Le ministre ivoirien de la Communication, Me Affoussiata Bamba-Lamine, a officiellement lancé, mercredi à Abidjan, les festivités marquant le cinquantenaire de la création de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI), appelant les responsables de ce média de service public à ouvrir « une nouvelle page glorieuse » de l’histoire du pays, tout en demeurant un « acteur incontournable du secteur ».
« En raison de ce que la RTI représente, nous attendons que la commémoration de ses 50 ans ouvre une nouvelle page glorieuse de notre histoire commune », a déclaré Me Affoussiata Bamba lors de la cérémonie de lancement au siège de la télévision nationale, à Cocody.
Créée en octobre 1962, la RTI qui a commencé à émettre le 07 août 1963, fête ses 50 ans du 18 au 20 décembre prochain, sous le thème « la RTI face aux exigences du service public et aux attentes des auditeurs et téléspectateurs ».
« Ce cinquantenaire arrive à point nommé, à l’aube du basculement de l’analogique au numérique et de la libéralisation de l’espace audiovisuel qui vont transformer l’offre audiovisuelle dans notre pays », a expliqué Mme Bamba-Lamine.
Pour elle, « la RTI doit se préparer à tous ces changements pour rester un acteur incontournable dans le secteur, sans renier notre particularité culturelle, à travers le parcours historique de la Côte d’Ivoire, à travers des images et des sons forts et rares, voire uniques ».
La célébration de ce cinquantenaire de la RTI sera jalonnée par la décoration des agents qui ont tracé les sillons de la maison, des animations éclatées dans certaines communes d’Abidjan, une conférence publique, des ateliers, des témoignages de pionniers, un diner-gala.
Selon le directeur général de la RTI, Ahmadou Bakayoko, il s’agira de jeter un regard rétrospectif sur le parcours de cette structure et de faire l’état des lieux, dans l’optique de relever les nouveaux défis de l’évolution technologique, de la concurrence induite par la libéralisation de l’espace audiovisuel et les attentes d’un public de plus en plus exigeant.
Avec ses deux chaines de radio - La nationale (généraliste) et Fréquence 2 (de divertissement) - et ses trois chaines de télévision – RTI 1 (institutionnelle), RTI 2 (culturelle) et RTI Bouaké (régionale) – la RTI assurait, dès 1993, la couverture de 96% du territoire national jusqu’au déclenchement de la crise de septembre 2002 au cours de laquelle ses émissions n’étaient plus captées dans toute la moitié nord du pays.
Aaa/kkp/tm
« En raison de ce que la RTI représente, nous attendons que la commémoration de ses 50 ans ouvre une nouvelle page glorieuse de notre histoire commune », a déclaré Me Affoussiata Bamba lors de la cérémonie de lancement au siège de la télévision nationale, à Cocody.
Créée en octobre 1962, la RTI qui a commencé à émettre le 07 août 1963, fête ses 50 ans du 18 au 20 décembre prochain, sous le thème « la RTI face aux exigences du service public et aux attentes des auditeurs et téléspectateurs ».
« Ce cinquantenaire arrive à point nommé, à l’aube du basculement de l’analogique au numérique et de la libéralisation de l’espace audiovisuel qui vont transformer l’offre audiovisuelle dans notre pays », a expliqué Mme Bamba-Lamine.
Pour elle, « la RTI doit se préparer à tous ces changements pour rester un acteur incontournable dans le secteur, sans renier notre particularité culturelle, à travers le parcours historique de la Côte d’Ivoire, à travers des images et des sons forts et rares, voire uniques ».
La célébration de ce cinquantenaire de la RTI sera jalonnée par la décoration des agents qui ont tracé les sillons de la maison, des animations éclatées dans certaines communes d’Abidjan, une conférence publique, des ateliers, des témoignages de pionniers, un diner-gala.
Selon le directeur général de la RTI, Ahmadou Bakayoko, il s’agira de jeter un regard rétrospectif sur le parcours de cette structure et de faire l’état des lieux, dans l’optique de relever les nouveaux défis de l’évolution technologique, de la concurrence induite par la libéralisation de l’espace audiovisuel et les attentes d’un public de plus en plus exigeant.
Avec ses deux chaines de radio - La nationale (généraliste) et Fréquence 2 (de divertissement) - et ses trois chaines de télévision – RTI 1 (institutionnelle), RTI 2 (culturelle) et RTI Bouaké (régionale) – la RTI assurait, dès 1993, la couverture de 96% du territoire national jusqu’au déclenchement de la crise de septembre 2002 au cours de laquelle ses émissions n’étaient plus captées dans toute la moitié nord du pays.
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