Les cadres du canton Gblo des circonscriptions de Diabo et Languibonou, qui ne veulent pas apparaître des marginaux dans l’élan mobilisateur des forces vives, s’activent, depuis bientôt 21 jours, au siège de l’AIP, à Abidjan, au Plateau, face à l’immeuble de la Caistab, pour contribuer au succès de la visite d’Etat du président de la République, Alassane Ouattara, dans la région du Gbêkê.
A l’initiative de MM. Barnabé Yébouet, directeur général de la Banque pour le financement de l’agriculture(Bfa), Fousseni N’Guessan, Rédacteur en chef central à l’AIP, et François Allédji Assiè, inspecteur au ministère de la Promotion de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs, ces cadres y comptent bien signer leur participation, et se retrouvent, à nouveau, mardi, pour les derniers réglages de cette mobilisation.
L’homme d’affaires ivoirien, bien connu, Kouamé Konan N’Sikan, patron du holding de transport UTB et AHT, qui y est issu, les appuie en mettant à leur disposition des autocars de tourisme pour leur déplacement et les différents circuits de cette visite d’Etat. Il a d’ores et déjà annoncé en faire de même pour tous ceux de la région qui envisagent effectuer le déplacement.
Il s’agit, à travers cette opportunité qu’offre la visite du Président Ouattara dans la région, de signaler la présence, dans le microcosme national, du grand canton Gblo. Regroupant les circonscriptions de Diabo et Languibonou, ce canton regorge de hauts cadres, et dans tous les secteurs de développement. Ceux-ci entendent, dorénavant, ne plus honorer les chrysanthèmes, parce que, font-ils valoir, «la Côte d’Ivoire d’Alassane Ouattara doit réaliser son émergence avec eux ».
Peuplée d’environ 30.000 âmes, essentiellement agriculteurs, cependant industrieuses également dans les domaines du transport, du commerce et de l’hôtellerie, Diabo a donné naissance à la sous-préfecture de Languibonou, l’un de ses ex-villages-centre. Regroupant près de 100 villages, y compris les sites habités, la région Gblo est faiblement dotée en infrastructures de base.
Relevant de l’ex-subdivision centrale de Bouaké, le canton Gblo est érigé, au lendemain de l’accession à l’indépendance, en 1961, en circonscription administrative de plein exercice, mais figure dans la catégorie des circonscriptions administratives de troisième ordre. Aujourd’hui, amers, bien qu’ayant voté, pour l’une et l’autre, à plus de 77% pour Alassane Ouattara, au second tour du scrutin présidentiel du 28 novembre 2010, les Gblo vivent très mal leur rattachement au département de Botro, naguère dépendant de la subdivision de Béoumi.
ask/nf
A l’initiative de MM. Barnabé Yébouet, directeur général de la Banque pour le financement de l’agriculture(Bfa), Fousseni N’Guessan, Rédacteur en chef central à l’AIP, et François Allédji Assiè, inspecteur au ministère de la Promotion de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs, ces cadres y comptent bien signer leur participation, et se retrouvent, à nouveau, mardi, pour les derniers réglages de cette mobilisation.
L’homme d’affaires ivoirien, bien connu, Kouamé Konan N’Sikan, patron du holding de transport UTB et AHT, qui y est issu, les appuie en mettant à leur disposition des autocars de tourisme pour leur déplacement et les différents circuits de cette visite d’Etat. Il a d’ores et déjà annoncé en faire de même pour tous ceux de la région qui envisagent effectuer le déplacement.
Il s’agit, à travers cette opportunité qu’offre la visite du Président Ouattara dans la région, de signaler la présence, dans le microcosme national, du grand canton Gblo. Regroupant les circonscriptions de Diabo et Languibonou, ce canton regorge de hauts cadres, et dans tous les secteurs de développement. Ceux-ci entendent, dorénavant, ne plus honorer les chrysanthèmes, parce que, font-ils valoir, «la Côte d’Ivoire d’Alassane Ouattara doit réaliser son émergence avec eux ».
Peuplée d’environ 30.000 âmes, essentiellement agriculteurs, cependant industrieuses également dans les domaines du transport, du commerce et de l’hôtellerie, Diabo a donné naissance à la sous-préfecture de Languibonou, l’un de ses ex-villages-centre. Regroupant près de 100 villages, y compris les sites habités, la région Gblo est faiblement dotée en infrastructures de base.
Relevant de l’ex-subdivision centrale de Bouaké, le canton Gblo est érigé, au lendemain de l’accession à l’indépendance, en 1961, en circonscription administrative de plein exercice, mais figure dans la catégorie des circonscriptions administratives de troisième ordre. Aujourd’hui, amers, bien qu’ayant voté, pour l’une et l’autre, à plus de 77% pour Alassane Ouattara, au second tour du scrutin présidentiel du 28 novembre 2010, les Gblo vivent très mal leur rattachement au département de Botro, naguère dépendant de la subdivision de Béoumi.
ask/nf
