Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le concours de beauté Miss Awoulaba connaîtra son apothéose, samedi soir, avec la finale de l’édition 2013, à l’auditorium de la bourse du travail à Treichville (commune au sud d’Abidjan) avec seize reines qui prétendent à la couronne.
Seize candidates dont treize Awoulaba issues des présélections de six communes du district d'Abidjan et de sept régions et les 3 Samaras élues lors de la dernière demi-finale du 14 septembre dernier aspirent à succéder à Alexandrine N'goran sacrée Miss Awoulaba 2012.
Les différentes candidates rivaliseront d'élégance et de charme sur trois passages (tenue boubou, tenue maxi et tenue traditionnelle) sur lesquels seront notées ces femmes aux formes généreuses, qui ont débuté leur mise au vert, jeudi, dans un complexe hôtelier abidjanais.
Le comité d'Awoulaba Côte d'Ivoire a mis les bouchées doubles pour que la célébration de ‘' la culture de la beauté de la femme'' soit un franc succès.
Awoulaba est un terme baoulé (une langue du centre ivoirien) pour désigner, une reine de beauté. Dans la culture de cette communauté ivoirienne, les Awoulaba sont de belles femmes avec des mensurations impressionnantes: un visage appréciable, une forte poitrine (critère, à l'origine, plus ou moins négligeable dans la dénomination d'une Awoulaba).
A cela, s'ajoutent, une remarquable chute de reins, et surtout, ce qui importe pour être qualifié d'Awoulaba, une hypertrophie des fesses. Une Awoulaba n'est pas obèse mais a une morphologie spéciale. Seules les fesses sont démesurées.
Le concours de beauté, Miss Awoulaba est organisé pour se démarquer de Miss Côte d'Ivoire qui s'inspire des critères standards et mondialisés.
De plus en plus souvent, des filles avec de l'embonpoint sont intégrées au concours de Miss Awoulaba dont l'initiateur, depuis 1987, est le journaliste, animateur-producteur de Radio, Pol Dokui, aujourd'hui, en exil au Ghana, suite à la crise postélectorale de 2011.
Seize candidates dont treize Awoulaba issues des présélections de six communes du district d'Abidjan et de sept régions et les 3 Samaras élues lors de la dernière demi-finale du 14 septembre dernier aspirent à succéder à Alexandrine N'goran sacrée Miss Awoulaba 2012.
Les différentes candidates rivaliseront d'élégance et de charme sur trois passages (tenue boubou, tenue maxi et tenue traditionnelle) sur lesquels seront notées ces femmes aux formes généreuses, qui ont débuté leur mise au vert, jeudi, dans un complexe hôtelier abidjanais.
Le comité d'Awoulaba Côte d'Ivoire a mis les bouchées doubles pour que la célébration de ‘' la culture de la beauté de la femme'' soit un franc succès.
Awoulaba est un terme baoulé (une langue du centre ivoirien) pour désigner, une reine de beauté. Dans la culture de cette communauté ivoirienne, les Awoulaba sont de belles femmes avec des mensurations impressionnantes: un visage appréciable, une forte poitrine (critère, à l'origine, plus ou moins négligeable dans la dénomination d'une Awoulaba).
A cela, s'ajoutent, une remarquable chute de reins, et surtout, ce qui importe pour être qualifié d'Awoulaba, une hypertrophie des fesses. Une Awoulaba n'est pas obèse mais a une morphologie spéciale. Seules les fesses sont démesurées.
Le concours de beauté, Miss Awoulaba est organisé pour se démarquer de Miss Côte d'Ivoire qui s'inspire des critères standards et mondialisés.
De plus en plus souvent, des filles avec de l'embonpoint sont intégrées au concours de Miss Awoulaba dont l'initiateur, depuis 1987, est le journaliste, animateur-producteur de Radio, Pol Dokui, aujourd'hui, en exil au Ghana, suite à la crise postélectorale de 2011.