Bouaké -Dans le cadre de la prochaine visite présidentielle, la fédération des organisations républicaines pour la cohésion et l’émergence 2015 (FORCE 2015) entreprend, dans la région de Gbèkè, une mission de mobilisation ponctuée d’opération de don de sang dans les établissements secondaires.
Après le lycée moderne de Botro, le mouvement FORCE 2015, se réclamant du président Ouattara, a initié, mercredi, une deuxième opération de don de sang avec les élèves du Lycée Classique et Moderne de Bouaké.
Son président, un journaliste du nom de Charles Gnaoré, dit avoir choisi cette activité "parce qu’il trouve anormal que certaines personnes ne puissent pas participer à la visite du chef de l’Etat à cause de leur état de santé".
«Demain, le chef de l’Etat vient, on ne sait jamais, il peut avoir des situations malheureuses; tu pourras, avec ton sang, sauver des vies», a-t-il justifié, en guise de message aux élèves, non sans les avoir invités à se mobiliser pour l’accueil du président Alassane Ouattara, le 25 novembre.
Selon M. Gnaoré, c’est sa manière de mobiliser les populations particulièrement les élèves autour de la visite présidentielle. «Pour nous, l’essentiel, c’est que nous puissions apporter quelque chose dans cette mobilisation pour la visite du chef de l’Etat», a-t-il soutenu.
«Nous sommes entièrement satisfaits; nous avons trouvé des élèves engagés à sauver la vie de l’autre; nous avons trouvé des élèves heureux de savoir que le chef de l’Etat arrive et que, par le don de leur sang, ils contribuent à cette mobilisation», a-t-il conclu.
Selon les responsables du Centre régional de transfusion sanguine, depuis l’ouverture du laboratoire de préparation des produits sanguins, en septembre 2012, le centre arrive à satisfaire les demandes, mais n’est pas encore autosuffisant, au regard des normes définies par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
(AIP)
nbf/nf
Après le lycée moderne de Botro, le mouvement FORCE 2015, se réclamant du président Ouattara, a initié, mercredi, une deuxième opération de don de sang avec les élèves du Lycée Classique et Moderne de Bouaké.
Son président, un journaliste du nom de Charles Gnaoré, dit avoir choisi cette activité "parce qu’il trouve anormal que certaines personnes ne puissent pas participer à la visite du chef de l’Etat à cause de leur état de santé".
«Demain, le chef de l’Etat vient, on ne sait jamais, il peut avoir des situations malheureuses; tu pourras, avec ton sang, sauver des vies», a-t-il justifié, en guise de message aux élèves, non sans les avoir invités à se mobiliser pour l’accueil du président Alassane Ouattara, le 25 novembre.
Selon M. Gnaoré, c’est sa manière de mobiliser les populations particulièrement les élèves autour de la visite présidentielle. «Pour nous, l’essentiel, c’est que nous puissions apporter quelque chose dans cette mobilisation pour la visite du chef de l’Etat», a-t-il soutenu.
«Nous sommes entièrement satisfaits; nous avons trouvé des élèves engagés à sauver la vie de l’autre; nous avons trouvé des élèves heureux de savoir que le chef de l’Etat arrive et que, par le don de leur sang, ils contribuent à cette mobilisation», a-t-il conclu.
Selon les responsables du Centre régional de transfusion sanguine, depuis l’ouverture du laboratoire de préparation des produits sanguins, en septembre 2012, le centre arrive à satisfaire les demandes, mais n’est pas encore autosuffisant, au regard des normes définies par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
(AIP)
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