San Pedro – En prélude à la 5ème édition du festival balnéaire du Sud-ouest de San Pedro initié par le groupe Synergence-CI, le directeur régional du Tourisme, Jean-Philippe Niango, a prononcé samedi une conférence publique au cours de laquelle il a expliqué que la région du Sud-ouest, au regard de ses nombreuses potentialités, est le premier pôle touristique de la Côte d’Ivoire.
« Le district du Bas-Sassandra comprenant les régions de San Pedro, de la Nawa (Soubré), et du Gboklè (Sassandra) est le premier pôle touristique en Côte d’Ivoire, au regard des potentialités parce que l’on peut y faire presque toutes les formes de tourisme », a déclaré Jean-Philippe Niango.
Il a indiqué que le tourisme balnéaire, l’écotourisme, le tourisme sportif, le tourisme culturel et l’agrotourisme sont facilement praticables dans cette grande région du Sud-ouest.
Le conférencier a précisé que dans le district du Bas-Sassandra, il est loisible d’y pratiquer du tourisme balnéaire grâce aux nombreuses belles plages et baies qu’on y trouve, avec notamment la baie de Monogaga, la baie des sirènes de Grand Béréby, la baie de Taki, la baie de Nawa.
L’écotourisme, note-t-il, peut être pratiqué dans la région dans l’île de Gaoulou aux vertus thérapeutiques appréciées ainsi que sa riche faune. Mais il existe avant tout cela dans le Bas Sassandra, a souligné le DR du tourisme, « l’un des vestiges forestiers du monde, à savoir le parc international de Taï, classé patrimoine mondial par l’UNESCO et qui contribue pour beaucoup à l’équilibre écologique de cette région ».
Le tourisme historique est praticable dans le Sud-ouest où existent des vestiges de la colonisation dans des villes comme Sassandra, Tabou, Grand Béréby. Quant à l’agrotourisme, souligne M. Niango, il est aisément praticable eu égard aux grandes plantations industrielles d’huile de palme, d’hévéa et de celles de café et de cacao dont la région est première productrice.
Jean Philippe Niango a cependant souhaité qu’un certain nombre de dispositions soient prises au niveau des infrastructures routières et aéroportuaires pour aider la région à valoriser son potentiel touristique.
Le conférencier a souligné que contrairement à ce que l’on pense, le tourisme représente l’une des toutes premières industries au monde, loin devant l’industrie automobile ou du pétrole.
Selon le DR du Tourisme, avec tout le potentiel de cette région du Bas-Sassandra, ce secteur du tourisme, pourvoyeur d’emplois et de devises, peut être un puissant levier pour le développement de cette région et de la Côte d’Ivoire, s’il y a un travail en synergie de tous les acteurs, mais surtout une volonté politique réelle qui décide de faire du tourisme une priorité nationale en y mettant les moyens.
(Aip)
jmk/cmas
« Le district du Bas-Sassandra comprenant les régions de San Pedro, de la Nawa (Soubré), et du Gboklè (Sassandra) est le premier pôle touristique en Côte d’Ivoire, au regard des potentialités parce que l’on peut y faire presque toutes les formes de tourisme », a déclaré Jean-Philippe Niango.
Il a indiqué que le tourisme balnéaire, l’écotourisme, le tourisme sportif, le tourisme culturel et l’agrotourisme sont facilement praticables dans cette grande région du Sud-ouest.
Le conférencier a précisé que dans le district du Bas-Sassandra, il est loisible d’y pratiquer du tourisme balnéaire grâce aux nombreuses belles plages et baies qu’on y trouve, avec notamment la baie de Monogaga, la baie des sirènes de Grand Béréby, la baie de Taki, la baie de Nawa.
L’écotourisme, note-t-il, peut être pratiqué dans la région dans l’île de Gaoulou aux vertus thérapeutiques appréciées ainsi que sa riche faune. Mais il existe avant tout cela dans le Bas Sassandra, a souligné le DR du tourisme, « l’un des vestiges forestiers du monde, à savoir le parc international de Taï, classé patrimoine mondial par l’UNESCO et qui contribue pour beaucoup à l’équilibre écologique de cette région ».
Le tourisme historique est praticable dans le Sud-ouest où existent des vestiges de la colonisation dans des villes comme Sassandra, Tabou, Grand Béréby. Quant à l’agrotourisme, souligne M. Niango, il est aisément praticable eu égard aux grandes plantations industrielles d’huile de palme, d’hévéa et de celles de café et de cacao dont la région est première productrice.
Jean Philippe Niango a cependant souhaité qu’un certain nombre de dispositions soient prises au niveau des infrastructures routières et aéroportuaires pour aider la région à valoriser son potentiel touristique.
Le conférencier a souligné que contrairement à ce que l’on pense, le tourisme représente l’une des toutes premières industries au monde, loin devant l’industrie automobile ou du pétrole.
Selon le DR du Tourisme, avec tout le potentiel de cette région du Bas-Sassandra, ce secteur du tourisme, pourvoyeur d’emplois et de devises, peut être un puissant levier pour le développement de cette région et de la Côte d’Ivoire, s’il y a un travail en synergie de tous les acteurs, mais surtout une volonté politique réelle qui décide de faire du tourisme une priorité nationale en y mettant les moyens.
(Aip)
jmk/cmas