Des jeunes, selon notre source, croupissent toujours à la Maca depuis leur arrestation suite à l’attaque d’Ananguié, le 29 octobre dernier. « On dit qu’ils veulent déstabiliser le pouvoir. Depuis, ils sont à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca). Cette situation préoccupe beaucoup les parents. Et crée un réel mécontentement en leur sein. Ils ne sont pas du tout contents », a fait savoir notre source. La population d’Agboville, rapporte-t-elle, réfute cette accusation « Qu’on nous dise réellement ce qu’ils ont fait », s’est plaint notre interlocuteur. Et d’ajouter que les armes continuent de circuler dans la ville à cause des hommes du général de brigade, Touré Sékou, chef d’état major chargé des Opérations. « La population est meurtrie. On est fatigué », fait-il savoir.
Libération des prisonniers
Il faut que nos enfants qui sont en prison soient libérés. Leur libération, va à coup sûr, donner un véritable coup d’accélérateur à la réconciliation amorcée depuis ces attaques, à en croire toujours notre source. « On ne peut pas nous demander de faire la paix pendant que nos enfants sont en prison. Pour nous, ce sera une réconciliation de façade. Ce que nous ne voulons pas. Nous demandons qu’on libère nos enfants parce qu’ils n’ont rien fait », a plaidé notre source. Même son de cloche pour une autre source. Une dame dont les deux (02) enfants sont également en prison raconte son calvaire. « Dans le dossier de mes enfants, il est noté : Atteinte à la sureté de l’Etat. On a aussi dit qu’ils ont été arrêtés parce qu’ils partaient acheter des armes. Or, mon fils, ce jour-là, n’avait que deux cents (200) francs Cfa dans la poche. Finalement, on ne sait pas ce qu’on leur reproche. Ils sont au bâtiment C. Mais heureusement, ils sont en bonne santé. Parmi ceux qui sont en prison, il y a des élèves. Nous demandons leur libération afin qu’ils viennent préparer leurs examens », a également plaidé notre interlocutrice.
Dje km
Libération des prisonniers
Il faut que nos enfants qui sont en prison soient libérés. Leur libération, va à coup sûr, donner un véritable coup d’accélérateur à la réconciliation amorcée depuis ces attaques, à en croire toujours notre source. « On ne peut pas nous demander de faire la paix pendant que nos enfants sont en prison. Pour nous, ce sera une réconciliation de façade. Ce que nous ne voulons pas. Nous demandons qu’on libère nos enfants parce qu’ils n’ont rien fait », a plaidé notre source. Même son de cloche pour une autre source. Une dame dont les deux (02) enfants sont également en prison raconte son calvaire. « Dans le dossier de mes enfants, il est noté : Atteinte à la sureté de l’Etat. On a aussi dit qu’ils ont été arrêtés parce qu’ils partaient acheter des armes. Or, mon fils, ce jour-là, n’avait que deux cents (200) francs Cfa dans la poche. Finalement, on ne sait pas ce qu’on leur reproche. Ils sont au bâtiment C. Mais heureusement, ils sont en bonne santé. Parmi ceux qui sont en prison, il y a des élèves. Nous demandons leur libération afin qu’ils viennent préparer leurs examens », a également plaidé notre interlocutrice.
Dje km