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Art et Culture Publié le jeudi 28 novembre 2013 | Le Mandat

2ème édition des Journées nationales du livre pour enfant/Chantal Adjiman : « La lecture, pas comparable au jeu vidéo »

© Le Mandat Par Atapointe
Culture/Éducation: une délégation d`artistes engagés aux côtés de l`Unesco chez le ministre Bandama Maurice
Vendredi 22 Août 2013. Abidjan plateau. Dans le cadre de la réalisation du clip vidéo sur l éducation, une délégation d`artistes conduite par Asalfo du groupe Magic Système et Ydo Yao, le représentant résident de l`Unesco en Côte d`Ivoire a rencontré le ministre de la Culture Bandama Maurice. Photo: Bandama Maurice.
« Jamais sans mon livre », tel est le thème de la 2ème édition des Journées nationales du livre pour enfant (Jnle). Ces journées organisées à la bibliothèque nationale, à l’initiative de sa directrice Chantal Adjiman, sont placées sous la présidence du ministre de la Culture Bandama Maurice. Sous le parrainage de Mme Serre, épouse de l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, elles ont ouvert les portes le mardi 26 novembre dernier et prendront fin le 30 novembre 2013, soit 5 jours dédiés à la lecture enfantine. Cette initiative de la (Bnci) a pour but de faire la promotion du livre, d’amener les enfants à avoir une attention particulière mais surtout à développer en eux, l’amour et la passion de la lecture. Présenté par le président du club des amis de la bibliothèque enfantine, Odi Aubrus, ce département de la (Bnci) accueille les enfants dont l’âge varie de 3 et 17 ans. « Il faut redonner à la lecture toute sa place. Car, elle permet d’accéder à la connaissance, au savoir », a indiqué la marraine Mme Serre. Avant d’encourager la première responsable de ladite structure quant à la creation de ces journées. Pour le directeur de cabinet M. Fausseni Dembelé, représentant le ministre Bandama Maurice, cette initiative montre l’importance du livre pour la redynamisation de la culture en Côte d’Ivoire. Quant à la directrice Chantal Adjiman « la lecture n’est pas un besoin comparable aux jeux vidéo. C’est une nécessité quotidienne, l’acte de lire qui requiert des dispositions à la foi physiologiques et culturelles, doit s’exercer dès la tendre enfance », a-t-elle indiqué. Notons que l’ouverture de cette belle fête s’est faite devant un parterre d’écrivains tels que Bernard Dadié, Kibi Bebey, Muriel Diallo, Fatou Kéita, Marguerite Abouet, auteur de « Aya de Yopougon » etc.

M.T
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