Bouaké – Le Gouvernement a décidé mardi, lors du conseil des ministres tenu à la préfecture de Bouaké, de la relance des unités industrielles de Bouaké, dont la CIDT, Gonfreville, Olhéol Côte d’Ivoire (ex-Trituraf), a annoncé son porte-parole, le ministre Bruno Nabagné Koné.
Lors du point presse consécutif au conseil des ministres, Bruno Koné a expliqué que le Gouvernement a pris des mesures pour la relance de la filière coton, ajoutant que le Président Alassane Ouattara a donné des instructions pour le « traitement urgent » aux questions liées à cette filière en général et en particulier pour la relance des entreprises.
En plus du redémarrage des activités de la CIDT, Gonfreville, Olhéol Côte d’Ivoire, toutes les autres grandes industries qui ont fait la richesse de Bouaké sont concernées, a souligné le ministre Bruno Koné. Il a rappelé qu’il y a une vingtaine d’années, Bouaké était la 2ème économie ivoirienne et de l’espace UEMOA après Abidjan, expliquant que le Gouvernement veut faire en sorte que cette situation revienne.
Bouaké abrite également la plus grande usine de transformation d’anacarde au monde, appartenant au groupe Olam, ainsi que la Société ivoirienne de tabac (Sitab) et le groupe Fibako Ivoirembal, filiale de Filtisac, une entreprise spécialisée dans la corderie et la sacherie.
Pour matérialiser cet engagement gouvernemental de redresser ces entreprises qui ont connu une baisse drastique de leurs activités accentuée par la décennie de crise militaro-politique, le Président Ouattara, en partance à Botro dans le cadre de sa visite d’Etat dans la région de Gbèkè, a fait une escale à la CIDT (Compagnie ivoirienne pour le développement des textiles), mercredi matin, pour saluer les cadres et travailleurs.
Quant à Trituraf, elle a ouvert ses portes en 1975, avant de fermer en 2002, à cause de la crise militaro-politique. Passée sous le contrôle d’Olhéol en 2007, elle est une entreprise de trituration de graines oléagineuses, de raffinage d’huiles végétales et de fabrication de savon. Disposant d’une capacité de production journalière de 2000 futs d’huile, l’usine traite annuellement plus de 180 000 tonnes de coton graine et produit également des tourteaux utilisés dans la fabrication d’aliments de volailles et bétail.
Bâtie sur un site de 18 hectares sur lesquels sept demeurent encore inexploités, Olhéol, la plus grande usine en matière d’huilerie en Afrique de l’Ouest, embaucherait, à plein régime, plus de 310 travailleurs pour un chiffre d’affaires annuel consolidé de plus de 26 milliards FCFA.
cmas
Lors du point presse consécutif au conseil des ministres, Bruno Koné a expliqué que le Gouvernement a pris des mesures pour la relance de la filière coton, ajoutant que le Président Alassane Ouattara a donné des instructions pour le « traitement urgent » aux questions liées à cette filière en général et en particulier pour la relance des entreprises.
En plus du redémarrage des activités de la CIDT, Gonfreville, Olhéol Côte d’Ivoire, toutes les autres grandes industries qui ont fait la richesse de Bouaké sont concernées, a souligné le ministre Bruno Koné. Il a rappelé qu’il y a une vingtaine d’années, Bouaké était la 2ème économie ivoirienne et de l’espace UEMOA après Abidjan, expliquant que le Gouvernement veut faire en sorte que cette situation revienne.
Bouaké abrite également la plus grande usine de transformation d’anacarde au monde, appartenant au groupe Olam, ainsi que la Société ivoirienne de tabac (Sitab) et le groupe Fibako Ivoirembal, filiale de Filtisac, une entreprise spécialisée dans la corderie et la sacherie.
Pour matérialiser cet engagement gouvernemental de redresser ces entreprises qui ont connu une baisse drastique de leurs activités accentuée par la décennie de crise militaro-politique, le Président Ouattara, en partance à Botro dans le cadre de sa visite d’Etat dans la région de Gbèkè, a fait une escale à la CIDT (Compagnie ivoirienne pour le développement des textiles), mercredi matin, pour saluer les cadres et travailleurs.
Quant à Trituraf, elle a ouvert ses portes en 1975, avant de fermer en 2002, à cause de la crise militaro-politique. Passée sous le contrôle d’Olhéol en 2007, elle est une entreprise de trituration de graines oléagineuses, de raffinage d’huiles végétales et de fabrication de savon. Disposant d’une capacité de production journalière de 2000 futs d’huile, l’usine traite annuellement plus de 180 000 tonnes de coton graine et produit également des tourteaux utilisés dans la fabrication d’aliments de volailles et bétail.
Bâtie sur un site de 18 hectares sur lesquels sept demeurent encore inexploités, Olhéol, la plus grande usine en matière d’huilerie en Afrique de l’Ouest, embaucherait, à plein régime, plus de 310 travailleurs pour un chiffre d’affaires annuel consolidé de plus de 26 milliards FCFA.
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