Bouaké - Le maire de Bouaké, Nicolas Djibo appelle tous les ressortissants de Bouaké, à quelque niveau qu’ils soient, à accompagner les actions de développement entreprises dans la région par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara.
Dans son allocution de bienvenue prononcée au meeting de clôture de la visite d’Etat entamée lundi, le maire, depuis la tribune dressée au stade de la paix de Bouaké, bondé de monde, s’est enorgueilli de la renaissance de la commune, grâce aux travaux effectuées, dans le cadre de cette tournée, Alassane Ouattara.
Tout en espérant que cette visite d’Etat permettra de ressouder les liens entre les communautés de la ville, le maire a rappelé que Bouaké est une ville carrefour, la 2ème métroploe économique du pays, cité abritant l’Université Alassane Ouattara, ainsi que de nombreuses écoles militaires ayant formé de nombreux cadres africains.
Le premier magistrat de la commune n’a pas omis de souligner qu’avant « l’arrivée salvatrice » du chef de l’Etat et de son épouse à qui il a également rendu hommage, Bouaké avait souffert de la décennie de crise, « sinistrée, ravagée et stigmatisée » du fait de la guerre, avec des activités économiques en berne, des infrastructures dégradées, des populations souffrant du chômage et de la pauvreté.
« Bouaké voit à nouveau briller son étoile », a-t-il résumé, réjouissant que le train de développement de la commune ait redemarré.
La cérémonie au stade de la paix a débuté, vendredi, avec la libation de Nanan Gbèkè Konan, chef de village de Kouassigbèkro. Il a confié toutes les autorités au Tout-Puissant et demandé la bénédictions des mânes des ancêtres pour le pays.
(AIP)
cmas
Dans son allocution de bienvenue prononcée au meeting de clôture de la visite d’Etat entamée lundi, le maire, depuis la tribune dressée au stade de la paix de Bouaké, bondé de monde, s’est enorgueilli de la renaissance de la commune, grâce aux travaux effectuées, dans le cadre de cette tournée, Alassane Ouattara.
Tout en espérant que cette visite d’Etat permettra de ressouder les liens entre les communautés de la ville, le maire a rappelé que Bouaké est une ville carrefour, la 2ème métroploe économique du pays, cité abritant l’Université Alassane Ouattara, ainsi que de nombreuses écoles militaires ayant formé de nombreux cadres africains.
Le premier magistrat de la commune n’a pas omis de souligner qu’avant « l’arrivée salvatrice » du chef de l’Etat et de son épouse à qui il a également rendu hommage, Bouaké avait souffert de la décennie de crise, « sinistrée, ravagée et stigmatisée » du fait de la guerre, avec des activités économiques en berne, des infrastructures dégradées, des populations souffrant du chômage et de la pauvreté.
« Bouaké voit à nouveau briller son étoile », a-t-il résumé, réjouissant que le train de développement de la commune ait redemarré.
La cérémonie au stade de la paix a débuté, vendredi, avec la libation de Nanan Gbèkè Konan, chef de village de Kouassigbèkro. Il a confié toutes les autorités au Tout-Puissant et demandé la bénédictions des mânes des ancêtres pour le pays.
(AIP)
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