Abidjan, Fous rires, cris de joie, applaudissements nourris : plusieurs centaines d’habitants de Yopougon ont été émerveillés par Aya de Yopougon, long métrage en dessin animé qui a été projeté pour la première fois dans "sa commune", dimanche, à la célèbre place Ficgayo transformée pour une soirée en salle de cinéma géante.
"Le film est vraiment bien, très intéressant ; je suis vraiment contente de l’avoir vu. Même si c’est du dessin animé, c’est pour les grands. Je reconnais mon SICOGI natal dans ce film!", s’exclame, en joie, Sylvie, une jeune fille venue du quartier SICOGI de Yopougon pour regarder Aya de Yopougon.
Le film d’animation en 2D, une adaptation de la bande déssinée acronyme, est signé de la réalisatrice ivoirienne Marguerite Abouet, et raconte l’histoire d’Aya, belle jeune fille de 19 ans, qui vit à Yopougon quartier populaire de la capitale.
Cette brillante élève qui aspire à devenir médecin doit éviter les nombreux écueils du printemps de la vie. Le long métrage met également en scène la vie des années 1970 à Abidjan, l’époque du ’’miracle ivoirien’’. Le tout, tissé dans un humour décapant, mais qui dépeint la société ivoirienne avec un brin de satire très à-propos.
Le maire de la commune, Koné Kafana Gilbert, qui aussi suivi le film en même temps que ces administrés, a confié à l’AIP sa "joie" d’avoir vu "un film aussi gai et agréable à voir".
"Je suis convaincu ça va en rajouter à l’image de marque de notre cité à travers le monde, et emmener des gens de partout dans le monde à venir découvrir la vie à Yopougon, avec les parents d’Aya", se réjouit-il, au bout de quatre-vingt-quatre minutes de spectacle hilarant et plein d’émotions, jalonné par des éclats de rire en chœur, à répétition, au sein du public.
"Venir à Yopougon était incontournable pour nous", a pour sa part signifié une représentante de la réalisatrice. A la satisfaction des spectateurs comme Adjoua, venue d’Andokoi, qui plaisante en se présentant comme la "cousine d’Aya de Yopougon". "Je suis très heureuse de l’avoir vu enfin, ma cousine Aya. Ce film nous dévoile nos petits coups bas entre nous les filles", rigole-t-elle.
Quant à Joseph, de Wassakara, il en redemande : "malheureusement, il n’y a plus de salle de cinéma à Yopougon, sinon, si on pouvait projeter ça encore une deuxième fois, je n’allais pas rater", promet-il.
(AIP)
tm
"Le film est vraiment bien, très intéressant ; je suis vraiment contente de l’avoir vu. Même si c’est du dessin animé, c’est pour les grands. Je reconnais mon SICOGI natal dans ce film!", s’exclame, en joie, Sylvie, une jeune fille venue du quartier SICOGI de Yopougon pour regarder Aya de Yopougon.
Le film d’animation en 2D, une adaptation de la bande déssinée acronyme, est signé de la réalisatrice ivoirienne Marguerite Abouet, et raconte l’histoire d’Aya, belle jeune fille de 19 ans, qui vit à Yopougon quartier populaire de la capitale.
Cette brillante élève qui aspire à devenir médecin doit éviter les nombreux écueils du printemps de la vie. Le long métrage met également en scène la vie des années 1970 à Abidjan, l’époque du ’’miracle ivoirien’’. Le tout, tissé dans un humour décapant, mais qui dépeint la société ivoirienne avec un brin de satire très à-propos.
Le maire de la commune, Koné Kafana Gilbert, qui aussi suivi le film en même temps que ces administrés, a confié à l’AIP sa "joie" d’avoir vu "un film aussi gai et agréable à voir".
"Je suis convaincu ça va en rajouter à l’image de marque de notre cité à travers le monde, et emmener des gens de partout dans le monde à venir découvrir la vie à Yopougon, avec les parents d’Aya", se réjouit-il, au bout de quatre-vingt-quatre minutes de spectacle hilarant et plein d’émotions, jalonné par des éclats de rire en chœur, à répétition, au sein du public.
"Venir à Yopougon était incontournable pour nous", a pour sa part signifié une représentante de la réalisatrice. A la satisfaction des spectateurs comme Adjoua, venue d’Andokoi, qui plaisante en se présentant comme la "cousine d’Aya de Yopougon". "Je suis très heureuse de l’avoir vu enfin, ma cousine Aya. Ce film nous dévoile nos petits coups bas entre nous les filles", rigole-t-elle.
Quant à Joseph, de Wassakara, il en redemande : "malheureusement, il n’y a plus de salle de cinéma à Yopougon, sinon, si on pouvait projeter ça encore une deuxième fois, je n’allais pas rater", promet-il.
(AIP)
tm