En marge de la fête de la Tabaski (la fête du mouton), célébrée le mardi 15 octobre 2013, L’Intelligent d’Abidjan a rencontré l’une des figures de proue de la musique Reggae en Côte d’Ivoire. Il s’agit de Ismaël Isaac. L’artiste, après plus d’une décennie, annonce pour très bientôt son prochain album. Ismaël Isaac revient également sur cette relation amoureuse qui a alimenté la presse people ces jours-ci.
Comment se porte Ismaël Isaac ?
Je me porte très bien.
Nous sommes chez vous à la maison et nous nous rendons compte que vous avez beaucoup de moutons. A quand remonte cette passion pour ces animaux ?
Cette passion a commencé depuis mon enfance. Avant même que j’entre dans la musique, j’aimais déjà les moutons.
Il est dit que l’entretien des moutons exige des moyens financiers conséquents. A combien peut-on estimer votre investissement pour que vous ayez aujourd’hui près de 200 moutons ?
C’est vrai que ça demande beaucoup de moyens mais c’est avec la passion et l’amour pour ces animaux, que je suis arrivé à avoir un nombre important de moutons. J’entends mieux développer cette activité. Je suis en ce moment en train d’achever une ferme au kilomètre 17 sur la route de Dabou. Je mets vraiment du sérieux dans cette affaire. Ce n’est plus un secret, c’est connu de tous, qu’outre la musique, je suis véritablement engagé dans l’élevage.
Cela fait environ six (6) ans que vous élevez les moutons. Ismaël Isaac est-il seul dans cette affaire ou bénéficie-t-il d’aide ?
Je saisi l’occasion que vous m’offrez pour remercier des personnalités du pays. Qui, pour la plupart, achètent des moutons avec moi. J’estime que c’est une façon de me soutenir. Je souhaite davantage bénéficier d’aide afin de développer mon activité. Dans les pays que ces moutons quittent : le Mali, le Burkina Faso, le Tchad, le Soudan …, il y a la sécheresse. Ici, il fait frais et il y a tout ce qu’il faut pour élever ces animaux. Je pense que les conditions sont réunies pour que cette activité réussisse, ici. Je souhaite que le gouvernement nous aide à mieux développer cette activité.
Vous partez souvent en voyage pour des spectacles. A quel moment vous vous consacrez à l’élevage des moutons ?
Quand je voyage, il y a des jeunes qui s’occupent des moutons. Mais, ce n’est pas pareil quand je suis là.
Est-il possible d’avoir avec Ismaël Isaac des moutons, à tout moment ou bien il y a des périodes indiquées ?
C’est une famille. Vous avez vu des femelles, il y a des agneaux, il y a de vieux béliers, il y a de jeunes béliers. C’est comme un monde des animaux. Il y a donc tout ici, à tout moment !
Pour la fête de la Tabaski (l’interview a été réalisée avant la fête, ndlr), avez-vous un message pour la Côte d’Ivoire?
Je souhaite d’abord la paix. Il faut qu’on se donne la main comme avant. Quand on est bon croyant, on pardonne toujours. Quand tu ne l’es pas, tu ne pardonnes pas. Dieu, lui-même, pardonne. Prions le Seigneur pour qu’il touche le cœur des uns et des autres afin que le pardon soit mutuel.
Ton histoire avec ton ex-femme a alimenté les chroniques ces derniers temps. Une affaire qui ne date pas d’aujourd’hui. Comment avez-vous fait pour garder secrète cette histoire surtout que tu es un homme public ?
Cette affaire dure depuis deux (2) ans. C’est maintenant que les gens en parlent. Ce qu’il faut savoir, c’est que cette histoire ne m’a rien dit. C’est pourquoi je n’en parlais pas. Quand je sais que j’ai raison dans une affaire, je ne parle pas beaucoup. Je pense que c’est la vie. Ce qui devait arriver, est arrivé. Elle n’était pas ma femme. Je crois en Dieu et je pense que c’était prévu qu’on fasse quinze (15) années ensemble et que nous ayions trois (3) enfants. Si nous nous sommes séparés aujourd’hui, je pense que c’est la volonté de Dieu. Je pense que ma femme est quelque part et je ne suis pas pressé.
Vous avez des enfants, toutes des filles. Comment faites- vous pour les éduquer ?
Je n’ai pas de problèmes avec mes filles. Elles m’aiment bien. Vous l’avez constaté.
Oui, elles sont toujours à côté de vous…
Tout à fait. Si c’était des ‘’mano’’ (des garçons), cela allait être un peu difficile. Comme ce sont des ‘’gos’’ (des filles en argot ivoirien, ndlr), elles sont attachées à leur papa que je suis et restent avec moi. Je leur donne beaucoup de mon affection. Je prie beaucoup pour mes enfants. Chaque fois que mes filles me demandent quelque chose, je fais tout pour trouver cette chose sinon ce n’est pas bon ! Mon combat aujourd’hui, ce sont mes enfants, d’abord.
Au-delà de vos enfants, deux mots à tous les enfants de la Côte d’Ivoire ?
Je demande aux enfants de la Côte d’Ivoire d’aller à l’école. J’exhorte les tout-petits à respecter les parents. Il ne faudrait pas qu’ils sortent des mots discourtois. Il faut faire en sorte que les enfants puissent avoir une bonne éducation. Parce que, si à leur bas âge, leur éducation est ratée, ce n’est pas bon.
On constate que vos filles sont habillées décemment. On ne voit pas de ‘’minis’’ (jupes qui se limite à la moitié de la cuisse). Un commentaire sur l’habillement des jeunes aujourd’hui ?
Je pense que dès leur bas âge si les enfants commencent à trop porter des ‘’minis’’, ils grandissent avec et ça peut poser problème. Mes filles portent aussi des ‘’minis’’ mais c’est limité.
A quand le prochain album de Ismaël Isaac ?
Mon prochain album est déjà prêt.
Une œuvre qui comprend combien de titres ?
C’est une œuvre de 14 titres. Il reste à faire deux featuring et mixer en Europe.
Les featuring, vous allez les faire avec qui ?
Je vais chanter une chanson dont le titre est ‘’Clandestin’’ avec La Fouine. Je pense qu’à ce niveau tout est déjà fin prêt.
L’album sera donc disponible pour les fêtes de fin d’année…
Je pense que d’ici à la fin de cette année ou début 2014, Inch’Allah, l’album sortira.
La rédaction
Comment se porte Ismaël Isaac ?
Je me porte très bien.
Nous sommes chez vous à la maison et nous nous rendons compte que vous avez beaucoup de moutons. A quand remonte cette passion pour ces animaux ?
Cette passion a commencé depuis mon enfance. Avant même que j’entre dans la musique, j’aimais déjà les moutons.
Il est dit que l’entretien des moutons exige des moyens financiers conséquents. A combien peut-on estimer votre investissement pour que vous ayez aujourd’hui près de 200 moutons ?
C’est vrai que ça demande beaucoup de moyens mais c’est avec la passion et l’amour pour ces animaux, que je suis arrivé à avoir un nombre important de moutons. J’entends mieux développer cette activité. Je suis en ce moment en train d’achever une ferme au kilomètre 17 sur la route de Dabou. Je mets vraiment du sérieux dans cette affaire. Ce n’est plus un secret, c’est connu de tous, qu’outre la musique, je suis véritablement engagé dans l’élevage.
Cela fait environ six (6) ans que vous élevez les moutons. Ismaël Isaac est-il seul dans cette affaire ou bénéficie-t-il d’aide ?
Je saisi l’occasion que vous m’offrez pour remercier des personnalités du pays. Qui, pour la plupart, achètent des moutons avec moi. J’estime que c’est une façon de me soutenir. Je souhaite davantage bénéficier d’aide afin de développer mon activité. Dans les pays que ces moutons quittent : le Mali, le Burkina Faso, le Tchad, le Soudan …, il y a la sécheresse. Ici, il fait frais et il y a tout ce qu’il faut pour élever ces animaux. Je pense que les conditions sont réunies pour que cette activité réussisse, ici. Je souhaite que le gouvernement nous aide à mieux développer cette activité.
Vous partez souvent en voyage pour des spectacles. A quel moment vous vous consacrez à l’élevage des moutons ?
Quand je voyage, il y a des jeunes qui s’occupent des moutons. Mais, ce n’est pas pareil quand je suis là.
Est-il possible d’avoir avec Ismaël Isaac des moutons, à tout moment ou bien il y a des périodes indiquées ?
C’est une famille. Vous avez vu des femelles, il y a des agneaux, il y a de vieux béliers, il y a de jeunes béliers. C’est comme un monde des animaux. Il y a donc tout ici, à tout moment !
Pour la fête de la Tabaski (l’interview a été réalisée avant la fête, ndlr), avez-vous un message pour la Côte d’Ivoire?
Je souhaite d’abord la paix. Il faut qu’on se donne la main comme avant. Quand on est bon croyant, on pardonne toujours. Quand tu ne l’es pas, tu ne pardonnes pas. Dieu, lui-même, pardonne. Prions le Seigneur pour qu’il touche le cœur des uns et des autres afin que le pardon soit mutuel.
Ton histoire avec ton ex-femme a alimenté les chroniques ces derniers temps. Une affaire qui ne date pas d’aujourd’hui. Comment avez-vous fait pour garder secrète cette histoire surtout que tu es un homme public ?
Cette affaire dure depuis deux (2) ans. C’est maintenant que les gens en parlent. Ce qu’il faut savoir, c’est que cette histoire ne m’a rien dit. C’est pourquoi je n’en parlais pas. Quand je sais que j’ai raison dans une affaire, je ne parle pas beaucoup. Je pense que c’est la vie. Ce qui devait arriver, est arrivé. Elle n’était pas ma femme. Je crois en Dieu et je pense que c’était prévu qu’on fasse quinze (15) années ensemble et que nous ayions trois (3) enfants. Si nous nous sommes séparés aujourd’hui, je pense que c’est la volonté de Dieu. Je pense que ma femme est quelque part et je ne suis pas pressé.
Vous avez des enfants, toutes des filles. Comment faites- vous pour les éduquer ?
Je n’ai pas de problèmes avec mes filles. Elles m’aiment bien. Vous l’avez constaté.
Oui, elles sont toujours à côté de vous…
Tout à fait. Si c’était des ‘’mano’’ (des garçons), cela allait être un peu difficile. Comme ce sont des ‘’gos’’ (des filles en argot ivoirien, ndlr), elles sont attachées à leur papa que je suis et restent avec moi. Je leur donne beaucoup de mon affection. Je prie beaucoup pour mes enfants. Chaque fois que mes filles me demandent quelque chose, je fais tout pour trouver cette chose sinon ce n’est pas bon ! Mon combat aujourd’hui, ce sont mes enfants, d’abord.
Au-delà de vos enfants, deux mots à tous les enfants de la Côte d’Ivoire ?
Je demande aux enfants de la Côte d’Ivoire d’aller à l’école. J’exhorte les tout-petits à respecter les parents. Il ne faudrait pas qu’ils sortent des mots discourtois. Il faut faire en sorte que les enfants puissent avoir une bonne éducation. Parce que, si à leur bas âge, leur éducation est ratée, ce n’est pas bon.
On constate que vos filles sont habillées décemment. On ne voit pas de ‘’minis’’ (jupes qui se limite à la moitié de la cuisse). Un commentaire sur l’habillement des jeunes aujourd’hui ?
Je pense que dès leur bas âge si les enfants commencent à trop porter des ‘’minis’’, ils grandissent avec et ça peut poser problème. Mes filles portent aussi des ‘’minis’’ mais c’est limité.
A quand le prochain album de Ismaël Isaac ?
Mon prochain album est déjà prêt.
Une œuvre qui comprend combien de titres ?
C’est une œuvre de 14 titres. Il reste à faire deux featuring et mixer en Europe.
Les featuring, vous allez les faire avec qui ?
Je vais chanter une chanson dont le titre est ‘’Clandestin’’ avec La Fouine. Je pense qu’à ce niveau tout est déjà fin prêt.
L’album sera donc disponible pour les fêtes de fin d’année…
Je pense que d’ici à la fin de cette année ou début 2014, Inch’Allah, l’album sortira.
La rédaction