Les préparatifs de la 8ème édition du Marché des Arts du Spectacle Africain, qui se tiendra du 1er au 8 mars 2014, avancent à grands pas. Depuis hier, se tient la première réunion du Comité Artistique International (CAI), au siège du MASA, au Plateau. Et cela, jusqu’au samedi 5 octobre. C’est le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, qui a ouvert en personne les travaux. Une occasion qu’il a saisie, comme il sait d’ailleurs bien le faire, pour situer encore les enjeux du MASA. « Le MASA renaît avec un nouveau dynamisme, de nouvelles ambitions. C’est un moyen de promouvoir la création africaine à travers le monde », a fait savoir celui qui est aussi le Président du Conseil d’Administration du MASA.
Le ministre Bandaman s’est, par ailleurs, réjoui de l’ouverture du MASA aux villes de l’intérieur du pays, principalement Grand-Bassam et Bouaké, et surtout du caractère festif qui sera donné à l’événement, à travers des concerts populaires. « Ces innovations vont faire du MASA non seulement un marché, mais également un festival », a-t-il noté, non sans inviter les membres du CAI à faire, via leurs échanges et leurs réflexions, les « meilleurs choix » afin de proposer un « plateau riche et ouvert sur le monde ».
Peu avant, Mme Huguette Malamba Ambwill, représentante de l’OIF (Organisation Internationale de la Francophonie) et vice-présidente du Conseil d’Administration du MASA, avait rappelé que son institution s’est toujours tenue aux côtés du MASA, dont elle est le soutien indéfectible depuis sa création. Bien entendu, Mme Malamba Ambwill n’a pas manqué de rappeler que l’objectif de l’OIF est de promouvoir la diversité culturelle et de favoriser le dialogue des cultures.
Directeur général par intérim du MASA, le Pr Yacouba Konaté a, lui, souligné que les experts qui prennent part à ce conclave ont « la pratique de ce qui rentre ou de ce qui ne rentre pas dans le marché ». « Au nom de cette pratique, ils savent également qu’un spectacle n’est pas une savonnette et qu’un produit culturel a également vocation à nous projeter vers l’avenir », a-t-il ajouté. Enfin, le Pr Konaté a donné l’assurance que « si tous les engagements financiers annoncés arrivent, et arrivent à temps, le MASA 2014 sera une belle fête populaire et un rendez-vous de l’innovation esthétique ». Composé d’experts nationaux et internationaux, le CAI compte 16 membres dont 4 conseillers artistiques ivoiriens chargés chacun d’un domaine précis, à savoir Mme Roberte Benoît-N’Koumo (Danse) et MM Dodo Koné (Musique), Zié Coulibaly (Conte, Humour et Théâtre) et Ismaël Diaby (Logistique). Sa mission est de définir le contenu artistique du MASA et surtout d’arrêter la liste des 50 troupes qui seront sélectionnées pour ce marché.
Y. S
Le ministre Bandaman s’est, par ailleurs, réjoui de l’ouverture du MASA aux villes de l’intérieur du pays, principalement Grand-Bassam et Bouaké, et surtout du caractère festif qui sera donné à l’événement, à travers des concerts populaires. « Ces innovations vont faire du MASA non seulement un marché, mais également un festival », a-t-il noté, non sans inviter les membres du CAI à faire, via leurs échanges et leurs réflexions, les « meilleurs choix » afin de proposer un « plateau riche et ouvert sur le monde ».
Peu avant, Mme Huguette Malamba Ambwill, représentante de l’OIF (Organisation Internationale de la Francophonie) et vice-présidente du Conseil d’Administration du MASA, avait rappelé que son institution s’est toujours tenue aux côtés du MASA, dont elle est le soutien indéfectible depuis sa création. Bien entendu, Mme Malamba Ambwill n’a pas manqué de rappeler que l’objectif de l’OIF est de promouvoir la diversité culturelle et de favoriser le dialogue des cultures.
Directeur général par intérim du MASA, le Pr Yacouba Konaté a, lui, souligné que les experts qui prennent part à ce conclave ont « la pratique de ce qui rentre ou de ce qui ne rentre pas dans le marché ». « Au nom de cette pratique, ils savent également qu’un spectacle n’est pas une savonnette et qu’un produit culturel a également vocation à nous projeter vers l’avenir », a-t-il ajouté. Enfin, le Pr Konaté a donné l’assurance que « si tous les engagements financiers annoncés arrivent, et arrivent à temps, le MASA 2014 sera une belle fête populaire et un rendez-vous de l’innovation esthétique ». Composé d’experts nationaux et internationaux, le CAI compte 16 membres dont 4 conseillers artistiques ivoiriens chargés chacun d’un domaine précis, à savoir Mme Roberte Benoît-N’Koumo (Danse) et MM Dodo Koné (Musique), Zié Coulibaly (Conte, Humour et Théâtre) et Ismaël Diaby (Logistique). Sa mission est de définir le contenu artistique du MASA et surtout d’arrêter la liste des 50 troupes qui seront sélectionnées pour ce marché.
Y. S
