La Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) s’est rendue ce mardi à la Maison de presse pour rencontrer le conseil exécutif de l’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) pour s’informer sur l’assassinat de Desiré Oué, et l’enlèvement de Dieusmonde Tadé.
« Nous sommes venus nous informer des différents évènements qui ont secoué le monde des médias en Côte d’Ivoire », a expliqué René Okou Légré, Secrétaire Exécutif de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI). Au nombre de la délégation de trois personnes, il y avait le Secrétaire Général, Yves Ahounan et le responsable à la communication Assoumane Bamba.
René Okou Légré a expliqué le sens de leur présence à la maison de la presse.
« Cette visite tient aux atteintes à la vie, aux enlèvements et agression contre les journalistes constatés ces derniers jours. Nous sommes venus vous assurer de notre soutien et profiter pour en savoir davantage sur ces faits là, recueillir ensuite votre opinion et éventuellement envisager des actions à venir », a-t-il indiqué.
Pour la CNDHCI, bien qu’elle soit une institution mandatée par l’Etat ivoirien, son statut d’éveilleur de conscience l’oblige à recueillir les informations nécessaires pour les mettre à la disposition des pouvoirs publics.
Une démarche saluée par le président de l’UNJCI, Traoré Moussa qui, après leur avoir expliqué les faits tels que rapportés soit par la famille des victimes, leurs proches ou elle-même, a demandé à la Commission Nationale des Droits de l’Homme d’ouvrir ses propres enquêtes parallèlement à celle de la police. L’UNJCI a orienté la délégation vers la rédaction du Nouveau réveil et la famille de Désiré Oué. Des contacts ont été mis à sa disposition.
« Nous sommes venus nous informer des différents évènements qui ont secoué le monde des médias en Côte d’Ivoire », a expliqué René Okou Légré, Secrétaire Exécutif de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI). Au nombre de la délégation de trois personnes, il y avait le Secrétaire Général, Yves Ahounan et le responsable à la communication Assoumane Bamba.
René Okou Légré a expliqué le sens de leur présence à la maison de la presse.
« Cette visite tient aux atteintes à la vie, aux enlèvements et agression contre les journalistes constatés ces derniers jours. Nous sommes venus vous assurer de notre soutien et profiter pour en savoir davantage sur ces faits là, recueillir ensuite votre opinion et éventuellement envisager des actions à venir », a-t-il indiqué.
Pour la CNDHCI, bien qu’elle soit une institution mandatée par l’Etat ivoirien, son statut d’éveilleur de conscience l’oblige à recueillir les informations nécessaires pour les mettre à la disposition des pouvoirs publics.
Une démarche saluée par le président de l’UNJCI, Traoré Moussa qui, après leur avoir expliqué les faits tels que rapportés soit par la famille des victimes, leurs proches ou elle-même, a demandé à la Commission Nationale des Droits de l’Homme d’ouvrir ses propres enquêtes parallèlement à celle de la police. L’UNJCI a orienté la délégation vers la rédaction du Nouveau réveil et la famille de Désiré Oué. Des contacts ont été mis à sa disposition.