La Coalition des Organisations de la Société Civile du Tonkpi (COSCIT), en collaboration avec la ComNat-ALPC et l’Onuci, a organisé le mercredi 30 octobre, une opération de collectes d’armes dans la cour de la préfecture de Police de Man. Ce sont à cet effet, une trentaine d’armes, 1583 munitions et 54 grenades qui ont pu être pré-collectées. Cette opération de dépôt volontaire d’armes, qui se situe dans le cadre de la lutte contre la prolifération d’armes légères et de petits calibres, a été précédée de deux semaines de sensibilisation menée par la COSCIT auprès des jeunes à risque. Pour le troisième adjoint au maire, Touré Sékou, le geste des déposants s’inscrit dans l’intérêt des populations et contribue à la restauration de la sécurité dans la commune
Le président du COSCIT, Koulaï Valentin, a révélé que de nombreux jeunes utilisent l’arme comme leur « gagne pain ». Le dépôt d’armes s’accompagne de mesures. Le déposant bénéficie soit de projets individuels ou collectifs, a pour sa part rassuré, Amani Koffi, représentant de la ComNat.
Au nom du préfet, le secrétaire général de la préfecture de Man, Kokora Patrice, a lancé un appel solennel aux détenteurs illégaux d’armes à venir les déposer au risque de s’exposer à la rigueur de la loi. « Nous voulons appeler tous ceux qui détiennent illégalement des armes à venir les déposer, car il va arriver un moment ou viendra la phase de répression », les a-t-il prévenu.
Rahoul Sainfort correspondant
Le président du COSCIT, Koulaï Valentin, a révélé que de nombreux jeunes utilisent l’arme comme leur « gagne pain ». Le dépôt d’armes s’accompagne de mesures. Le déposant bénéficie soit de projets individuels ou collectifs, a pour sa part rassuré, Amani Koffi, représentant de la ComNat.
Au nom du préfet, le secrétaire général de la préfecture de Man, Kokora Patrice, a lancé un appel solennel aux détenteurs illégaux d’armes à venir les déposer au risque de s’exposer à la rigueur de la loi. « Nous voulons appeler tous ceux qui détiennent illégalement des armes à venir les déposer, car il va arriver un moment ou viendra la phase de répression », les a-t-il prévenu.
Rahoul Sainfort correspondant