Danané - Allochtones et allogènes se sont affrontés au fusil et à la machette dans le village de Guiapleu (ouest, région du Tonkpi), dans une histoire de cabri, faisant trois blessés.
Les sieurs Kawoudo Simplice, 25 ans, Gongo François, 22 ans, et Koné, environ 23 ans, ont été blessés à la machette ou par balles et internés à l'hôpital général de Danané, à la suite d'une rixe portant sur une chèvre.
Kawouo Simplice, ayant constaté la disparition d'une de ses chèvres, entrepris une recherche qui le conduit au domicile d'un certain Michel, un paysan lobi à qui il explique qu'il est à la recherche de sa bête égarée.
Pour toute réponse, a-t-il soutenu, ce dernier sort une arme soigneusement dissimulée sous son habit et tire à bout portant sur son visiteur qui s'écroule.
Grièvement blessé, Kawoudo Simplice ameute le village, ses parents qui en représailles organisent une battue à la recherche du paysan. C'est ainsi qu'au détour d'une ruelle, Gongo François est surpris par la meute qui le bat copieusement en le blessant à la tête. La victime n'a eu sa vie sauve que grâce à l'agilité de ses jambes et se réfugie chez un certain Koné.
Ayant appris plus tard du refuge de Gongo chez le jeune sénoufo, le groupe en furie, l'accusant de complicité, va lui tendre une embuscade et lui porter des coups en le blessant à la tête.
Les autorités politiques, administratives sécuritaires informées de ces violences vont se déporter sur le lieu pour appeler les protagonistes à l'apaisement, non sans interpeler le principal mis en cause, Michel, pour une nécessité d'enquête en vue de situer les responsabilités.
(AIP)
Eb/ik/kp
Les sieurs Kawoudo Simplice, 25 ans, Gongo François, 22 ans, et Koné, environ 23 ans, ont été blessés à la machette ou par balles et internés à l'hôpital général de Danané, à la suite d'une rixe portant sur une chèvre.
Kawouo Simplice, ayant constaté la disparition d'une de ses chèvres, entrepris une recherche qui le conduit au domicile d'un certain Michel, un paysan lobi à qui il explique qu'il est à la recherche de sa bête égarée.
Pour toute réponse, a-t-il soutenu, ce dernier sort une arme soigneusement dissimulée sous son habit et tire à bout portant sur son visiteur qui s'écroule.
Grièvement blessé, Kawoudo Simplice ameute le village, ses parents qui en représailles organisent une battue à la recherche du paysan. C'est ainsi qu'au détour d'une ruelle, Gongo François est surpris par la meute qui le bat copieusement en le blessant à la tête. La victime n'a eu sa vie sauve que grâce à l'agilité de ses jambes et se réfugie chez un certain Koné.
Ayant appris plus tard du refuge de Gongo chez le jeune sénoufo, le groupe en furie, l'accusant de complicité, va lui tendre une embuscade et lui porter des coups en le blessant à la tête.
Les autorités politiques, administratives sécuritaires informées de ces violences vont se déporter sur le lieu pour appeler les protagonistes à l'apaisement, non sans interpeler le principal mis en cause, Michel, pour une nécessité d'enquête en vue de situer les responsabilités.
(AIP)
Eb/ik/kp
