Fléan Paul Aubin, professeur d’EPS : «Nous attendons beaucoup de cette visite. »
C’est avec joie que nous avons appris la visite prochaine du Président de la République dans la région de Gbêkê et dans notre département en particulier. Depuis cette annonce, le préfet a constitué des commissions dont je fais partie pour réserver à notre hôte un accueil chaleureux. Il faut dire que nous attendons beaucoup de cette visite. Nous souhaitons que le président donne des kilomètres de bitume. Aussi, faut-il qu’il pense à bitumer le tronçon Tiébissou-Sakassou-Béoumi, long d’environ 75 kilomètres. Cela va permettre sans doute au département de connaitre une relance au niveau de son économie. Par ailleurs, les fonctionnaires de la localité sont confrontés à un problème de logement, ce qui les amène souvent à vivre à plusieurs sous le même toit. Pas de station d’essence, encore moins de banque, nous sommes contraints de nous rendre toujours à Bouaké. Le seul établissement secondaire public que nous avons a souffert de la crise, il a besoin qu’on lui accorde une attention particulière.
Yao Konan Marcellin, (responsable des sport et loisirs à la jeunesse communale de Sakassou)
«C’est une occasion pour nous de lui faire part de nos préoccupations. »
Depuis l’annonce de la nouvelle de l’arrivée du Président dans le département, je suis très heureux car c’est une occasion pour nous de lui faire part de nos préoccupations. La ville n’est pas salubre dû au manque de moyens adéquats pour la mairie de faire face à cela. Dans certains villages, il n’y a pas de pompes, pas d’électricité. Je souhaiterais aussi qu’au sein du lycée moderne, qu’il y ait un internat pour que les élèves puissent mieux être encadres pour éviter aux jeunes filles les grossesses non désirées pouvant mettre fin à leurs études. En tout cas, il y a un engouement autour de cet évènement que nous voulons historique. La mobilisation est très forte..
Kouassi Amoin Corine, élève : « Nous sommes prêts à l’accueillir. »
Nous sommes prêts à l’accueillir. Nous voulons qu’il construise des hôpitaux, des écoles dans notre département. Nous souhaitons que la voie Tiébissou-Sakassou-Béoumi soit bitumée. Son arrivée doit apporter un grand changement à la localité avec de l’eau potable et l’électricité dans tous les villages. Que toutes les infrastructures qui ont fait les frais de la crise militaro politique soit réhabilitées pour donner un visage nouveau au département..
Konan Kouamé Grégoire (cultivateur) : « Qu’il fasse quelque chose pour nous. »
La prochaine visite du chef de l’Etat dans notre département est à saluer. Nous souhaitons qu’il fasse quelque chose pour nous les cultivateurs. La voie Tiébissou-Sakassou-Béoumi doit être bitumée pour nous éviter de faire le tour en passant par Bouaké pour aller à Abidjan. Nous avons besoin que les villages qui ne le sont pas encore soient électrifiés, notamment Kahakro et Sandro. On a besoin de l’eau potable.
C’est avec joie que nous avons appris la visite prochaine du Président de la République dans la région de Gbêkê et dans notre département en particulier. Depuis cette annonce, le préfet a constitué des commissions dont je fais partie pour réserver à notre hôte un accueil chaleureux. Il faut dire que nous attendons beaucoup de cette visite. Nous souhaitons que le président donne des kilomètres de bitume. Aussi, faut-il qu’il pense à bitumer le tronçon Tiébissou-Sakassou-Béoumi, long d’environ 75 kilomètres. Cela va permettre sans doute au département de connaitre une relance au niveau de son économie. Par ailleurs, les fonctionnaires de la localité sont confrontés à un problème de logement, ce qui les amène souvent à vivre à plusieurs sous le même toit. Pas de station d’essence, encore moins de banque, nous sommes contraints de nous rendre toujours à Bouaké. Le seul établissement secondaire public que nous avons a souffert de la crise, il a besoin qu’on lui accorde une attention particulière.
Yao Konan Marcellin, (responsable des sport et loisirs à la jeunesse communale de Sakassou)
«C’est une occasion pour nous de lui faire part de nos préoccupations. »
Depuis l’annonce de la nouvelle de l’arrivée du Président dans le département, je suis très heureux car c’est une occasion pour nous de lui faire part de nos préoccupations. La ville n’est pas salubre dû au manque de moyens adéquats pour la mairie de faire face à cela. Dans certains villages, il n’y a pas de pompes, pas d’électricité. Je souhaiterais aussi qu’au sein du lycée moderne, qu’il y ait un internat pour que les élèves puissent mieux être encadres pour éviter aux jeunes filles les grossesses non désirées pouvant mettre fin à leurs études. En tout cas, il y a un engouement autour de cet évènement que nous voulons historique. La mobilisation est très forte..
Kouassi Amoin Corine, élève : « Nous sommes prêts à l’accueillir. »
Nous sommes prêts à l’accueillir. Nous voulons qu’il construise des hôpitaux, des écoles dans notre département. Nous souhaitons que la voie Tiébissou-Sakassou-Béoumi soit bitumée. Son arrivée doit apporter un grand changement à la localité avec de l’eau potable et l’électricité dans tous les villages. Que toutes les infrastructures qui ont fait les frais de la crise militaro politique soit réhabilitées pour donner un visage nouveau au département..
Konan Kouamé Grégoire (cultivateur) : « Qu’il fasse quelque chose pour nous. »
La prochaine visite du chef de l’Etat dans notre département est à saluer. Nous souhaitons qu’il fasse quelque chose pour nous les cultivateurs. La voie Tiébissou-Sakassou-Béoumi doit être bitumée pour nous éviter de faire le tour en passant par Bouaké pour aller à Abidjan. Nous avons besoin que les villages qui ne le sont pas encore soient électrifiés, notamment Kahakro et Sandro. On a besoin de l’eau potable.