Le chef du bureau de l'Association de soutien à l'autopromotion sanitaire urbaine de Tabou (ASAPSU), Hiela Ouattara, a annoncé l'ouverture, en novembre, d'un centre de formation professionnelle à Tabou pour former les jeunes en vue de leur insertion sociale et "d'appuyer le processus de cohésion sociale".
"Le centre de formation professionnelle qui vient d'ouvrir ses portes à Tabou a une capacité d'accueil de plus de 800 apprenants. Ces jeunes sont formés et insérés dans le tissu économique et social. C'est une manière d'éviter à ces jeunes l'oisiveté et le vagabondage, sources de nombreuses dérives", a expliqué, vendredi, M. Ouattara lors d'une interview accordée à l'AIP.
A son avis, "la résultante de tout cela, c'est la paix sociale, parce qu'une jeunesse au travail n'a pas le temps de s'adonner à des activités malsaines. Elle devient un facteur de cohésion sociale", a-t-il ajouté.
La formation, selon la filière, dure de trois à six mois et est couronnée par l'obtention d'un diplôme, a dit le responsable de l'ASAPSU, soulignant que l'ouverture du centre de formation professionnelle de Tabou constitue un ouf de soulagement pour les jeunes qui se sont inscrits massivement.
Le centre de formation professionnelle de Tabou occupe les anciens locaux du centre technique de Tabou (sis au quartier Port-Bouët) réhabilités et équipés par le bureau ASAPSU de Tabou qui a bénéficié d'un financement du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) estimé à plus de 30 millions de FCFA.
Les modules enseignés sont l'informatique, l'anglais, le bâtiment, la gestion coopérative, la coiffure, la mécanique, la menuiserie, la construction métallique.
bb/aaa/kp
"Le centre de formation professionnelle qui vient d'ouvrir ses portes à Tabou a une capacité d'accueil de plus de 800 apprenants. Ces jeunes sont formés et insérés dans le tissu économique et social. C'est une manière d'éviter à ces jeunes l'oisiveté et le vagabondage, sources de nombreuses dérives", a expliqué, vendredi, M. Ouattara lors d'une interview accordée à l'AIP.
A son avis, "la résultante de tout cela, c'est la paix sociale, parce qu'une jeunesse au travail n'a pas le temps de s'adonner à des activités malsaines. Elle devient un facteur de cohésion sociale", a-t-il ajouté.
La formation, selon la filière, dure de trois à six mois et est couronnée par l'obtention d'un diplôme, a dit le responsable de l'ASAPSU, soulignant que l'ouverture du centre de formation professionnelle de Tabou constitue un ouf de soulagement pour les jeunes qui se sont inscrits massivement.
Le centre de formation professionnelle de Tabou occupe les anciens locaux du centre technique de Tabou (sis au quartier Port-Bouët) réhabilités et équipés par le bureau ASAPSU de Tabou qui a bénéficié d'un financement du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) estimé à plus de 30 millions de FCFA.
Les modules enseignés sont l'informatique, l'anglais, le bâtiment, la gestion coopérative, la coiffure, la mécanique, la menuiserie, la construction métallique.
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