Les ministres de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Cissé Ibrahima et son collègue des Affaires sociales, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Ouloto saluent la mise sur le marché de « Adjoula, Femme du peuple », une œuvre d’intérêt social écrite par l’écrivain, Marie Ella Kouakou.
« Marie Ella a décidé de défendre des valeurs comme l’abstinence, le port du préservatif, le mariage précoce et bien d’autres sujets de société. Nous avons célébré vendredi, la Journée internationale de la jeune fille qui avait trait au mariage précoce et voila qu’elle publie un ouvrage sur ce thème. Par ce fait, elle ne fait que contribuer à l’interpellation des jeunes », s’est réjoui Mme Ouloto.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, la moralité édictée par l’œuvre de Kouakou, n’est rien d’autre que celle de convier la jeunesse à la persévérance dans l’effort en se disant que rien n’est jamais perdu dans la vie.
« Les jeunes s’adonnent à l’oisiveté, à la paresse. Des travers de la vie tels que la violence, la facilité et la tricherie viennent caractériser les jeunes. Mais vous venez démontrer que rien n’est perdu sur cette terre et que bien au contraire, il y a beaucoup d’espoir », a déclaré M. Cissé, conseillant à l’écrivain de savoir allier les études avec la persévérance dans l’écriture.
La sortie de ces ministres s’inscrivait dans le cadre de la dédicace de l’œuvre littéraire « Adjoula, Femme du peuple » de Marie Kouakou Ella. Un conte à l’endroit du monde de la littérature pour enfant.
C’est un conte de 20 pages, paru chez les Editions Balafon et qui retrace l’histoire de la belle Adjoula. L’héroïne qui est une jeune déscolarisée, choisit de vivre une aventure avec un ami d’enfance au grand dam de ses parents qui l’avait déjà contraint à un mariage forcé avec un homme riche. Une intrigue qui explique bien les déboires auxquelles sera confrontée Adjoula.
L’auteur Marie Ella Kouakou est ivoirienne, née le 22 décembre 1994 à Abidjan. Cette ancienne élève du Lycée Sainte Marie de Cocody et du Lycée Saint Viateur, est titulaire d’un Brevet de technicien supérieur (BTS) en mines et énergie et poursuit ses études dans le même domaine.
(AIP)
« Marie Ella a décidé de défendre des valeurs comme l’abstinence, le port du préservatif, le mariage précoce et bien d’autres sujets de société. Nous avons célébré vendredi, la Journée internationale de la jeune fille qui avait trait au mariage précoce et voila qu’elle publie un ouvrage sur ce thème. Par ce fait, elle ne fait que contribuer à l’interpellation des jeunes », s’est réjoui Mme Ouloto.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, la moralité édictée par l’œuvre de Kouakou, n’est rien d’autre que celle de convier la jeunesse à la persévérance dans l’effort en se disant que rien n’est jamais perdu dans la vie.
« Les jeunes s’adonnent à l’oisiveté, à la paresse. Des travers de la vie tels que la violence, la facilité et la tricherie viennent caractériser les jeunes. Mais vous venez démontrer que rien n’est perdu sur cette terre et que bien au contraire, il y a beaucoup d’espoir », a déclaré M. Cissé, conseillant à l’écrivain de savoir allier les études avec la persévérance dans l’écriture.
La sortie de ces ministres s’inscrivait dans le cadre de la dédicace de l’œuvre littéraire « Adjoula, Femme du peuple » de Marie Kouakou Ella. Un conte à l’endroit du monde de la littérature pour enfant.
C’est un conte de 20 pages, paru chez les Editions Balafon et qui retrace l’histoire de la belle Adjoula. L’héroïne qui est une jeune déscolarisée, choisit de vivre une aventure avec un ami d’enfance au grand dam de ses parents qui l’avait déjà contraint à un mariage forcé avec un homme riche. Une intrigue qui explique bien les déboires auxquelles sera confrontée Adjoula.
L’auteur Marie Ella Kouakou est ivoirienne, née le 22 décembre 1994 à Abidjan. Cette ancienne élève du Lycée Sainte Marie de Cocody et du Lycée Saint Viateur, est titulaire d’un Brevet de technicien supérieur (BTS) en mines et énergie et poursuit ses études dans le même domaine.
(AIP)
