L’opération de marquage des armes, initiée par l'Autorité pour le désarment, la démobilisation et la réinsertion (ADDR) et l’Etat-Major des Frci, a repris le samedi 5 octobre 2013 à la base navale de Locodjro à Attécoubé. Selon, le capitaine marin, Tapié Zahibo, responsable de l’équipe de l’opération de marquage, l’objectif de cette opération consiste de favoriser entre autres l’identification unique de la force détentrice de l’arme, de permettre l’établissement de la responsabilité des commandants quant à l’affectation et à l’utilisation des armes marqués et de dénombrer et connaitre le type d’armes disponibles dans les arsenaux de la Côte d’Ivoire. « À partir d’une machine adaptée, l’opération consiste à incruster sur l’arme, le logo de la Cedeao, le code de l’unité à laquelle l’arme va appartenir, ainsi que le numéro de série de l’arme. Toute chose qui permet d’identifier par la suite l’utilisateur unique de l’arme », a-t-il fait savoir. Cette vaste opération de marquage qui couvrira l’ensemble du territoire national est à sa seconde étape. Et, elle a constitué à marquer les armes du Groupement de sécurité du Président de la République (GSPR) sous le regard de son commandant en second, Cherif Ousmane et du directeur de l’ADDR, Fidèle Sarassoro.
Des parlementaires canadiens satisfaits des activités de l’ADDR
Mais avant l’opération de marquage des armes, à Anyama, le vendredi 4 octobre 2013, une délégation parlementaire canadienne membre de l’association parlementaire Canada-Afrique, a effectué une visite sur le site de l’ADDR. L’objectif, pour le porte-parole, Mauril Bélenger, par ailleurs député de Ottawa-Vanier, est d’observer le travail réalisé par l’ADDR. «Nous savons que la Côte d’Ivoire a connu des difficultés. Maintenant, la paix semble s’installer. Les autorités reprennent le contrôle. La sécurité revient. Nous sommes venus sur ce site parce que nous voudrions voir ce que l’ADDR fait. Le travail semble être très bien fait. Les gens arrivent pour être désarmés et être réintégrés dans la société».
O.Dama
Des parlementaires canadiens satisfaits des activités de l’ADDR
Mais avant l’opération de marquage des armes, à Anyama, le vendredi 4 octobre 2013, une délégation parlementaire canadienne membre de l’association parlementaire Canada-Afrique, a effectué une visite sur le site de l’ADDR. L’objectif, pour le porte-parole, Mauril Bélenger, par ailleurs député de Ottawa-Vanier, est d’observer le travail réalisé par l’ADDR. «Nous savons que la Côte d’Ivoire a connu des difficultés. Maintenant, la paix semble s’installer. Les autorités reprennent le contrôle. La sécurité revient. Nous sommes venus sur ce site parce que nous voudrions voir ce que l’ADDR fait. Le travail semble être très bien fait. Les gens arrivent pour être désarmés et être réintégrés dans la société».
O.Dama