Un check point des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), dans la matinée de samedi dernier, par inconnus encagoulés à Laoguié, village situé à 6 km d’Agboville (Sud, région de l’Agnéby Tiassa), a constaté l’AIP.
D’après une source militaire, interrogée sur place par l’AIP, quelques heures après l’attaque, les assaillants, une dizaine environs, ont mené leur assaut "vers 6 H du matin".
"Mais nos gars ont répondu immédiatement. Les échanges de tirs ont duré autour de quinze minutes, et nous n’avons pas tardé à recevoir des renforts qui sont venus d’Agboville pour nous soutenir", précisant que les assaillants qui "portaient tous des cagoules sur leur têtes", étaient vêtus "de tee-shirt blanc et de pantalon noir" pour certains, et "tout vêtu de noir" pour d’autres.
Selon la même source, ces inconnus dont plusieurs ont réussi à s’évanouir dans la broussaille, combattaient munis d’armes de guerre, dont des mitrailleuses de type AK 47, des SIG. "Ils ont aussi lancé des grenades offensives contre nous", a-t-il ajouté, indiquant qu’il n’y a pas eu de victimes des deux côtés lors des affrontements.
Des impacts de balles sont visibles sur plusieurs maisons et arbres du village. A 15 H, plusieurs villageois étaient absents du village, obligés de fuir les combats pour se réfugier dans la forêt.
Une dizaine de personnes ont été interpellées et transférées au camp militaire d’Agboville pour nécessité d’enquête.
D’après une source militaire, interrogée sur place par l’AIP, quelques heures après l’attaque, les assaillants, une dizaine environs, ont mené leur assaut "vers 6 H du matin".
"Mais nos gars ont répondu immédiatement. Les échanges de tirs ont duré autour de quinze minutes, et nous n’avons pas tardé à recevoir des renforts qui sont venus d’Agboville pour nous soutenir", précisant que les assaillants qui "portaient tous des cagoules sur leur têtes", étaient vêtus "de tee-shirt blanc et de pantalon noir" pour certains, et "tout vêtu de noir" pour d’autres.
Selon la même source, ces inconnus dont plusieurs ont réussi à s’évanouir dans la broussaille, combattaient munis d’armes de guerre, dont des mitrailleuses de type AK 47, des SIG. "Ils ont aussi lancé des grenades offensives contre nous", a-t-il ajouté, indiquant qu’il n’y a pas eu de victimes des deux côtés lors des affrontements.
Des impacts de balles sont visibles sur plusieurs maisons et arbres du village. A 15 H, plusieurs villageois étaient absents du village, obligés de fuir les combats pour se réfugier dans la forêt.
Une dizaine de personnes ont été interpellées et transférées au camp militaire d’Agboville pour nécessité d’enquête.
