Le président ivoirien Alassane Ouattara a fait état mercredi à Botro (centre) de la mise en place d’un système "vigoureux" pour neutraliser les bandes armées qui sèment le désarroi sur les routes ivoiriennes.
M. Ouattara qui intervenait lors d’une tournée dans la région centre du pays s’est réjoui de l’initiative de la hiérarchie militaire de mener à travers le pays l’opération militaire baptisée "Téré", visant à lutter contre les hommes armés incontrôlés.
"Le phénomène des bandes armées est préoccupant dans cette région. Mais sachez que tous les pays qui sortent de crise se trouvent confrontés à ce genre de situation", a noté le chef de l’ Etat ivoirien, soulignant que le gouvernement prend à bras-le- corps la question de l’insécurité.
Alassane Ouattara a par ailleurs invité les jeunes ex- combattants, soupçonnés de perpétrer les attaques armées sur les routes, à déposer les armes et à s’inscrire "résolument" dans le processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion (DDR) .
"Je demande aux jeunes coupeurs de route d’abandonner ces pratiques. La Côte d’Ivoire et ses partenaires telles que l’Union européenne, la Banque mondiale et la Banque africaine de développement (BAD) ont dégagé les moyens pour réinsérer les ex- combattants", a énoncé M. Ouattara.
Pour lui, l’insécurité constatée ces derniers mois est aussi liée au chômage "endémique" des jeunes.
"Des jeunes oisifs ont opté pour la délinquance et pensent que c’est la seule voie", a-t-il déploré, rappelant la mise en oeuvre d’un vaste programme d’emplois au profit des jeunes, pour leur réinsertion sociale.
La Côte d’Ivoire tente de sortir d’une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3.000 morts et un million de déplacés.
La sécurisation constitue l’un des défis majeurs à relever pour le retour à la normale dans le pays.
Des bandes armées sévissent plusieurs mois dans des régions du pays, notamment dans le centre, menant des attaques parfois meurtrières et créant la psychose au sein des populations.
Les autorités ivoiriennes se sont ainsi penchées sur la question, promettant de mener une "guerre sans merci" contre ces individus armés qui troublent la quiétude des citoyens.
M. Ouattara qui intervenait lors d’une tournée dans la région centre du pays s’est réjoui de l’initiative de la hiérarchie militaire de mener à travers le pays l’opération militaire baptisée "Téré", visant à lutter contre les hommes armés incontrôlés.
"Le phénomène des bandes armées est préoccupant dans cette région. Mais sachez que tous les pays qui sortent de crise se trouvent confrontés à ce genre de situation", a noté le chef de l’ Etat ivoirien, soulignant que le gouvernement prend à bras-le- corps la question de l’insécurité.
Alassane Ouattara a par ailleurs invité les jeunes ex- combattants, soupçonnés de perpétrer les attaques armées sur les routes, à déposer les armes et à s’inscrire "résolument" dans le processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion (DDR) .
"Je demande aux jeunes coupeurs de route d’abandonner ces pratiques. La Côte d’Ivoire et ses partenaires telles que l’Union européenne, la Banque mondiale et la Banque africaine de développement (BAD) ont dégagé les moyens pour réinsérer les ex- combattants", a énoncé M. Ouattara.
Pour lui, l’insécurité constatée ces derniers mois est aussi liée au chômage "endémique" des jeunes.
"Des jeunes oisifs ont opté pour la délinquance et pensent que c’est la seule voie", a-t-il déploré, rappelant la mise en oeuvre d’un vaste programme d’emplois au profit des jeunes, pour leur réinsertion sociale.
La Côte d’Ivoire tente de sortir d’une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3.000 morts et un million de déplacés.
La sécurisation constitue l’un des défis majeurs à relever pour le retour à la normale dans le pays.
Des bandes armées sévissent plusieurs mois dans des régions du pays, notamment dans le centre, menant des attaques parfois meurtrières et créant la psychose au sein des populations.
Les autorités ivoiriennes se sont ainsi penchées sur la question, promettant de mener une "guerre sans merci" contre ces individus armés qui troublent la quiétude des citoyens.