La capitale de l’Indénié est en passe de voler la vedette à Abidjan en ce qui concerne la dépravation des mœurs. L’homosexualité et plus particulièrement sa forme féminine ainsi que d’autres vices y connaissent un boom depuis quelque temps.
C.T. a tout avoué. Approchée, cette jeune demoiselle, diplômée d’une grande école d’Abidjan, et revenue vivre auprès de sa mère à Abengourou, n’a pas caché ses penchants homosexuels. Elle révèle avoir plusieurs partenaires dont une élève, membre de l’équipe de football d’un lycée de la place. Et son cas est loin d’être isolé. Selon des témoignages dignes de foi, plusieurs lycéennes s’adonnent au lesbianisme. Elles sont aussi bien dans le public que dans certains lycées privés de la ville.
T.O., gérant d’un espace de jeux-vidéo, non loin de la ‘’Place de la solidarité’’, en sait quelque chose. « J’ai surpris deux partenaires en train de se peloter en pleine nuit. J’ai dû les chasser en les menaçant», confie-t-il. D’abord discret, ce phénomène a commencé à prendre de l’ampleur. « La compagne d’un militaire bien connu avait une ‘’femme’’ au lycée. Elle se la réservait jalousement et cassait la figure à toute personne de sexe masculin qui convoitait sa proie.
A son départ, la fille et ses camarades n’ont plus eu de complexe à perpétuer la pratique en recrutant d’autres adolescentes souvent innocentes», rapporte un enseignant. Cette prostitution particulière se fait généralement avec des femmes d’âge mûr qui viennent souvent d’autres villes dont Abidjan et qui logent dans certains des nombreux hôtels de la cité de l’Indenié. Il est de notoriété que de nombreuses lycéennes ont leurs contacts dans des hôtels qui les joignent à chaque fois qu’une cliente en fait la demande. «Une dame circulant à bord d’un véhicule de luxe vient régulièrement d’Abidjan pour recruter des jeunes filles plus ou moins innocentes», précise sous le couvert de l’anonymat un gérant d’un hôtel. Dans les cybers, il n’est pas rare de surprendre de jeunes internautes en train d’échanger avec des filles via webcam.
Aussi, les jeunes lesbiennes qui foisonnent sont pour la plupart victimes de la mode. « Il y a beaucoup d’argent dedans », n’a pas hésité à confesser K.R. qui soutient ne pas ressentir d’attirance pour les hommes. Curieuses à souhait, ces filles qui sont sans cesse en quête de sensations fortes veulent découvrir toutes les innovations. Pour elles, l’homosexualité fait partie de la mode et s’y adonner reste une des conditions absolues pour être en vue. Il faut aussi ressembler à l’autre sexe. Aujourd’hui, de nombreuses adolescentes ont des allures de jeunes garçons : cheveux courts, pas de boucles d’oreille, tenue macho.
Le quartier Château et la ‘’Rue princesse’’ sont des lieux de ralliement de ces personnes. Sans parler des maquis et autres lieux de plaisir. Ainsi, après l’homosexualité masculine qui a défrayé la chronique (on se souvient de l’arrestation, en 2012, d’un cadre qui abusait de jeunes collégiens de la ville), le lesbianisme aussi commence à prendre des proportions inquiétantes. De nombreux parents approchés ont exprimé leurs inquiétudes, craignant de voir leurs progénitures dévier vers ces comportements très souvent irréversibles. Mais peu sont les personnes qui ont accepté de parler du phénomène à visage découvert.
Koffi Jean Luc à Abengourou
C.T. a tout avoué. Approchée, cette jeune demoiselle, diplômée d’une grande école d’Abidjan, et revenue vivre auprès de sa mère à Abengourou, n’a pas caché ses penchants homosexuels. Elle révèle avoir plusieurs partenaires dont une élève, membre de l’équipe de football d’un lycée de la place. Et son cas est loin d’être isolé. Selon des témoignages dignes de foi, plusieurs lycéennes s’adonnent au lesbianisme. Elles sont aussi bien dans le public que dans certains lycées privés de la ville.
T.O., gérant d’un espace de jeux-vidéo, non loin de la ‘’Place de la solidarité’’, en sait quelque chose. « J’ai surpris deux partenaires en train de se peloter en pleine nuit. J’ai dû les chasser en les menaçant», confie-t-il. D’abord discret, ce phénomène a commencé à prendre de l’ampleur. « La compagne d’un militaire bien connu avait une ‘’femme’’ au lycée. Elle se la réservait jalousement et cassait la figure à toute personne de sexe masculin qui convoitait sa proie.
A son départ, la fille et ses camarades n’ont plus eu de complexe à perpétuer la pratique en recrutant d’autres adolescentes souvent innocentes», rapporte un enseignant. Cette prostitution particulière se fait généralement avec des femmes d’âge mûr qui viennent souvent d’autres villes dont Abidjan et qui logent dans certains des nombreux hôtels de la cité de l’Indenié. Il est de notoriété que de nombreuses lycéennes ont leurs contacts dans des hôtels qui les joignent à chaque fois qu’une cliente en fait la demande. «Une dame circulant à bord d’un véhicule de luxe vient régulièrement d’Abidjan pour recruter des jeunes filles plus ou moins innocentes», précise sous le couvert de l’anonymat un gérant d’un hôtel. Dans les cybers, il n’est pas rare de surprendre de jeunes internautes en train d’échanger avec des filles via webcam.
Aussi, les jeunes lesbiennes qui foisonnent sont pour la plupart victimes de la mode. « Il y a beaucoup d’argent dedans », n’a pas hésité à confesser K.R. qui soutient ne pas ressentir d’attirance pour les hommes. Curieuses à souhait, ces filles qui sont sans cesse en quête de sensations fortes veulent découvrir toutes les innovations. Pour elles, l’homosexualité fait partie de la mode et s’y adonner reste une des conditions absolues pour être en vue. Il faut aussi ressembler à l’autre sexe. Aujourd’hui, de nombreuses adolescentes ont des allures de jeunes garçons : cheveux courts, pas de boucles d’oreille, tenue macho.
Le quartier Château et la ‘’Rue princesse’’ sont des lieux de ralliement de ces personnes. Sans parler des maquis et autres lieux de plaisir. Ainsi, après l’homosexualité masculine qui a défrayé la chronique (on se souvient de l’arrestation, en 2012, d’un cadre qui abusait de jeunes collégiens de la ville), le lesbianisme aussi commence à prendre des proportions inquiétantes. De nombreux parents approchés ont exprimé leurs inquiétudes, craignant de voir leurs progénitures dévier vers ces comportements très souvent irréversibles. Mais peu sont les personnes qui ont accepté de parler du phénomène à visage découvert.
Koffi Jean Luc à Abengourou