Trois (3) communes, notamment Abobo, Duékoué et Bouaké ont été choisies par des chercheurs ivoiriens pour comprendre les causes de la violence criminelle en Côte d’Ivoire. Le lancement officiel du projet de recherche dont le thème est: «Violence criminelle et défis pour la gouvernance locale des villes en Côte d’Ivoire », a eu lieu le lundi 7 octobre 2013 au Plateau. Il s’agit pour les organisateurs, notamment pour le professeur Francis Akindès, coordonnateurs des programmes de la Chaire Unesco de bioéthique, de présenter les atouts de ce programme pour la Côte d’Ivoire. « Ce programme qui est un projet de recherche d’envergure financé par le Centre de recherches pour le développement international (CRDI) du Canada et du Département du développement international (DFID) du Royaume Uni, vise à caractériser le phénomène de la violence criminelle en dressant la typologie des acteurs de la violence, comprendre les formes d’expression et les identités des auteurs et des victimes de violence, analyser le lien entre l’approfondissement de la pauvreté et les mutations de la violence. Il vise aussi à analyser les stratégies de résilience des collectivités victimes et produire des résultats qui pourront être utiles pour la définition de nouvelles politiques de lutte contre la violence criminelle en milieu urbain », a-t-il expliqué. Pour un coût de près de 250 millions de FCFA, ce sont vingt (20) chercheurs ivoiriens dont douze (12) étudiants et huit (8) enseignant-chercheurs qui travailleront sur une période de 3 ans.
« Ce projet mis en œuvre par la chaire Bioéthique de l’Université Alassane Ouattara s’annonce comme une véritable aventure scientifique au plan national. Je souhaite que les résultats qui en découleront soient plus utiles pour notre pays dont le défi majeur est la sécurité de ses populations.
Mon souhait, est de faire de la recherche scientifique de notre pays, un véritable pilier du développement. C’est pourquoi, mon département ne cesse d’encourager les universitaires à se rendre davantage utiles pour la nation. Je félicite l’équipe pluridisciplinaire dirigée par le professeur Francis Akindès, à travers elle, la Chaire Unesco de bioéthique dont le professeur Lazare Poamé est le titulaire, ainsi que toute l’Université Alassane Ouattara », a soutenu le ministre Cissé Bacongo tout en espérant que les résultats de ses travaux soient profitables pour toutes les populations.
Parrain de la Cérémonie de lancement, le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, représenté par son directeur de cabinet, Bamba Cheick Daniel a traduit la volonté de son département à s’associer pleinement à ce programme.
O. Dama
« Ce projet mis en œuvre par la chaire Bioéthique de l’Université Alassane Ouattara s’annonce comme une véritable aventure scientifique au plan national. Je souhaite que les résultats qui en découleront soient plus utiles pour notre pays dont le défi majeur est la sécurité de ses populations.
Mon souhait, est de faire de la recherche scientifique de notre pays, un véritable pilier du développement. C’est pourquoi, mon département ne cesse d’encourager les universitaires à se rendre davantage utiles pour la nation. Je félicite l’équipe pluridisciplinaire dirigée par le professeur Francis Akindès, à travers elle, la Chaire Unesco de bioéthique dont le professeur Lazare Poamé est le titulaire, ainsi que toute l’Université Alassane Ouattara », a soutenu le ministre Cissé Bacongo tout en espérant que les résultats de ses travaux soient profitables pour toutes les populations.
Parrain de la Cérémonie de lancement, le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, représenté par son directeur de cabinet, Bamba Cheick Daniel a traduit la volonté de son département à s’associer pleinement à ce programme.
O. Dama