Le tout nouveau département de la région du Bélier, Attiégouakro, situé à 15km de Yamoussoukro, était heureux d’accueillir pour la première fois après l’indépendance de la Côte d’Ivoire en 1960, sur son sol, un chef d’Etat, en visite d’Etat. Pour le démontrer, les populations sont sorties nombreuses des sous-préfectures de Kossou, Lolobo et des 24 villages du chef-lieu du département pour venir accueillir leur « digne » hôte. Car, c’est grâce à lui, que, lorsqu’il était l’unique Premier ministre du père fondateur de la nation, Félix Houphouët-Boigny, le village Attiégouakro a été érigée en sous-préfecture. C’est encore sous sa magistrature, que cette sous-préfecture vient d’être élevée au rang de préfecture.
Une raison majeure, pour que toute la population dans sa composante, sorte pour lui manifester sa reconnaissance. Dans une liesse populaire, les femmes, les hommes, les enfants, avec à leur tête les gardiens des valeurs ancestrales, les élus et cadres venus de tous les quatre coins du pays pour remercier Alassane Ouattara, sont sortis massivement pour lui témoigner leurs profonde gratitude. Et cela, en sons modernes, traditionnels, avec des tam-tams parleurs, « l’Adjanou, » une danse traditionnelle dont les pas sont exécutés par les initiées. Son rôle : chasser les mauvais esprits et transmettre la bénédiction. Les femmes unies au sein de différentes associations et groupement féminins sont sorties dans leurs derniers habits de fête pour traduire leur traditionnel « Akwaba » au chef de l’Etat. Un accueil spectaculaire au son des danses traditionnelles, de la fanfare, en tout cas, le petit département d’Attiégouakro, a tout mis en ?uvre pour être au rendez-vous de l’Etat.
JM
Une raison majeure, pour que toute la population dans sa composante, sorte pour lui manifester sa reconnaissance. Dans une liesse populaire, les femmes, les hommes, les enfants, avec à leur tête les gardiens des valeurs ancestrales, les élus et cadres venus de tous les quatre coins du pays pour remercier Alassane Ouattara, sont sortis massivement pour lui témoigner leurs profonde gratitude. Et cela, en sons modernes, traditionnels, avec des tam-tams parleurs, « l’Adjanou, » une danse traditionnelle dont les pas sont exécutés par les initiées. Son rôle : chasser les mauvais esprits et transmettre la bénédiction. Les femmes unies au sein de différentes associations et groupement féminins sont sorties dans leurs derniers habits de fête pour traduire leur traditionnel « Akwaba » au chef de l’Etat. Un accueil spectaculaire au son des danses traditionnelles, de la fanfare, en tout cas, le petit département d’Attiégouakro, a tout mis en ?uvre pour être au rendez-vous de l’Etat.
JM