Le comité artistique international du Masa [Marché des arts et du spectacle africain] tient depuis le 3 octobre sa première réunion à Abidjan, au siège dudit marché sis au Plateau. Venus d’Europe et d’Afrique, des experts dans le domaine de la création (et promotion) artistique auront à réfléchir jusqu’au 5 octobre 2013 sur le contenu artistique du prochain Masa – prévu du 1er au 8 mars 2014. Le contenu du volet «off» du Masa sera lui mis en place le 15 octobre prochain.
Pour cette «relance» du Masa qui sera à sa 8è édition après une édition spéciale en 2007, Yacouba Konaté, le directeur général par intérim du marché entend mettre l’accent sur la dimension festival du Masa qui aura des scènes à Grand Bassam et à Bouaké, tel que suggéré par le ministre de la Culture et de la Francophonie – président du Conseil d’administration du Masa.
«Si les engagements financiers annoncés arrivent, et arrivent à temps, nous vous donnons l’assurance que le Masa 2014 sera et une belle fête populaire et un rendez-vous de l’innovation artistique», espère Yacouba Konaté. Ce sont 1000 professionnels dont 400 artistes qui sont attendus.
En plus de donner au marché une dimension Festival qui est de «décentraliser de façon rigoureuse», selon Yacouba Konaté ; les autres innovations concernent l’introduction du conte et de l’humour, une double programmation des spectacles (In et Off) et la prestation d’artistes vedettes nationales et régionales.
Avec pour thème «Les arts du spectacle face au défi du numérique», le Masa – en tant que marché – organisera des rencontres professionnelles (artistes et programmeurs).
La représente de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif), Mme Huguette Malamba Ambwil (spécialiste des programmes, chargée des arts visuels et du spectacle vivant – Dddc) a salué le «défi de relancer en un temps record le Masa» par les autorités ivoiriennes. Pour elle, le Masa doit être une vitrine de production des artistes et doit contribuer à l’insertion de ceux-ci dans le circuit de distribution.
Maurice Bandaman, ministre de la Culture et de Francophonie a fait une exhortation : «Le Masa a tenu ses promesses. Il renait avec un nouveau dynamisme et de nouvelles ambitions…Nous souhaitons voir un Masa plus haut et plus grand».
Koné Saydoo
Pour cette «relance» du Masa qui sera à sa 8è édition après une édition spéciale en 2007, Yacouba Konaté, le directeur général par intérim du marché entend mettre l’accent sur la dimension festival du Masa qui aura des scènes à Grand Bassam et à Bouaké, tel que suggéré par le ministre de la Culture et de la Francophonie – président du Conseil d’administration du Masa.
«Si les engagements financiers annoncés arrivent, et arrivent à temps, nous vous donnons l’assurance que le Masa 2014 sera et une belle fête populaire et un rendez-vous de l’innovation artistique», espère Yacouba Konaté. Ce sont 1000 professionnels dont 400 artistes qui sont attendus.
En plus de donner au marché une dimension Festival qui est de «décentraliser de façon rigoureuse», selon Yacouba Konaté ; les autres innovations concernent l’introduction du conte et de l’humour, une double programmation des spectacles (In et Off) et la prestation d’artistes vedettes nationales et régionales.
Avec pour thème «Les arts du spectacle face au défi du numérique», le Masa – en tant que marché – organisera des rencontres professionnelles (artistes et programmeurs).
La représente de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif), Mme Huguette Malamba Ambwil (spécialiste des programmes, chargée des arts visuels et du spectacle vivant – Dddc) a salué le «défi de relancer en un temps record le Masa» par les autorités ivoiriennes. Pour elle, le Masa doit être une vitrine de production des artistes et doit contribuer à l’insertion de ceux-ci dans le circuit de distribution.
Maurice Bandaman, ministre de la Culture et de Francophonie a fait une exhortation : «Le Masa a tenu ses promesses. Il renait avec un nouveau dynamisme et de nouvelles ambitions…Nous souhaitons voir un Masa plus haut et plus grand».
Koné Saydoo
