Séguéla - Le directeur régional de la Santé de Séguéla (nord-ouest, région du Worodougou), Akui Okomou, a annoncé lundi, l’ouverture d’un bloc opératoire pour le traitement des fistules obstétricales au centre de santé régionale de la localité.
"Le 27 septembre, le bloc opératoire pour le traitement des fistules obstétricales sera ouvert au CHR de Séguéla et les malades pourront y être soignés gratuitement", a annoncé le directeur régional, lors du lancement de la campagne de lutte contre cette maladie par le ministère de la santé et de la lutte contre le sida en, collaboration avec l’ong Yati-fad et l’Aibf (association ivoirienne pour le bien-être familial).
Présidant cette cérémonie de lancement, le député de Séguéla commune, Bakayoko Vaflaly, a salué l’action de yati-fad qui, selon lui, "va redonner espoir aux nombreuses victimes de cette maladie dite maladie de la honte". Il a par ailleurs loué les efforts consentis par le gouvernement ivoirien dans le domaine de la santé.
Cette cérémonie a permis au coordinateur des projets à yati-fad Coulibaly Amara de détecter quatorze porteuses de la maladie dont une enfant de six ans qui selon ses parents traine la maladie depuis sa mutilation génitale à l’âge de deux mois.
Financé par le Fnuap (fond des nations-unies pour la population), cette campagne conduira le ministère et ses partenaires dans les villes de Kani et Morondo après l’étape de Séguéla.
(AIP)
bs/kkl/tm
"Le 27 septembre, le bloc opératoire pour le traitement des fistules obstétricales sera ouvert au CHR de Séguéla et les malades pourront y être soignés gratuitement", a annoncé le directeur régional, lors du lancement de la campagne de lutte contre cette maladie par le ministère de la santé et de la lutte contre le sida en, collaboration avec l’ong Yati-fad et l’Aibf (association ivoirienne pour le bien-être familial).
Présidant cette cérémonie de lancement, le député de Séguéla commune, Bakayoko Vaflaly, a salué l’action de yati-fad qui, selon lui, "va redonner espoir aux nombreuses victimes de cette maladie dite maladie de la honte". Il a par ailleurs loué les efforts consentis par le gouvernement ivoirien dans le domaine de la santé.
Cette cérémonie a permis au coordinateur des projets à yati-fad Coulibaly Amara de détecter quatorze porteuses de la maladie dont une enfant de six ans qui selon ses parents traine la maladie depuis sa mutilation génitale à l’âge de deux mois.
Financé par le Fnuap (fond des nations-unies pour la population), cette campagne conduira le ministère et ses partenaires dans les villes de Kani et Morondo après l’étape de Séguéla.
(AIP)
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