Soubré - A l’initiative du député, Sékouba Soumahoro, le directeur de l’hôpital général de Soubré, Dr Kpaho Bernard était face aux populations de la ‘cité de la Nawa’, samedi, pour leur expliquer la gratuité ciblée des soins de santé.
La séance a eu lieu à la Maison des jeunes, en présence des chefs de communautés et du député. Ce dernier a justifié l’organisation de cette rencontre par l’enjeu de l’importante décision prise par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, pour soulager les populations mais qui est très mal comprise par les bénéficiaires ou alors rencontre d’énormes difficultés dans sa mise en œuvre dans les hôpitaux.
Aussi, pour mettre les uns et les autres au même niveau de compréhension de cette mesure et pour mettre fin à certaines situations déplorables, l’élu a-t-il décidé d’inviter le directeur de l’hôpital afin qu’il explique non seulement la mesure, mais aussi et surtout qu’il donne des réponses précises à certaines préoccupations des usagers de l’hôpital de Soubré.
Satisfait de l’opportunité à lui offerte par le député, Dr Kpaho s’est réjoui d’informer une fois de plus les populations sur la gratuité ciblée, après les tournées déjà effectuées dans les lieux de cultes, dans les communautés et sur les radios de proximité.
Dans son exposé, il a indiqué qu’initié pour soulager les populations, la gratuité concerne notamment les enfants de zéro à cinq ans, et les femmes enceintes. Il a expliqué que les enfants de la tranche d’âge indiquée ne payent ni les consultations, ni les analyses de laboratoire, de radio, d’échographies, de chambres d’hospitalisation, de médicaments.
La gratuité pour les femmes enceintes concerne la consultation prénatale, la prise de sang et d’urine, l’accouchement et en cas de césarienne des kits sont offerts. Pour les autres malades, des prises en charge sont faites pour les premières 48 heures.
Le directeur de l’hôpital a surtout mis l’accent sur le circuit à suivre par les malades pour bénéficier de la gratuité. Il a souligné certaines difficultés liées souvent aux pénuries de poches de sang et à la rupture de stock de médicaments.
En guise de conclusion, Dr Kpaho a invité las usagers de l’hôpital à toujours l’informer en cas de constat de non respect des décisions du Gouvernement.
« J’habite au sein de l’hôpital, mon bureau et mon domicile sont ouverts de jour comme de nuit, je suis là pour vous, alors n’hésitez pas à me saisir chaque fois qu’il y aura des abus, nous allons sévir. Car je n’accepterai jamais qu’à l’hôpital, on vous vole ou qu’on vous humilie. Travaillons la main dans la main en toute confiance et acceptez de dénoncer les brebis galeuses », a-t-il insisté auprès des usagers.
L’exposé a fait place à des échanges avec les populations qui ont posé une série de préoccupations sur le fonctionnement de l’hôpital et les prestations offertes.
La séance a eu lieu à la Maison des jeunes, en présence des chefs de communautés et du député. Ce dernier a justifié l’organisation de cette rencontre par l’enjeu de l’importante décision prise par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, pour soulager les populations mais qui est très mal comprise par les bénéficiaires ou alors rencontre d’énormes difficultés dans sa mise en œuvre dans les hôpitaux.
Aussi, pour mettre les uns et les autres au même niveau de compréhension de cette mesure et pour mettre fin à certaines situations déplorables, l’élu a-t-il décidé d’inviter le directeur de l’hôpital afin qu’il explique non seulement la mesure, mais aussi et surtout qu’il donne des réponses précises à certaines préoccupations des usagers de l’hôpital de Soubré.
Satisfait de l’opportunité à lui offerte par le député, Dr Kpaho s’est réjoui d’informer une fois de plus les populations sur la gratuité ciblée, après les tournées déjà effectuées dans les lieux de cultes, dans les communautés et sur les radios de proximité.
Dans son exposé, il a indiqué qu’initié pour soulager les populations, la gratuité concerne notamment les enfants de zéro à cinq ans, et les femmes enceintes. Il a expliqué que les enfants de la tranche d’âge indiquée ne payent ni les consultations, ni les analyses de laboratoire, de radio, d’échographies, de chambres d’hospitalisation, de médicaments.
La gratuité pour les femmes enceintes concerne la consultation prénatale, la prise de sang et d’urine, l’accouchement et en cas de césarienne des kits sont offerts. Pour les autres malades, des prises en charge sont faites pour les premières 48 heures.
Le directeur de l’hôpital a surtout mis l’accent sur le circuit à suivre par les malades pour bénéficier de la gratuité. Il a souligné certaines difficultés liées souvent aux pénuries de poches de sang et à la rupture de stock de médicaments.
En guise de conclusion, Dr Kpaho a invité las usagers de l’hôpital à toujours l’informer en cas de constat de non respect des décisions du Gouvernement.
« J’habite au sein de l’hôpital, mon bureau et mon domicile sont ouverts de jour comme de nuit, je suis là pour vous, alors n’hésitez pas à me saisir chaque fois qu’il y aura des abus, nous allons sévir. Car je n’accepterai jamais qu’à l’hôpital, on vous vole ou qu’on vous humilie. Travaillons la main dans la main en toute confiance et acceptez de dénoncer les brebis galeuses », a-t-il insisté auprès des usagers.
L’exposé a fait place à des échanges avec les populations qui ont posé une série de préoccupations sur le fonctionnement de l’hôpital et les prestations offertes.