Le lancement de la deuxième (2è) édition du Festival international du film des lacs et lagunes (Festilag) a été marqué le vendredi 18 octobre par une balade lagunaire. Par le circuit touristique qui a été fait, Naky Sy Savané – président du Festilag – et son équipe entendent à travers le festival repositionner la Côte d’Ivoire.
«Nous pensons que pour accompagner la relance du cinéma, il faudrait présenter à nos festivaliers, venus du monde entier, la volonté affichée des ivoiriens de reprendre en main le développement du pays. Nous voulons, à travers des circuits touristiques, faire de nos invités des ambassadeurs de notre pays», a indiqué Kélétigui Coulibaly, délégué général du Festilag.
Cette année, le festival qui a institué «Le Grand Prix de la diversité culturelle», parrainé par la Commission nationale de la francophonie (Cnf) s’est trouvé un concept : le Lagunewood pour promouvoir les jeunes acteurs et réalisateurs. Les cinéphiles pourront voir les productions de cinq (5) jeunes talents sélectionnés par le jury présidé par la chorégraphe Rose-Marie Guiraud. Par le Prix de la diversité culturelle, la francophonie, a fait savoir Epiphane Zoro – secrétaire général de la Cnf, apporte son soutien à la création cinématographique dans l’espace francophone.
Côte d’Ivoire-Tourisme qui accompagnera le Festilag au niveau de l’hébergement et de la mise en place d’un circuit touristique pour les festivaliers, «veut aussi apporter une continuité dans ses actions pour le repositionnement de la Côte d’Ivoire», a soutenu Jean-Marie Somet, le directeur de CI-Tourisme. Pour la reconstruction de la Côte d’Ivoire, admet-il, il faut «appeler le cinéma autour du tourisme pour former le noyau dur de la culture ivoirienne».
De l’avis du cinéaste Fadika Kramo, directeur de l’Onac-CI, tous les soutiens et la présence de personnalités «au chevet du cinéma ivoirien en détresse est un signe d’encouragement».
Le Festilag 2013 réunira les 8 au 16 novembre prochain les festivaliers et à Grand-Bassam et à Yamoussoukro.
Koné Saydoo
«Nous pensons que pour accompagner la relance du cinéma, il faudrait présenter à nos festivaliers, venus du monde entier, la volonté affichée des ivoiriens de reprendre en main le développement du pays. Nous voulons, à travers des circuits touristiques, faire de nos invités des ambassadeurs de notre pays», a indiqué Kélétigui Coulibaly, délégué général du Festilag.
Cette année, le festival qui a institué «Le Grand Prix de la diversité culturelle», parrainé par la Commission nationale de la francophonie (Cnf) s’est trouvé un concept : le Lagunewood pour promouvoir les jeunes acteurs et réalisateurs. Les cinéphiles pourront voir les productions de cinq (5) jeunes talents sélectionnés par le jury présidé par la chorégraphe Rose-Marie Guiraud. Par le Prix de la diversité culturelle, la francophonie, a fait savoir Epiphane Zoro – secrétaire général de la Cnf, apporte son soutien à la création cinématographique dans l’espace francophone.
Côte d’Ivoire-Tourisme qui accompagnera le Festilag au niveau de l’hébergement et de la mise en place d’un circuit touristique pour les festivaliers, «veut aussi apporter une continuité dans ses actions pour le repositionnement de la Côte d’Ivoire», a soutenu Jean-Marie Somet, le directeur de CI-Tourisme. Pour la reconstruction de la Côte d’Ivoire, admet-il, il faut «appeler le cinéma autour du tourisme pour former le noyau dur de la culture ivoirienne».
De l’avis du cinéaste Fadika Kramo, directeur de l’Onac-CI, tous les soutiens et la présence de personnalités «au chevet du cinéma ivoirien en détresse est un signe d’encouragement».
Le Festilag 2013 réunira les 8 au 16 novembre prochain les festivaliers et à Grand-Bassam et à Yamoussoukro.
Koné Saydoo