L’Association des professionnels des Ressources humaines de Côte d’Ivoire (APRHCI) a choisi la ville de Yamoussoukro pour organiser la 3ème Université des Ressources humaines. Durant 3 jours, les experts doivent plancher sur «les outils de gestion des Ressources humaines : quels enjeux pour les entreprises modernes ?».
Pour Adou Kouabenan Julien, président de cette Université, les enjeux de ces assisses répondent à l’objectif de redonner de l’allant aux ressources humaines. «Nous voulons redonner aux Ressources humaines leurs lettres de noblesse en Côte d’Ivoire, mais aussi les positionner comme une des disciplines avec laquelle il faudra désormais compter, dans la perspective du projet de société nationale conduit par le gouvernement Ivoirien», a-t-il indiqué à l’ouverture des assises.
A croire Adou Julien, il ne s’agit plus seulement de bien former des générations, il faut leur donner les moyens de s’épanouir et de bénéficier du meilleur que l’on puisse offrir en matière de formation en Ressources humaines, afin de transformer le potentiel en véritable performance pour nos économies. Quant à Sylla Al Housseni, président de l’Association, il a invité l’Etat à jouer son rôle, à savoir œuvrer pour une meilleure amélioration continue de l’environnement économique et social.
«Notre rôle à nous est d’accroître non seulement la compétitivité de nos entreprises, également influer sur les taux d’absorption des jeunes diplômés et singulièrement de cadres confirmés et compétents», a-t-il rappelé. C’est une douzaine de communications seront qui faites au cours de cette rencontre pour maintenir la croissance économique amorcée durant ces deux années et insuffler une dynamique de développement, à l’ensemble des acteurs qui composent le monde économique selon les organisateurs.
Diallo Harry
Pour Adou Kouabenan Julien, président de cette Université, les enjeux de ces assisses répondent à l’objectif de redonner de l’allant aux ressources humaines. «Nous voulons redonner aux Ressources humaines leurs lettres de noblesse en Côte d’Ivoire, mais aussi les positionner comme une des disciplines avec laquelle il faudra désormais compter, dans la perspective du projet de société nationale conduit par le gouvernement Ivoirien», a-t-il indiqué à l’ouverture des assises.
A croire Adou Julien, il ne s’agit plus seulement de bien former des générations, il faut leur donner les moyens de s’épanouir et de bénéficier du meilleur que l’on puisse offrir en matière de formation en Ressources humaines, afin de transformer le potentiel en véritable performance pour nos économies. Quant à Sylla Al Housseni, président de l’Association, il a invité l’Etat à jouer son rôle, à savoir œuvrer pour une meilleure amélioration continue de l’environnement économique et social.
«Notre rôle à nous est d’accroître non seulement la compétitivité de nos entreprises, également influer sur les taux d’absorption des jeunes diplômés et singulièrement de cadres confirmés et compétents», a-t-il rappelé. C’est une douzaine de communications seront qui faites au cours de cette rencontre pour maintenir la croissance économique amorcée durant ces deux années et insuffler une dynamique de développement, à l’ensemble des acteurs qui composent le monde économique selon les organisateurs.
Diallo Harry