C’est officiel ! La plus belle des femmes de Côte d’Ivoire, selon les canons esthétiques de la beauté africaine, sera connu le samedi 26 octobre prochain à l’Auditorium de la Bourse du Travail de Treichville. Et cela, à l’issue de la finale nationale de l’édition 2013 du concours Awoulaba, qui débutera sous les coups de 20h. L’information a été donnée, samedi, par M. Jonas Lago, Président du Comité Awoulaba Côte d’Ivoire, peu après la réunion du Comité directeur du Caci, tenue ce jour-là à l’hôtel communal de Cocody. Selon M. Lago, cette finale opposera 16 candidates dont 13 Awoulaba issues des présélections de 6 communes du District d’Abidjan (Koumassi, Yopougon, Marcory, Port-Bouët, Cocody, Plateau) et 7 régions (Yamoussoukro, Bouaké, Aboisso, Man, Daloa, Gagnoa, Dabou) et 3 Saramans élues lors de la demi-finale nationale qui s ‘est déroulée le 14 septembre dernier à la Maison de la Presse, au Plateau. Lesquelles rivaliseront de charme et d’élégance, à travers trois passages (tenue boubou, tenue maxi et tenue traditionnelle). « La mise au vert des candidates se fera à partir du jeudi 24 octobre à l’hôtel Ibis Plateau », a précisé M. Lago, avant de révéler que la soirée de samedi est placée sous la présidence du ministre Adama Bictogo, député à l’Assemblée Nationale et du ministre François Amichia, maire de la commune hôte de Treichville. A en croire son président, le Caci a sollicité le soutien de Mme Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire et M. Guillaume Soro, président de l’Assemblée Nationale. « Toutes les dispositions ont été prises pour assurer la sécurité du concours par les forces de l’ordre. Le Caci invite la population ivoirienne, en particulier les femmes et les jeunes, à cette célébration de la culture et de la beauté de la femme », a conclu Jonas Lago, tout en soulignant que les tickets sont déjà disponibles à la Maison de la Presse, la Bourse du Travail de Treichville, la Radio Côte d’Ivoire, la Mairie de Cocody et auprès de tous les présidents communaux et régionaux du Caci.
Y. Sangaré
Y. Sangaré