La commanderie de Grand-Bassam a servi de cadre, le dimanche dernier, à la dédicace du roman de l’écrivaine qui a rassemblé des passionnés de la lecture, des amis, des connaissances et des membres de sa famille. Le roman de 149 pages, écrit en 14 chapitres, est une œuvre qui relate la vie de Françoise.
Une Française qui traîne son passé dans sa conscience et l’Afrique dans la tête. Ainsi, Françoise commence un long voyage intérieur qui la ramène aux sources de son rêve de l’Afrique. Et c’est après plusieurs années que son rêve deviendra une réalité. Elle quitte la France pour rejoindre ce merveilleux continent qu’est l’Afrique. Selon l’auteure, « ce périple la sauvera de l’indifférence, de l’absence de ses parents et d’une éducation religieuse imposée, stricte et sans concession d’indépendance ». Cette œuvre autobiographique relate les moments que Sophie Vaubourgouin a vécus en Afrique. Ainsi, met-elle en exergue les merveilles et délices que regorge l’Afrique. « C’est un voyage en Afrique noire dans le passé, qui éveille la nostalgie de l’homme », revit-elle, nostalgique, le temps passé en Afrique.
Pour le directeur de la maison éditrice (NEI-CEDA éditions), Guy Lambin, cette œuvre contient beaucoup de sens. Car pour lui, elle met l’homme en phase avec son passé. Aussi, a-t-il révélé que ce roman fait découvrir l’auteure dans ses deux vies : celle de l’occident et celle de l’Afrique. Tiburce Koffi, journaliste-écrivain, qui, par ailleurs, a préfacé ce livre, a donné le sens de cette cérémonie. «Une cérémonie de dédicace n’est pas faite pour le livre et son auteur seulement. Mais c’est le livre qui est en fête », dit-il. Aussi, a-t-il tari d’éloges sur Sophie Vaubourgouin, qui, selon lui, a l’art et la maîtrise de l’écrit. Car cela se vit en lisant son roman.
Seydou Badian (stg)
Une Française qui traîne son passé dans sa conscience et l’Afrique dans la tête. Ainsi, Françoise commence un long voyage intérieur qui la ramène aux sources de son rêve de l’Afrique. Et c’est après plusieurs années que son rêve deviendra une réalité. Elle quitte la France pour rejoindre ce merveilleux continent qu’est l’Afrique. Selon l’auteure, « ce périple la sauvera de l’indifférence, de l’absence de ses parents et d’une éducation religieuse imposée, stricte et sans concession d’indépendance ». Cette œuvre autobiographique relate les moments que Sophie Vaubourgouin a vécus en Afrique. Ainsi, met-elle en exergue les merveilles et délices que regorge l’Afrique. « C’est un voyage en Afrique noire dans le passé, qui éveille la nostalgie de l’homme », revit-elle, nostalgique, le temps passé en Afrique.
Pour le directeur de la maison éditrice (NEI-CEDA éditions), Guy Lambin, cette œuvre contient beaucoup de sens. Car pour lui, elle met l’homme en phase avec son passé. Aussi, a-t-il révélé que ce roman fait découvrir l’auteure dans ses deux vies : celle de l’occident et celle de l’Afrique. Tiburce Koffi, journaliste-écrivain, qui, par ailleurs, a préfacé ce livre, a donné le sens de cette cérémonie. «Une cérémonie de dédicace n’est pas faite pour le livre et son auteur seulement. Mais c’est le livre qui est en fête », dit-il. Aussi, a-t-il tari d’éloges sur Sophie Vaubourgouin, qui, selon lui, a l’art et la maîtrise de l’écrit. Car cela se vit en lisant son roman.
Seydou Badian (stg)
