de l’enceinte où elles ont « créé » un autre marché au détriment de celles installées à l’intérieur. Par ce comportement, elles ont réduit la voie menant au quartier France, si bien qu’elle est souvent embouteillée. Pourtant, selon les contrôleurs du marché, il y a des places disponibles à l’intérieur. Pour Soro Fatou, l’une d’entre elles, ce n’est pas le cas. Elle a plutôt interpellé le maire : « Monsieur le maire, je souhaite que vous reconstruisiez un nouveau marché en hauteur, pour permettre à toutes les femmes d’avoir de la place. » Le maire s’est aussi rendu à l’abattoir municipal qui n’est pas non plus au mieux de sa forme. Toutes choses auxquelles le maire Ezaley compte apporter des solutions au regard de son projet pour le bien-être de la population de Grand-Bassam et surtout pour que ce patrimoine de l’Unesco puisse porter fièrement ce prestige. Pour lui, « Bassam doit changer ».
En effet, le marché, vieux de plus de vingt-cinq ans, souffre de bien de maux : Toiture trouée, caniveaux bouchés distillant une odeur malodorante, à côté de tas d’ordures déposées ici et là souvent à quelques pas de magasins abritant des restaurants. L’état des WC et douches publics, le sol boueux par endroits sont passés sous l’œil curieux du maire et sa délégation et provoquant du dégoût. A côté de ce tableau noir, des commerçantes occupent, de façon anarchique, les espaces aussi bien à l’intérieur du marché qu’a l’extérieur. Certaines préfèrent rester en dehors de l’enceinte où elles ont « créé » un autre marché au détriment de celles installées à l’intérieur. Par ce comportement, elles ont réduit la voie menant au quartier France, si bien qu’elle est souvent embouteillée. Pourtant, selon les contrôleurs du marché, il y a des places disponibles à l’intérieur. Pour Soro Fatou, l’une d’entre elles, ce n’est pas le cas. Elle a plutôt interpellé le maire : « Monsieur le maire, je souhaite que vous reconstruisiez un nouveau marché en hauteur, pour permettre à toutes les femmes d’avoir de la place. » Le maire s’est aussi rendu à l’abattoir municipal qui n’est pas non plus au mieux de sa forme. Toutes choses auxquelles le maire Ezaley compte apporter des solutions au regard de son projet pour le bien-être de la population de Grand-Bassam et surtout pour que ce patrimoine de l’Unesco puisse porter fièrement ce prestige. Pour lui, « Bassam doit changer ».