Les agents du Conseil national de la presse (Cnp), perplexes ce matin du 12 août, ont eu du mal à accéder à leurs bureaux, parce que investis par des agents de la police scientifique sur les traces d’indésirables visiteurs nocturnes.
En effet, les bureaux du Cnp ont été cabriolés hier au environ de 3 heures du matin. Le bilan de ce braquage fait état de 7 ordinateurs emportés, dont celui du président Raphaël Lapké et de sa secrétaire général, Amoikon Sidonie. Le service presse, particulièrement visé, a perdu 5 ordinateurs. Les tiroirs et placards ont été également éventrés. La police scientifique étant encore présente sur les lieux en train de récolter les empruntes et autres indices du crime, un état exhaustif des pertes n’a pu être établi.
Au dire du vigile, seul au moment des faits du fait que son second est malade, il n’a pu rien faire contre les agresseurs apparus à bord d’un véhicule et probablement armés, alors que, lui, ne l’était pas. «C’est aux environ de 3 heures du matin que ces individus, après avoir eu accès à la cours, ont commencés à fracasser les portes. Notamment ceux des bureaux du Service presse, parce que facile d’accès. Ce sont les bruits des portent en train d’être cassées qui m’ont alerté. Je ne les ai pas vus venir, car j’étais au sous-sol, où je suis resté sans bruit, de peur qu’ils me repèrent. Je ne me suis donc pas hasardé à remonter, car les voleurs étaient certainement à la recherche d’un éventuel vigile sur les lieux. Les vas-et-viens d’un d’entre eux, assurément le guetteur, en disait long sur leur intentions», raconte le gardien» poursuit-il, avant de terminer :
«Si je m’en tiens aux pas et au bruit qu’ils faisaient, ils devaient être deux au moins.. J’ai réussi à m’extraire de ma cachette et j’ai commencé à alerter le voisinage en criant au secours. C’est à ce moment que les bandits, un peu pris de cours, ont quitté les lieux en trombe à bord de leur véhicule».
Hier, ce cambriolage n’a pas empêché le fonctionnement normal du Cnp, comme en témoigne la secrétaire générale : «Même hors de leurs bureaux, les agents ont fait la revue de presse. C’est seulement le fonctionnement administratif qui sera un peu ralenti».
Quant aux bandits, ils courent toujours.
Djè Abel
En effet, les bureaux du Cnp ont été cabriolés hier au environ de 3 heures du matin. Le bilan de ce braquage fait état de 7 ordinateurs emportés, dont celui du président Raphaël Lapké et de sa secrétaire général, Amoikon Sidonie. Le service presse, particulièrement visé, a perdu 5 ordinateurs. Les tiroirs et placards ont été également éventrés. La police scientifique étant encore présente sur les lieux en train de récolter les empruntes et autres indices du crime, un état exhaustif des pertes n’a pu être établi.
Au dire du vigile, seul au moment des faits du fait que son second est malade, il n’a pu rien faire contre les agresseurs apparus à bord d’un véhicule et probablement armés, alors que, lui, ne l’était pas. «C’est aux environ de 3 heures du matin que ces individus, après avoir eu accès à la cours, ont commencés à fracasser les portes. Notamment ceux des bureaux du Service presse, parce que facile d’accès. Ce sont les bruits des portent en train d’être cassées qui m’ont alerté. Je ne les ai pas vus venir, car j’étais au sous-sol, où je suis resté sans bruit, de peur qu’ils me repèrent. Je ne me suis donc pas hasardé à remonter, car les voleurs étaient certainement à la recherche d’un éventuel vigile sur les lieux. Les vas-et-viens d’un d’entre eux, assurément le guetteur, en disait long sur leur intentions», raconte le gardien» poursuit-il, avant de terminer :
«Si je m’en tiens aux pas et au bruit qu’ils faisaient, ils devaient être deux au moins.. J’ai réussi à m’extraire de ma cachette et j’ai commencé à alerter le voisinage en criant au secours. C’est à ce moment que les bandits, un peu pris de cours, ont quitté les lieux en trombe à bord de leur véhicule».
Hier, ce cambriolage n’a pas empêché le fonctionnement normal du Cnp, comme en témoigne la secrétaire générale : «Même hors de leurs bureaux, les agents ont fait la revue de presse. C’est seulement le fonctionnement administratif qui sera un peu ralenti».
Quant aux bandits, ils courent toujours.
Djè Abel