Dans le cadre de sa tribune d’échanges, espace de rencontre, d’échanges et de partage avec un homme (politique, économiste ou enseignant chercheur), invité à se prononcer sur un sujet d’actualité, l’Ivoirienne de Réflexion et d’Action, Association à caractère apolitique et impartiale qui jette un regard critique sur les réalités sociales et le rôle de l’autorité publique dans l’amélioration des conditions de vie des citoyens, a reçu comme premier invité l’ancien ministre des Droits de l’Homme Joël N’Guessan, par ailleurs porte-parole du Rassemblement des Républicains (RDR, parti au pouvoir) à se prononcer sur le « Rapport entre l’autorité publique et la population ».
Le porte-parole du parti d’Alassane Ouattara a saisi l’occasion de la tribune, à lui, offerte pour témoigner d’un vœu. Celui de parvenir à un nouveau type d’Ivoirien, ce par le biais de l’autorité de l’Etat. Il a expliqué ce souhait par le fait que « les fondamentaux (parlant de la devise du pays : Union-Discipline-Travail) sont détruits » du fait des crises successives qu’a connu la Côte d’Ivoire. Il en veut pour preuve, le « refus » des Ivoiriens de travailler « assez », Ce qui a eu pour conséquence de plonger la grande partie de la population dans la souffrance et la difficulté.
Il a notamment rappelé que le « mieux-être » des populations ne peut être une réalité que si tous consentent à se mettre résolument au travail. Selon Joël N’Guessan, cela a conduit les Ivoiriens dans une grande souffrance. « Les Ivoiriens souffrent parce qu’Ils ne travaillent pas assez », a expliqué l’ancien ministre des Droits de l’Homme. Même s’il a admit que des efforts ont été faits en « seulement 2 ans », il reconnaît que « le véritable challenge du pouvoir en place reste l’emploi des jeunes ». L’une des pistes pour résorber ce trop plein de chômeurs jeunes au milieu de la population, est de veiller à leur fournir une très bonne formation technique et professionnelle, a estimé le conférencier.
Il a rappelé à l’endroit de l’auditoire qu’il revient à l’Etat d’assurer l’autorité publique pour éviter que la quiétude du plus grand nombre ne soit troublée. L’élément fondamental, gage de l’amélioration des rapports entre l’autorité et la population demeure le « vote », c’est-à-dire « le jeu démocratique ».
L’Ivoirienne de Réflexion et d’Action, en organisant cette conférence, dont la périodicité sera trimestrielle, avait pour objectifs d’une part d’éclairer les organisations, les populations sur la situation actuelle du rapport existant entre l’autorité publique et le peuple. Et d’autre part de faire prendre conscience aux Gouvernants de l’importance de la prise en compte de cet indicateur de bonne gouvernance.
Selon Sansan Sib, président de l’Ivoirienne de Réflexion et d’Action,Le président de la Commission Dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) est le prochain invité de la tribune d’échanges de l’IRA prévue en décembre. Il sera succédé en février par le professeur Mamadou Koulibaly, président de LIDER (parti d’opposition).
Le porte-parole du parti d’Alassane Ouattara a saisi l’occasion de la tribune, à lui, offerte pour témoigner d’un vœu. Celui de parvenir à un nouveau type d’Ivoirien, ce par le biais de l’autorité de l’Etat. Il a expliqué ce souhait par le fait que « les fondamentaux (parlant de la devise du pays : Union-Discipline-Travail) sont détruits » du fait des crises successives qu’a connu la Côte d’Ivoire. Il en veut pour preuve, le « refus » des Ivoiriens de travailler « assez », Ce qui a eu pour conséquence de plonger la grande partie de la population dans la souffrance et la difficulté.
Il a notamment rappelé que le « mieux-être » des populations ne peut être une réalité que si tous consentent à se mettre résolument au travail. Selon Joël N’Guessan, cela a conduit les Ivoiriens dans une grande souffrance. « Les Ivoiriens souffrent parce qu’Ils ne travaillent pas assez », a expliqué l’ancien ministre des Droits de l’Homme. Même s’il a admit que des efforts ont été faits en « seulement 2 ans », il reconnaît que « le véritable challenge du pouvoir en place reste l’emploi des jeunes ». L’une des pistes pour résorber ce trop plein de chômeurs jeunes au milieu de la population, est de veiller à leur fournir une très bonne formation technique et professionnelle, a estimé le conférencier.
Il a rappelé à l’endroit de l’auditoire qu’il revient à l’Etat d’assurer l’autorité publique pour éviter que la quiétude du plus grand nombre ne soit troublée. L’élément fondamental, gage de l’amélioration des rapports entre l’autorité et la population demeure le « vote », c’est-à-dire « le jeu démocratique ».
L’Ivoirienne de Réflexion et d’Action, en organisant cette conférence, dont la périodicité sera trimestrielle, avait pour objectifs d’une part d’éclairer les organisations, les populations sur la situation actuelle du rapport existant entre l’autorité publique et le peuple. Et d’autre part de faire prendre conscience aux Gouvernants de l’importance de la prise en compte de cet indicateur de bonne gouvernance.
Selon Sansan Sib, président de l’Ivoirienne de Réflexion et d’Action,Le président de la Commission Dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) est le prochain invité de la tribune d’échanges de l’IRA prévue en décembre. Il sera succédé en février par le professeur Mamadou Koulibaly, président de LIDER (parti d’opposition).