Le pagne, élément du patrimoine culturel ivoirien et africain sera à l’honneur les 16, 17 et 18 Décembre prochain à la Caistab au Plateau. Et pour cause, c’est à cet endroit que se tiendra la première édition du salon international du pagne africain (SIPA), un évènement qui ambitionne de mettre en relief la beauté du pagne à travers les créations de plusieurs créateurs africains.
Ce salon qui en est à sa première édition, ambitionne non seulement de faire découvrir toutes les créations à base de pagne mais aussi de présenter le talent des créateurs africains. Ce faisant, il se propose également de constituer une plate-forme d'échanges entre les exposants et les visiteurs ainsi que les investisseurs, afin de développer ce secteur d'activité et créer un événement rassembleur des pays africains. Le pagne sera découvert sous son double aspect traditionnel et moderne. En tout cas, de l’avis de nombreux hommes de culture, ce salon tombe à pic dans un contexte où de plus en plus, les tissus et autres vêtements « made in China » sont visiblement en train de prendre le dessus sur le pagne et tous ses produits dérivés. Un regard furtif sur les habitudes actuelles en matière d’habillement suffit à se rendre compte qu’il y a effectivement quelque chose à faire. Si certains stylistes et créateurs de mode font de la valorisation des pagnes du terroir africain, leur cheval de bataille, la concurrence avec les produits asiatiques est tellement rude que ce genre d’évènement est susceptible de donner un coup de pouce aux promoteurs du pagne africain a confié un créateur de mode, joint au téléphone hier. Et parlant de concurrence, la question du prix est souvent l’un des principaux écueils que doivent surmonter les promoteurs du pagne. Parce qu’en la matière, les produits asiatiques, et en particulier chinois sont sensiblement moins chers comparativement à ceux des pays africains.
Ce salon devrait contribuer de manière efficiente à redonner du souffle au secteur du textile. Tant mieux !
F.K
Ce salon qui en est à sa première édition, ambitionne non seulement de faire découvrir toutes les créations à base de pagne mais aussi de présenter le talent des créateurs africains. Ce faisant, il se propose également de constituer une plate-forme d'échanges entre les exposants et les visiteurs ainsi que les investisseurs, afin de développer ce secteur d'activité et créer un événement rassembleur des pays africains. Le pagne sera découvert sous son double aspect traditionnel et moderne. En tout cas, de l’avis de nombreux hommes de culture, ce salon tombe à pic dans un contexte où de plus en plus, les tissus et autres vêtements « made in China » sont visiblement en train de prendre le dessus sur le pagne et tous ses produits dérivés. Un regard furtif sur les habitudes actuelles en matière d’habillement suffit à se rendre compte qu’il y a effectivement quelque chose à faire. Si certains stylistes et créateurs de mode font de la valorisation des pagnes du terroir africain, leur cheval de bataille, la concurrence avec les produits asiatiques est tellement rude que ce genre d’évènement est susceptible de donner un coup de pouce aux promoteurs du pagne africain a confié un créateur de mode, joint au téléphone hier. Et parlant de concurrence, la question du prix est souvent l’un des principaux écueils que doivent surmonter les promoteurs du pagne. Parce qu’en la matière, les produits asiatiques, et en particulier chinois sont sensiblement moins chers comparativement à ceux des pays africains.
Ce salon devrait contribuer de manière efficiente à redonner du souffle au secteur du textile. Tant mieux !
F.K
