En Côte d’Ivoire, le sachet plastique est le plus utilisé dans les emballages. Ce constat fait par Bamba Daouda Alain, responsable du projet Bipecda – Bureau international du prix d’excellence de la coopération pour le développement durable en Afrique est une recommandation, un conseil à réduire davantage l’utilisation du plastique en adoptant un comportement éco-responsable. Avec le Bipecda, le projet est de mettre sur pied un salon pour la promotion du sachet biodégradable. Promouvoir l’éco-innovation, c’est-à-dire permettre à la population de s’occuper à la récupération des sachets plastiques et la protection de l’environnement. «Sachets plastiques, danger pour la santé et l’environnement, quelle solution ?», était le thème par lequel la sensibilisation a eu lieu au Cerap, à Cocody.
Les sachets plastiques non recyclés qui sont sources de prolifération d’agents pathogènes, font courir des dangers ‘’indéniables’’ sur la santé. L’exemple du danger environnemental, est le visage qu’offre la baie des lagunes et d’autres catastrophes maritimes dues aux sachets plastiques, note Bamba Daouda Alain.
«Nous comptons être au rendez-vous de l’excellence. Nous espérons que chacun de nous s’engagera davantage à la protection environnementale», a souhaité Dr Bitti, Directrice de l’hygiène publique.
De l’avis de Zan Stanislas, directeur exécutif du Bipecda, il faut poser des actes concrets parce que les mots – changement de comportement – ne suffisent plus. Le développement durable, loin d’être un «concept vague, concerne tout un chacun».
Le Bipecda, est une organisation à vocation panafricaine chargée de promouvoir la solidarité et la coopération internationale pour le développement durable en Afrique.
KS
Les sachets plastiques non recyclés qui sont sources de prolifération d’agents pathogènes, font courir des dangers ‘’indéniables’’ sur la santé. L’exemple du danger environnemental, est le visage qu’offre la baie des lagunes et d’autres catastrophes maritimes dues aux sachets plastiques, note Bamba Daouda Alain.
«Nous comptons être au rendez-vous de l’excellence. Nous espérons que chacun de nous s’engagera davantage à la protection environnementale», a souhaité Dr Bitti, Directrice de l’hygiène publique.
De l’avis de Zan Stanislas, directeur exécutif du Bipecda, il faut poser des actes concrets parce que les mots – changement de comportement – ne suffisent plus. Le développement durable, loin d’être un «concept vague, concerne tout un chacun».
Le Bipecda, est une organisation à vocation panafricaine chargée de promouvoir la solidarité et la coopération internationale pour le développement durable en Afrique.
KS