Yamoussoukro, suscite des ferveurs. Les opérateurs du secteur hôteliers ainsi que ceux des maquis, mettent les bouchées doubles pour la réussite de ce rendez-vous important. L’hôtel président et celui des députés ont mis en place des équipes pour l’entretien d’abord des parkings et jardins au quotidien. Ces deux grandes chaînes hôtelières qui font la fierté de la cité de la paix, selon la direction générale de la société de développement touristique (SODERTOUR-LACS), ont déjà fait peau neuve. Toutes les chambres ont été passées au peigne fin et n’attendent que le jour « J » pour offrir un agréable séjour aux occupants.
Quant aux opérateurs privés du secteur, ils ont également offert une cure de jouvence à leurs structures. Chacun des hôtels de moyen standing, tout comme ceux de bas standing, sont à pied d’œuvre pour offrir du confort. Selon Kouassi Florentin, assistant du directeur général de l’hôtel Assandy, sis au quartier les 220logts, les 40 chambres dont dispose sa structure ont été déjà réquisitionnées par le préfet, président local du comité d’organisation de cette visite d’Etat dans la région du Bélier et du District autonome de Yamoussoukro. A cet effet, dit-il, des rénovations sont entrain d’être faites depuis déjà quatre (4) mois. Une équipe interne a été mise en place pour veiller à l’hygiène à l’extérieur, comme à l’intérieur tous les mardis de la semaine, jusqu’à l’arrivée du chef de l’Etat et de toute la délégation qui l’accompagne. Son travail consiste à la vérification de l’entretien et le désherbage de l’extérieur de l’hôtel, contrôle des chambres, et toilettes. Une seconde équipe technique provenant d’une structure de l’extérieur a été choisie pour veiller à l’entretien des split depuis trois. Les chambres et le bâtiment ont connu de nouvelles couches de peinture. Au plan sécuritaire, l’hôtel emploi deux chasseurs traditionnels (Dozo) et un agent de sécurité, pour la sécurisation des biens et des personnes. Un restaurant d’une capacité de 60 personnes sera mis à la disposition des occupants pendant cette visite pour leurs petits déjeuner, dîner avec des mets africains et européens.
D’Attounglan au quartier millionnaire en passant par « Aho, » la « Réserve, » « Royal Hôtel, » « AKraya » à Assabou et la « Résidence » au quartier Energie, ce sont les mêmes travaux de rénovation.
Concernant les restaurants et maquis, c’est la concurrence totale. Les tenanciers disent être déterminés à servir ce qu’ils ont de meilleurs et délicieux plats selon les différentes spécialités. Le maquis 106 a été complètement relooké. Les murs ont connu une couche de peinture rose. En dehors de la grande salle de restauration, des innovations ont été faites. Des paillotes sont sorties de terre, au bord du lac artificiel avec une capacité de 1000 clients. La gérante Mado, promet que tout est fin prêt pour offrir un agréable séjour au président de la République et à toute la délégation qui l’accompagne. Au niveau de ses nombreuses spécialités africaines, elle souligne qu’il y aura à manger à « gogo » pour toutes les bourses. A partir de 200F à 7.500FCFA dès 6h du matin. Pour la circonstance deux équipes d’employés vont se relayer appuyées par des extras.
Quant à Mme Kouamé née Denise du maquis 150 au quartier millionnaire, la capacité d’accueil va passer ce jour, de 200 à 600 personnes. Des bâches seront placées en plein air, pour permettre à ceux qui veulent respirer de l’air pur, de déguster les différentes spécialités africaines, européennes et surtout du spécial « Djoublé » baoulé. Mais ce qui importe d’abord, dit-elle, c’est de donner un joli visage aux maquis et restaurants tous par les travaux de réhabilitation ou de rénovation et d’assainissement.
Jacquelin Mintoh
Quant aux opérateurs privés du secteur, ils ont également offert une cure de jouvence à leurs structures. Chacun des hôtels de moyen standing, tout comme ceux de bas standing, sont à pied d’œuvre pour offrir du confort. Selon Kouassi Florentin, assistant du directeur général de l’hôtel Assandy, sis au quartier les 220logts, les 40 chambres dont dispose sa structure ont été déjà réquisitionnées par le préfet, président local du comité d’organisation de cette visite d’Etat dans la région du Bélier et du District autonome de Yamoussoukro. A cet effet, dit-il, des rénovations sont entrain d’être faites depuis déjà quatre (4) mois. Une équipe interne a été mise en place pour veiller à l’hygiène à l’extérieur, comme à l’intérieur tous les mardis de la semaine, jusqu’à l’arrivée du chef de l’Etat et de toute la délégation qui l’accompagne. Son travail consiste à la vérification de l’entretien et le désherbage de l’extérieur de l’hôtel, contrôle des chambres, et toilettes. Une seconde équipe technique provenant d’une structure de l’extérieur a été choisie pour veiller à l’entretien des split depuis trois. Les chambres et le bâtiment ont connu de nouvelles couches de peinture. Au plan sécuritaire, l’hôtel emploi deux chasseurs traditionnels (Dozo) et un agent de sécurité, pour la sécurisation des biens et des personnes. Un restaurant d’une capacité de 60 personnes sera mis à la disposition des occupants pendant cette visite pour leurs petits déjeuner, dîner avec des mets africains et européens.
D’Attounglan au quartier millionnaire en passant par « Aho, » la « Réserve, » « Royal Hôtel, » « AKraya » à Assabou et la « Résidence » au quartier Energie, ce sont les mêmes travaux de rénovation.
Concernant les restaurants et maquis, c’est la concurrence totale. Les tenanciers disent être déterminés à servir ce qu’ils ont de meilleurs et délicieux plats selon les différentes spécialités. Le maquis 106 a été complètement relooké. Les murs ont connu une couche de peinture rose. En dehors de la grande salle de restauration, des innovations ont été faites. Des paillotes sont sorties de terre, au bord du lac artificiel avec une capacité de 1000 clients. La gérante Mado, promet que tout est fin prêt pour offrir un agréable séjour au président de la République et à toute la délégation qui l’accompagne. Au niveau de ses nombreuses spécialités africaines, elle souligne qu’il y aura à manger à « gogo » pour toutes les bourses. A partir de 200F à 7.500FCFA dès 6h du matin. Pour la circonstance deux équipes d’employés vont se relayer appuyées par des extras.
Quant à Mme Kouamé née Denise du maquis 150 au quartier millionnaire, la capacité d’accueil va passer ce jour, de 200 à 600 personnes. Des bâches seront placées en plein air, pour permettre à ceux qui veulent respirer de l’air pur, de déguster les différentes spécialités africaines, européennes et surtout du spécial « Djoublé » baoulé. Mais ce qui importe d’abord, dit-elle, c’est de donner un joli visage aux maquis et restaurants tous par les travaux de réhabilitation ou de rénovation et d’assainissement.
Jacquelin Mintoh