M. Djédjé Mady (Sg de Pdci)
‘’C’est une catastrophe’’
‘’C’est vraiment une catastrophe. La Côte d’Ivoire n’a pas besoin de cela. Nous ne comprenons pas pourquoi des représentants d’organes de presse sont appelés pour couvrir un événement et on abat froidement l’un d’eux. Cet acte ne fait pas honneur à notre pays. Nous osons croire que les brebis galeuses au sein de la police seront vite identifiées, une fois pour toutes. Le Pdci présente ses condoléances à la famille du journaliste, à Rfi et à la France. Nous exigeons à la suite des chefs d’Etat français et ivoirien une enquête pour situer toutes les responsabilités et punir les coupables de façon exemplaire. L’image de notre pays va encore prendre un coup à l’extérieur. Alors que nous n’avons pas besoin de cela actuellement.’’
Cissé Bacongo (Rdr)
‘’L’assassinat de Jean Hélène est crapuleux.
‘’L’assassinat de Jean Hélène est crapuleux. C’est un acte odieux que nous reprouvons et condamnons avec force et sans réserve. Nous nous expliquons difficilement qu’on puisse abattre lâchement et froidement un journaliste dans l’exercice de son métier. Cet acte est une atteinte grave à la liberté de presse. En tout état de cause, que cet assassinat soit un acte planifié ou isolé d’un illuminé, il ne doit pas rester impuni. Par ailleurs, il est l’expression, la traduction des discours de certains hommes politiques et des appels à toutes les formes de protestation et de résistance. Ce qui nous a conduits à ce genre d’assassinat.
Konaté Navigué (Secrétaire national de la Jfpi)
‘’Je condamne la mort de Jean Hélène…’’
Le secrétaire général de la Jeunesse du Front populaire ivoirien (Jfpi), Konaté Navigué a vigoureusement réagi après la mort tragique de Jean Hélène de Rfi. En marge de la conférence qu’il animait hier au siège de son parti à Marcory zone 4c. Le jeune leader s’est dit très choqué par l’assassinat du correspondant de la radio française à Abidjan. ‘’Nous condamnons avec la dernière énergie cette mort atroce. Nous pensons qu’un journaliste ne doit pas mourir pour ses opinions…’’ a-t-il souligné. Avant de s’incliner devant la dépouille et présenter par la même occasion ses condoléances à la presse nationale et internationale.
Le ministre Guillaume Soro :
‘’Rien ne peut expliquer ni excuser ce lâche assassinat’’
M. Guillaume Soro, ministre d’Etat, ministre de la Communication s’est prononcé sur la mort de Jean Hélène, correspondant de Radi France Internationale (Rfi) tué mardi d’une balle dans la tête par un policier. Selon l’agence Reuters qui rapporte l’information, le ministre Guillaume Soro a vivement condamné cet acte. ‘’Rien ne peut expliquer ni excuser ce lâche assassinat’’, a-t-il martelé. Toujours selon Reuters, ‘’la campagne haineuse distillée dans la presse nationale et par certains leaders a certainement préparé le terrain à l’exécution’’ a déclaré le ministre de la Communication, visiblement touché par la mort du journaliste de Radio France Internationale.
In L’IA n° 043 du jeudi 23 octobre 2003
‘’C’est une catastrophe’’
‘’C’est vraiment une catastrophe. La Côte d’Ivoire n’a pas besoin de cela. Nous ne comprenons pas pourquoi des représentants d’organes de presse sont appelés pour couvrir un événement et on abat froidement l’un d’eux. Cet acte ne fait pas honneur à notre pays. Nous osons croire que les brebis galeuses au sein de la police seront vite identifiées, une fois pour toutes. Le Pdci présente ses condoléances à la famille du journaliste, à Rfi et à la France. Nous exigeons à la suite des chefs d’Etat français et ivoirien une enquête pour situer toutes les responsabilités et punir les coupables de façon exemplaire. L’image de notre pays va encore prendre un coup à l’extérieur. Alors que nous n’avons pas besoin de cela actuellement.’’
Cissé Bacongo (Rdr)
‘’L’assassinat de Jean Hélène est crapuleux.
‘’L’assassinat de Jean Hélène est crapuleux. C’est un acte odieux que nous reprouvons et condamnons avec force et sans réserve. Nous nous expliquons difficilement qu’on puisse abattre lâchement et froidement un journaliste dans l’exercice de son métier. Cet acte est une atteinte grave à la liberté de presse. En tout état de cause, que cet assassinat soit un acte planifié ou isolé d’un illuminé, il ne doit pas rester impuni. Par ailleurs, il est l’expression, la traduction des discours de certains hommes politiques et des appels à toutes les formes de protestation et de résistance. Ce qui nous a conduits à ce genre d’assassinat.
Konaté Navigué (Secrétaire national de la Jfpi)
‘’Je condamne la mort de Jean Hélène…’’
Le secrétaire général de la Jeunesse du Front populaire ivoirien (Jfpi), Konaté Navigué a vigoureusement réagi après la mort tragique de Jean Hélène de Rfi. En marge de la conférence qu’il animait hier au siège de son parti à Marcory zone 4c. Le jeune leader s’est dit très choqué par l’assassinat du correspondant de la radio française à Abidjan. ‘’Nous condamnons avec la dernière énergie cette mort atroce. Nous pensons qu’un journaliste ne doit pas mourir pour ses opinions…’’ a-t-il souligné. Avant de s’incliner devant la dépouille et présenter par la même occasion ses condoléances à la presse nationale et internationale.
Le ministre Guillaume Soro :
‘’Rien ne peut expliquer ni excuser ce lâche assassinat’’
M. Guillaume Soro, ministre d’Etat, ministre de la Communication s’est prononcé sur la mort de Jean Hélène, correspondant de Radi France Internationale (Rfi) tué mardi d’une balle dans la tête par un policier. Selon l’agence Reuters qui rapporte l’information, le ministre Guillaume Soro a vivement condamné cet acte. ‘’Rien ne peut expliquer ni excuser ce lâche assassinat’’, a-t-il martelé. Toujours selon Reuters, ‘’la campagne haineuse distillée dans la presse nationale et par certains leaders a certainement préparé le terrain à l’exécution’’ a déclaré le ministre de la Communication, visiblement touché par la mort du journaliste de Radio France Internationale.
In L’IA n° 043 du jeudi 23 octobre 2003