Une erreur d’interprétation ? Certainement ! Dans notre édition du samedi dernier, rendant compte d’une assemblée générale de l’association des districts et conseils généraux, le mercredi dernier, nous avons écrit que « Parfait Gohourou dénonce la suppression des conseils généraux ». Il parait plus juste de dire que le directeur général de la décentralisation et du développement local, tout en reconnaissant les bons résultats des conseils généraux et districts, a plutôt expliqué pourquoi ceux-ci ont été supprimés.
«Face à ces résultats, l’on est en droit de s’interroger sur les raisons ou le bien-fondé de la suppression, par le Gouvernement, de ces collectivités territoriales qui ont, dans plusieurs localités, apporté au moins un bien-être aux populations locales », s’était-il interrogé. Et M. Gohourou de répondre ceci : « A cette interrogation, somme toute légitime, je voudrais d’abord vous rassurer que les réformes engagées par le gouvernement, à travers la nouvelle configuration de l’administration territoriale ne découlent pas d’une volonté quelconque d’annihiler les acquis du passé mais plutôt d’une nécessité d’appliquer une vision du développement différente de celle qui a eu cours jusqu’à l’accession du président Alassane Ouattara à la magistrature suprême ».
Il a ajouté que « cette nouvelle vision marquée, en ce qui concerne la décentralisation, par la suppression des villes, des départements, de collectivités territoriales et des districts au profit du maintien des communes et des régions vise, par une simplification de l’organisation administrative, à réduire les types d’entités décentralisées qui passent désormais de cinq (05) à deux (02)».
Augustin Kouyo
«Face à ces résultats, l’on est en droit de s’interroger sur les raisons ou le bien-fondé de la suppression, par le Gouvernement, de ces collectivités territoriales qui ont, dans plusieurs localités, apporté au moins un bien-être aux populations locales », s’était-il interrogé. Et M. Gohourou de répondre ceci : « A cette interrogation, somme toute légitime, je voudrais d’abord vous rassurer que les réformes engagées par le gouvernement, à travers la nouvelle configuration de l’administration territoriale ne découlent pas d’une volonté quelconque d’annihiler les acquis du passé mais plutôt d’une nécessité d’appliquer une vision du développement différente de celle qui a eu cours jusqu’à l’accession du président Alassane Ouattara à la magistrature suprême ».
Il a ajouté que « cette nouvelle vision marquée, en ce qui concerne la décentralisation, par la suppression des villes, des départements, de collectivités territoriales et des districts au profit du maintien des communes et des régions vise, par une simplification de l’organisation administrative, à réduire les types d’entités décentralisées qui passent désormais de cinq (05) à deux (02)».
Augustin Kouyo