La presse a largement relayé ces derniers jours de tristes faits qui ont touché des journalistes. Il s’agit du décès de Désiré Gnonsiohoué alias Désiré Oué, Rédacteur en Chef à Tomorrow Magazine, survenu le jeudi 14 novembre 2013 et de l’enlèvement dans la nuit du lundi 18 au mardi 19 novembre 2013 de Dieusmonde Tadé, journaliste au quotidien Le Nouveau Réveil par des inconnus.
Le Ministère de la Communication condamne ces actes de violence et exprime son soutien et sa compassion aux victimes, de même qu’à leurs familles biologiques et professionnelles. Il souhaite vivement que la lumière soit faite afin que les coupables soient punis.
Par ailleurs, le Ministère de la Communication constate que certains organes de presse tirent des conclusions hâtives de ces situations alors qu’aucune enquête en l’état actuel de la procédure ne permet de donner l’identité, encore moins les motivations des auteurs.
Par conséquent, le Ministère de la Communication invite les journalistes à rester fidèles aux faits, comme le recommande la déontologie de leur métier, et à ne point se substituer à la police, bien qu’ils aient le droit d’exprimer leur solidarité à leurs confrères.
Notre pays sort d’une grave crise. Chaque corps de métier doit l’aider à se remettre encore plus vite sur la voie du développement qu’il a retrouvée. Nul n’a intérêt à politiser à tout prix les malheurs qui arrivent aux autres.
Le Ministère de la Communication tient enfin à réaffirmer ici l’engagement du Président de la République, SEM Alassane OUATTARA et de tout le gouvernement à continuer à œuvrer pour assurer aux Ivoiriens en général et aux journalistes en particulier, un environnement sécurisé, propice à l’exercice de leur profession.
Fait à Abidjan, le 19 Novembre 2013
Le Ministre de la Communication
Me Affoussiata BAMBA
Le Ministère de la Communication condamne ces actes de violence et exprime son soutien et sa compassion aux victimes, de même qu’à leurs familles biologiques et professionnelles. Il souhaite vivement que la lumière soit faite afin que les coupables soient punis.
Par ailleurs, le Ministère de la Communication constate que certains organes de presse tirent des conclusions hâtives de ces situations alors qu’aucune enquête en l’état actuel de la procédure ne permet de donner l’identité, encore moins les motivations des auteurs.
Par conséquent, le Ministère de la Communication invite les journalistes à rester fidèles aux faits, comme le recommande la déontologie de leur métier, et à ne point se substituer à la police, bien qu’ils aient le droit d’exprimer leur solidarité à leurs confrères.
Notre pays sort d’une grave crise. Chaque corps de métier doit l’aider à se remettre encore plus vite sur la voie du développement qu’il a retrouvée. Nul n’a intérêt à politiser à tout prix les malheurs qui arrivent aux autres.
Le Ministère de la Communication tient enfin à réaffirmer ici l’engagement du Président de la République, SEM Alassane OUATTARA et de tout le gouvernement à continuer à œuvrer pour assurer aux Ivoiriens en général et aux journalistes en particulier, un environnement sécurisé, propice à l’exercice de leur profession.
Fait à Abidjan, le 19 Novembre 2013
Le Ministre de la Communication
Me Affoussiata BAMBA