Monsieur Christian Azia Obré est le Directeur général de Sporty
Trady Company (STC), agence Conseil en marketing Opérationnel et spécialisée dans l’evénementiel, qui a initié depuis l’année dernière (2012) le ’’Choukouya Festi’’, une sorte de foire gastronomique pour la ville de Bouaké et ses contrées environnantes. en prélude à la 2ème édition de ce festival, qui a lieu les 06 et 07 Décembre prochains dans la capitale du Centre, le promoteur que nous avons reçu.
Monsieur le directeur, vous envisagez la 2ème édition de ’’choukouya Festi’’ que
vous avez initié depuis 2012 à Bouaké. Peut-on avoir un bilan de l’édition passée?
La première édition du ’’Choukouya Festi’’ que nous avons organisée à Bouaké, précisément à la Place de la paix, a été un grand succès. Nos prévisions ont été largement atteintes. Nous attendions 2500 personnes.
2500 personnes étaient assises effectivement, et il y avait encore du beau monde autour de la place. Tous nos participants ont réalisé de très bonnes affaires. Cela nous a ravis. Tous les convives ont apprécié l’événement. Ils ont jubilé pendant deux jours sur cette grande place aux sons d’artistes locaux que nous avions invités, mais aussi des célébrités venues d’Abidjan, et surtout le live du groupe ’’Kitoko’’.
C’était fantastique, parce que nos frères de Bouaké manquaient cruellement de ce type d’événement, et ils n’ont pas manqué de nous en remercier.
Ils ont même souhaité qu’on le répète chaque trimestre. Mais, pour prendre le temps de bien l’organiser afin de bien leur faire plaisir, nous avons voulu que ce soit chaque année. Dans le contexte où nous l’avions organisé, ça été un bon vecteur aussi pour booster la réconciliation.
Justement, quel objectif assignez-vous à un tel événement?
L’objectif, c’est d’abord de promouvoir cette activité qu’est le
’’Choukouya’’ ou la viande braisée. Ensuite, c’est d’inviter les entreprises, qui sont à Bouaké à participer pleinement à cet événement. Parce que c’est l’occasion pour elles de venir exposer, de se présenter et de dire au public de Bouaké qu’elles avaient effectivement repris leurs activités. Il s’agissait, à travers cet événement, de booster la renaissance de Bouaké, après ces longues années de crise que la Côte d’Ivoire, et cette ville en particulier, a traversée. Le ’’Choukouya festi’’ est un cadre de promotion de la cohésion entre les fils et les filles de Bouaké et de la Côte d’Ivoire tout entière. Bouaké est une grande cité cosmopolite. On a tout le monde à Bouaké, des frères de l’espace CEDEAO, les Ivoiriens du sud, du nord, et du centre, etc. Avec tout ce monde là, autour d’un pot, c’est les retrouvailles, c’est le partage, c’est la bonne humeur entre amis, on rigole, on parle de tout et de rien. C’est comme quand on se retrouve devant un écran de télé pour assister à un match de football. Et on a eu l’occasion d’apprécier le brassage de
toutes ces personnes à la place du Choukouya festi.
Peut-on revenir sur les raisons du choix de Bouaké pour un tel événement?
Vous savez que Bouaké a été la ville symbole même de la crise ivoirienne. Au cours d’une mission que nous y avions effectué, nous sommes tombé sous le charme de cette ville qu’on n’a pas reconnue, eu égard aux séquelles laissées par la longue crise que la Côte d’Ivoire a connue. En partant de là-bas, on s’est donné le pari de faire quelque chose pour aider à la renaissance de cette ville. Après réflexion, nous avons trouvé ce festival. Nous voulons le transformer en événement majeur de cette ville pour brasser les populations et promouvoir la relance des activités des entreprises.
Quelles sont les participants à ce festival?
C’est d’abord les restaurateurs de la région de Bouaké, en particulier les ’’braiseurs’’ et ’’braiseuses’’ de viande de la ville et des autres localités environnantes comme Katiola, Brobo, et même de Yamoussoukro. En périphérie, on a des opérateurs qui sont dans l’artisanat, qui ont ouvert une espèce de galerie, puis les entreprises de Bouaké qui viennent y ajouter leur touche promotionnelle.
L’édition 2013 a-t-elle un thème particulier?
2013 s’inscrit dans la relance économique véritable de Bouaké.
Donc, nous impliquerons beaucoup plus les entreprises, qui ont repris vie dans la cité.
Elles auront une tribune pour venir instruire les populations sur ce qu’elles font.
Qu’est-ce qui sera au menu de ces deux jours de festival?
Il y aura des expositions-vente de tous types de produits et services.
Mais, le point focal, ce sont nos braiseurs et braiseuses.
A côté de cela, en soirée, nous aurons des prestations artistiques, c’est-à-dire les soirs du 06 et du 07 décembre.
Nous avons conclu et obtenu les prestations d’artistes en vogue, notamment Debordo Leekufa, qui sera en live le vendredi 06 décembre et Ismaël Isaac le
samedi 07. C’est une sorte de foire gastronomique pour égayer la ville de Bouaké et les populations du centre et du Nord de la CI. C’est beaucoup de bonnes choses, 2 Concerts Live avec Ismael Isaac et Debordo Leekufa, des playback d’artistes de renom comme les Marabouts d’Afrique, Maréshal Dj, les Mercenaires et Bamba Ami Sarah.
Nous initierons des Expositions des Entreprises basées dans la région de Bouaké.
N’est-ce pas une sorte de remake du festival des grillades, qui a eu lieu, il y a quelques semaines à Yamoussoukro?
Plusieurs festivals peuvent exister qui se ressemblent. Mais, ce n’est pas le même type de mécanisme. D’abord, le Choukouya festi se tient à Bouaké.
Mais, les autres n’impliquent pas les entreprises qui exercent les villes où ils se tiennent à venir exposer. C’est uniquement gastronomique, à la différence du Choukouya festi qui met l’accent sur la promotion du potentiel économique de la région. C’est un beau prétexte pour que ces entreprises renouent avec la population. Combien savent que
MONDIALCYCLES NOUVELLES, RTI BOUAKE, UTEXCI Gonfreville, qui sont un symbole pour Bouaké, ont repris, que Ranhôtel a retrouvé son régime après la crise, etc.?
Y a-t-il des innovations à la 2ème édition par rapport à la première?
La première innovation, c’est que nous allons accentuer l’action vers les entreprises pour les impliquer davantage. Il y aura le même mécanisme du concours gastronomique, auquel l’on va adjoindre la remise de diplôme à la meilleure entreprise qui se fera remarquer. A terme, nous voulons poser des actions sociales. Donc, elles sont invitées,
à travers ce festival, à nous aider à réussir ce projet soit à l’endroit d’un hôpital, d’une
école, etc. Nous aurons à le décider de commun accord avec les partenaires, qui vont venir avec nous.
Y a-t-il des personnalités annoncées à ce rendez-vous?
Effectivement, nous souhaitons avoir une implication un peu plus active de nos autorités dans ce festival. A commencer par nos autorités locales, le maire en premier, parce que
c’est lui qui nous ouvre les portes de la cité, puis nos ministères de tutelle, notamment les ministères de la Culture et des Ressources animales qui pourra utiliser cette tribune pour étendre sa campagne pour l’assainissement et le respect des normes imposées par l’OMS (Ndlr: Organisation mondiale de la Santé) en ce qui concerne la qualité de la viande et la santé des Ivoiriennes.
Au delà du choukouya festi, qui est annuel, à quoi vous consacrez-vous durant tout ce temps?
Nous sommes une structure de Marketing Opérationnel et aussi dans l’événementiel. Donc, on est investi dans beaucoup d’activités, surtout dans les campagnes promotionnelles de produits et services de certaines entreprises. je voudrais profiter de votre tribune, pour dire la grande opportunité qui nous a
été confié par l’un de nos partenaires une grande compagnie de téléphonie mobile, pour
conduire une grande tournée au travers de toute la Côte d’Ivoire durant pratiquement
7 semaines. Nous avons visité 14 villes et avons donné le meilleur de nous-mêmes en matière de musique, de prestations scéniques diverses pour apporter de la joie à nos populations. C’était formidable, et c’est un peu un remake que nous voulons faire pour
Bouaké dans un peu plus d’un mois avec le Choukouya Festi, fort de toute cette expérience que nous continuons d’enrichir dans le secteur de l’événementiel.
A côté de cela, nous sommes disponibles pour toutes les sollicitations pour toute sorte de concert outdor ou indor. STC a tout ce qu’il faut pour ce faire, camion-podium, matériel de sonorisation, écran, lumière, etc.
L’an dernier, vous attendiez 2500 personnes. Quelles sont vos prétentions cette année?
Faire mieux que l’année passée. Nous attendons avoir au moins 3000 festivaliers bien installés. Les écrans géants permettront à ceux qui n’y auront pas accès de suivre tous les spectacles à distance. Je précise que l’entrée est libre, puisque l’objectif est d’apporter de la joie à nos populations. Mais, tout va se passer dans la discipline, et les dispositions sécuritaires sont prises à cet effet. Parce qu’il n’est pas bien qu’on vienne se faire plaisir et qu’on retourne victime de petits malins toujours prêts à profiter de pareilles occasions. Donc, la sécurité sera de mise, et il n’y a pas à s’en inquiéter.
Toutes les commodités seront déployées pour le succès de ce festival.
Il y a un carnaval bien connu à Bouaké, qui a disparu depuis un moment.
comptez-vous tendre vers le réveil de cette activité?
J’avoue que je ne voudrais pas marcher sur les plates-bandes
de nos frères qui organisent le Carnaval de Bouaké. Seulement, nous voulons que notre
festival, le Choukouya Festi, soit un événement majeur pour Bouaké et sa région. Pour finir, je voudrais remercier, mon Ange gardien, qui me donne la volonté, l’Energie, la foi pour toujours aller de l’avant et de donner le meilleur de moi-même dans tout ce que j’entreprends ici-bas.
Entretien réalisé
par F. D. BONY
Trady Company (STC), agence Conseil en marketing Opérationnel et spécialisée dans l’evénementiel, qui a initié depuis l’année dernière (2012) le ’’Choukouya Festi’’, une sorte de foire gastronomique pour la ville de Bouaké et ses contrées environnantes. en prélude à la 2ème édition de ce festival, qui a lieu les 06 et 07 Décembre prochains dans la capitale du Centre, le promoteur que nous avons reçu.
Monsieur le directeur, vous envisagez la 2ème édition de ’’choukouya Festi’’ que
vous avez initié depuis 2012 à Bouaké. Peut-on avoir un bilan de l’édition passée?
La première édition du ’’Choukouya Festi’’ que nous avons organisée à Bouaké, précisément à la Place de la paix, a été un grand succès. Nos prévisions ont été largement atteintes. Nous attendions 2500 personnes.
2500 personnes étaient assises effectivement, et il y avait encore du beau monde autour de la place. Tous nos participants ont réalisé de très bonnes affaires. Cela nous a ravis. Tous les convives ont apprécié l’événement. Ils ont jubilé pendant deux jours sur cette grande place aux sons d’artistes locaux que nous avions invités, mais aussi des célébrités venues d’Abidjan, et surtout le live du groupe ’’Kitoko’’.
C’était fantastique, parce que nos frères de Bouaké manquaient cruellement de ce type d’événement, et ils n’ont pas manqué de nous en remercier.
Ils ont même souhaité qu’on le répète chaque trimestre. Mais, pour prendre le temps de bien l’organiser afin de bien leur faire plaisir, nous avons voulu que ce soit chaque année. Dans le contexte où nous l’avions organisé, ça été un bon vecteur aussi pour booster la réconciliation.
Justement, quel objectif assignez-vous à un tel événement?
L’objectif, c’est d’abord de promouvoir cette activité qu’est le
’’Choukouya’’ ou la viande braisée. Ensuite, c’est d’inviter les entreprises, qui sont à Bouaké à participer pleinement à cet événement. Parce que c’est l’occasion pour elles de venir exposer, de se présenter et de dire au public de Bouaké qu’elles avaient effectivement repris leurs activités. Il s’agissait, à travers cet événement, de booster la renaissance de Bouaké, après ces longues années de crise que la Côte d’Ivoire, et cette ville en particulier, a traversée. Le ’’Choukouya festi’’ est un cadre de promotion de la cohésion entre les fils et les filles de Bouaké et de la Côte d’Ivoire tout entière. Bouaké est une grande cité cosmopolite. On a tout le monde à Bouaké, des frères de l’espace CEDEAO, les Ivoiriens du sud, du nord, et du centre, etc. Avec tout ce monde là, autour d’un pot, c’est les retrouvailles, c’est le partage, c’est la bonne humeur entre amis, on rigole, on parle de tout et de rien. C’est comme quand on se retrouve devant un écran de télé pour assister à un match de football. Et on a eu l’occasion d’apprécier le brassage de
toutes ces personnes à la place du Choukouya festi.
Peut-on revenir sur les raisons du choix de Bouaké pour un tel événement?
Vous savez que Bouaké a été la ville symbole même de la crise ivoirienne. Au cours d’une mission que nous y avions effectué, nous sommes tombé sous le charme de cette ville qu’on n’a pas reconnue, eu égard aux séquelles laissées par la longue crise que la Côte d’Ivoire a connue. En partant de là-bas, on s’est donné le pari de faire quelque chose pour aider à la renaissance de cette ville. Après réflexion, nous avons trouvé ce festival. Nous voulons le transformer en événement majeur de cette ville pour brasser les populations et promouvoir la relance des activités des entreprises.
Quelles sont les participants à ce festival?
C’est d’abord les restaurateurs de la région de Bouaké, en particulier les ’’braiseurs’’ et ’’braiseuses’’ de viande de la ville et des autres localités environnantes comme Katiola, Brobo, et même de Yamoussoukro. En périphérie, on a des opérateurs qui sont dans l’artisanat, qui ont ouvert une espèce de galerie, puis les entreprises de Bouaké qui viennent y ajouter leur touche promotionnelle.
L’édition 2013 a-t-elle un thème particulier?
2013 s’inscrit dans la relance économique véritable de Bouaké.
Donc, nous impliquerons beaucoup plus les entreprises, qui ont repris vie dans la cité.
Elles auront une tribune pour venir instruire les populations sur ce qu’elles font.
Qu’est-ce qui sera au menu de ces deux jours de festival?
Il y aura des expositions-vente de tous types de produits et services.
Mais, le point focal, ce sont nos braiseurs et braiseuses.
A côté de cela, en soirée, nous aurons des prestations artistiques, c’est-à-dire les soirs du 06 et du 07 décembre.
Nous avons conclu et obtenu les prestations d’artistes en vogue, notamment Debordo Leekufa, qui sera en live le vendredi 06 décembre et Ismaël Isaac le
samedi 07. C’est une sorte de foire gastronomique pour égayer la ville de Bouaké et les populations du centre et du Nord de la CI. C’est beaucoup de bonnes choses, 2 Concerts Live avec Ismael Isaac et Debordo Leekufa, des playback d’artistes de renom comme les Marabouts d’Afrique, Maréshal Dj, les Mercenaires et Bamba Ami Sarah.
Nous initierons des Expositions des Entreprises basées dans la région de Bouaké.
N’est-ce pas une sorte de remake du festival des grillades, qui a eu lieu, il y a quelques semaines à Yamoussoukro?
Plusieurs festivals peuvent exister qui se ressemblent. Mais, ce n’est pas le même type de mécanisme. D’abord, le Choukouya festi se tient à Bouaké.
Mais, les autres n’impliquent pas les entreprises qui exercent les villes où ils se tiennent à venir exposer. C’est uniquement gastronomique, à la différence du Choukouya festi qui met l’accent sur la promotion du potentiel économique de la région. C’est un beau prétexte pour que ces entreprises renouent avec la population. Combien savent que
MONDIALCYCLES NOUVELLES, RTI BOUAKE, UTEXCI Gonfreville, qui sont un symbole pour Bouaké, ont repris, que Ranhôtel a retrouvé son régime après la crise, etc.?
Y a-t-il des innovations à la 2ème édition par rapport à la première?
La première innovation, c’est que nous allons accentuer l’action vers les entreprises pour les impliquer davantage. Il y aura le même mécanisme du concours gastronomique, auquel l’on va adjoindre la remise de diplôme à la meilleure entreprise qui se fera remarquer. A terme, nous voulons poser des actions sociales. Donc, elles sont invitées,
à travers ce festival, à nous aider à réussir ce projet soit à l’endroit d’un hôpital, d’une
école, etc. Nous aurons à le décider de commun accord avec les partenaires, qui vont venir avec nous.
Y a-t-il des personnalités annoncées à ce rendez-vous?
Effectivement, nous souhaitons avoir une implication un peu plus active de nos autorités dans ce festival. A commencer par nos autorités locales, le maire en premier, parce que
c’est lui qui nous ouvre les portes de la cité, puis nos ministères de tutelle, notamment les ministères de la Culture et des Ressources animales qui pourra utiliser cette tribune pour étendre sa campagne pour l’assainissement et le respect des normes imposées par l’OMS (Ndlr: Organisation mondiale de la Santé) en ce qui concerne la qualité de la viande et la santé des Ivoiriennes.
Au delà du choukouya festi, qui est annuel, à quoi vous consacrez-vous durant tout ce temps?
Nous sommes une structure de Marketing Opérationnel et aussi dans l’événementiel. Donc, on est investi dans beaucoup d’activités, surtout dans les campagnes promotionnelles de produits et services de certaines entreprises. je voudrais profiter de votre tribune, pour dire la grande opportunité qui nous a
été confié par l’un de nos partenaires une grande compagnie de téléphonie mobile, pour
conduire une grande tournée au travers de toute la Côte d’Ivoire durant pratiquement
7 semaines. Nous avons visité 14 villes et avons donné le meilleur de nous-mêmes en matière de musique, de prestations scéniques diverses pour apporter de la joie à nos populations. C’était formidable, et c’est un peu un remake que nous voulons faire pour
Bouaké dans un peu plus d’un mois avec le Choukouya Festi, fort de toute cette expérience que nous continuons d’enrichir dans le secteur de l’événementiel.
A côté de cela, nous sommes disponibles pour toutes les sollicitations pour toute sorte de concert outdor ou indor. STC a tout ce qu’il faut pour ce faire, camion-podium, matériel de sonorisation, écran, lumière, etc.
L’an dernier, vous attendiez 2500 personnes. Quelles sont vos prétentions cette année?
Faire mieux que l’année passée. Nous attendons avoir au moins 3000 festivaliers bien installés. Les écrans géants permettront à ceux qui n’y auront pas accès de suivre tous les spectacles à distance. Je précise que l’entrée est libre, puisque l’objectif est d’apporter de la joie à nos populations. Mais, tout va se passer dans la discipline, et les dispositions sécuritaires sont prises à cet effet. Parce qu’il n’est pas bien qu’on vienne se faire plaisir et qu’on retourne victime de petits malins toujours prêts à profiter de pareilles occasions. Donc, la sécurité sera de mise, et il n’y a pas à s’en inquiéter.
Toutes les commodités seront déployées pour le succès de ce festival.
Il y a un carnaval bien connu à Bouaké, qui a disparu depuis un moment.
comptez-vous tendre vers le réveil de cette activité?
J’avoue que je ne voudrais pas marcher sur les plates-bandes
de nos frères qui organisent le Carnaval de Bouaké. Seulement, nous voulons que notre
festival, le Choukouya Festi, soit un événement majeur pour Bouaké et sa région. Pour finir, je voudrais remercier, mon Ange gardien, qui me donne la volonté, l’Energie, la foi pour toujours aller de l’avant et de donner le meilleur de moi-même dans tout ce que j’entreprends ici-bas.
Entretien réalisé
par F. D. BONY