Des installations anarchiques et la prolifération des maquis ainsi que des structures dites alimentaires précaires ne donnent pas du tout une image reluisante au secteur de la restauration en Côte d’Ivoire. Ce qui n’est ni bénéfique pour le pays ni pour les professionnels de ce secteur d’activité économique.
Or, le tourisme alimentaire doit aspirer aux normes et règles internationales afin de permettre aux touristes du monde de renouer avec la destination Côte d’Ivoire. A quoi est donc due cette situation ? C’est à cette préoccupation que les responsables de l’Autorité de Régulation de la Restauration et des Métiers de l’Alimentation (ARRMA), ont répondu vendredi dernier. Pour le président de cette structure ,Tonian Amalaman Léon, « c’est sur l’impulsion du Ministère du Tourisme que notre structure s’est engagée à lutter contre le fléau d’espaces de restauration et autres alimentation qui ne présentent pas l’hygiène requise ». Selon lui, c’est l’absence de réglementation des sites, de l’alimentation de référence, et surtout des différentes structures professionnelles qui en est la cause principale.
C’est donc pour pallier ces insuffisances que le Ministère du Tourisme ivoirien a souhaité concéder la gestion et l’organisation de ce secteur à des spécialistes en matière d’hygiène alimentaire. L’ARRMA a la responsabilité essentielle de l’organisation et de la promotion des activités de restauration et des débits de boissons en vue d’assainir le secteur et offrir un plateau technique de qualité pour le bien-être des populations. En outre, elle est également chargée de professionnaliser ce secteur d’activité et de permettre aux acteurs de bénéficier d’un cadre pour l’exercice de leur fonction, tout en s’inscrivant dans une dynamique de pérennisation des services de qualité offerts à la clientèle. Pour canaliser ces activités, elle s’est chargée de labelliser les établissements de restauration et assimilés, tout en incluant d’autres professionnels. La Poste de Côte d’Ivoire, partenaire et représentée à cette occasion par son Directeur général Mamadou Konaté, a annoncé que la structure « offrira une base de données d’adresses fiables et certifiées afin de retrouver tous les restaurants qui ont une adresse dans l’annuaire ».
Quant au ministère des Ressources Animales et Halieutiques, il se chargera « d’affirmer la compétivité des produits sur le marché mondial ». La police sanitaire aura pour mission « la surveillance alimentaire, l’assainissement du cadre et veillera au respect des normes de la qualité des services afin de sécuriser la santé des consommateurs et les éléments destinés à la consommation ». Toutes ces structures offrent des opportunités reélles pour pallier l’anarchie en positionnant l’image de la Côte d’Ivoire sur l’échiquier sous régional et international.
Brou François
Or, le tourisme alimentaire doit aspirer aux normes et règles internationales afin de permettre aux touristes du monde de renouer avec la destination Côte d’Ivoire. A quoi est donc due cette situation ? C’est à cette préoccupation que les responsables de l’Autorité de Régulation de la Restauration et des Métiers de l’Alimentation (ARRMA), ont répondu vendredi dernier. Pour le président de cette structure ,Tonian Amalaman Léon, « c’est sur l’impulsion du Ministère du Tourisme que notre structure s’est engagée à lutter contre le fléau d’espaces de restauration et autres alimentation qui ne présentent pas l’hygiène requise ». Selon lui, c’est l’absence de réglementation des sites, de l’alimentation de référence, et surtout des différentes structures professionnelles qui en est la cause principale.
C’est donc pour pallier ces insuffisances que le Ministère du Tourisme ivoirien a souhaité concéder la gestion et l’organisation de ce secteur à des spécialistes en matière d’hygiène alimentaire. L’ARRMA a la responsabilité essentielle de l’organisation et de la promotion des activités de restauration et des débits de boissons en vue d’assainir le secteur et offrir un plateau technique de qualité pour le bien-être des populations. En outre, elle est également chargée de professionnaliser ce secteur d’activité et de permettre aux acteurs de bénéficier d’un cadre pour l’exercice de leur fonction, tout en s’inscrivant dans une dynamique de pérennisation des services de qualité offerts à la clientèle. Pour canaliser ces activités, elle s’est chargée de labelliser les établissements de restauration et assimilés, tout en incluant d’autres professionnels. La Poste de Côte d’Ivoire, partenaire et représentée à cette occasion par son Directeur général Mamadou Konaté, a annoncé que la structure « offrira une base de données d’adresses fiables et certifiées afin de retrouver tous les restaurants qui ont une adresse dans l’annuaire ».
Quant au ministère des Ressources Animales et Halieutiques, il se chargera « d’affirmer la compétivité des produits sur le marché mondial ». La police sanitaire aura pour mission « la surveillance alimentaire, l’assainissement du cadre et veillera au respect des normes de la qualité des services afin de sécuriser la santé des consommateurs et les éléments destinés à la consommation ». Toutes ces structures offrent des opportunités reélles pour pallier l’anarchie en positionnant l’image de la Côte d’Ivoire sur l’échiquier sous régional et international.
Brou François