ABIDJAN - Le président ivoirien Alassane Ouattara a sollicité mercredi à Yamoussoukro (centre, 230 km d'Abidjan) auprès de bailleurs de fonds internationaux le financement de deux grands autoroutiers à partir d'Abidjan pour Lagos (Nigeria) et Ouagadougou (Burkina Faso) en vue d'"accélérer" l'intégration régionale en Afrique de l'Ouest.
"Je voudrais solliciter la coordination des bailleurs de fonds arabes pour le prolongement de l'autoroute Yamoussoukro-Bouaké et l'autoroute Abidjan-Lagos", a plaidé Alassane Ouattara, procédant à l'ouverture à la circulation de la deuxième section de l' autoroute du Nord reliant Abidjan à Yamoussoukro.
La première section de l'Autoroute du Nord (Abidjan-Singrobo), longue de 140 km a été achevée en 1982.
La section Singrobo-Yamoussoukro (87 km) qui vient d'être inaugurée a été réalisée après six ans de travaux par une entreprise tunisienne sur un financement de bailleurs de fonds arabes.
Alassane Ouattara a demandé que les travaux de prolongement de l'autoroute du Nord jusqu'à Bouaké (120 km au nord de Yamoussoukro) démarrent "dès 2014" afin de lancer le grand projet autoroutier Abidjan-Ouagadougou avec des embranchements au Mali et au Niger pour "donner un nouveau souffle au développement" de la sous- région ouest-africaine.
Relativement à la construction d'une autoroute reliant Abidjan et Lagos, les experts et les ministres en charge des Travaux publics et de la Justice des pays impliqués dans le projet (Côte d' Ivoire, Ghana, Togo, Bénin et Nigeria) sont réunis depuis vendredi à Yamoussoukro afin de discuter des modalités de sa mise en oeuvre.
Pour Alassane Ouattara qui entame une visite d'Etat de quatre jours dans la région du Bélier (Yamoussoukro), les bailleurs de fonds arabes (Banque islamique de développement, Banque arabe pour le développement économique de l'Afrique, Fonds saoudien, Fonds koweitien et Fonds de l'OPEP) en finançant l'Autoroute du Nord et d'autres projets routiers ont "compris les vrais enjeux" du développement de la Côte d'Ivoire et par-delà celui de l' intégration sous-régionale.
Avec son système de vidéosurveillance, ses radars de contrôle de vitesse, ses brigades de gendarmerie et de police autoroutières, ses ambulances, ses "trauma-centers" pour la prise en charge rapide des éventuels blessés, l'autoroute du Nord est l'une des " meilleures plate-formes" de la sous-région, a relevé Alassane Ouattara.
"C'est un signe d'espoir, celui d'une Côte d'Ivoire ambitieuse qui a pris son envol", a conclu le président ivoirien.
"Je voudrais solliciter la coordination des bailleurs de fonds arabes pour le prolongement de l'autoroute Yamoussoukro-Bouaké et l'autoroute Abidjan-Lagos", a plaidé Alassane Ouattara, procédant à l'ouverture à la circulation de la deuxième section de l' autoroute du Nord reliant Abidjan à Yamoussoukro.
La première section de l'Autoroute du Nord (Abidjan-Singrobo), longue de 140 km a été achevée en 1982.
La section Singrobo-Yamoussoukro (87 km) qui vient d'être inaugurée a été réalisée après six ans de travaux par une entreprise tunisienne sur un financement de bailleurs de fonds arabes.
Alassane Ouattara a demandé que les travaux de prolongement de l'autoroute du Nord jusqu'à Bouaké (120 km au nord de Yamoussoukro) démarrent "dès 2014" afin de lancer le grand projet autoroutier Abidjan-Ouagadougou avec des embranchements au Mali et au Niger pour "donner un nouveau souffle au développement" de la sous- région ouest-africaine.
Relativement à la construction d'une autoroute reliant Abidjan et Lagos, les experts et les ministres en charge des Travaux publics et de la Justice des pays impliqués dans le projet (Côte d' Ivoire, Ghana, Togo, Bénin et Nigeria) sont réunis depuis vendredi à Yamoussoukro afin de discuter des modalités de sa mise en oeuvre.
Pour Alassane Ouattara qui entame une visite d'Etat de quatre jours dans la région du Bélier (Yamoussoukro), les bailleurs de fonds arabes (Banque islamique de développement, Banque arabe pour le développement économique de l'Afrique, Fonds saoudien, Fonds koweitien et Fonds de l'OPEP) en finançant l'Autoroute du Nord et d'autres projets routiers ont "compris les vrais enjeux" du développement de la Côte d'Ivoire et par-delà celui de l' intégration sous-régionale.
Avec son système de vidéosurveillance, ses radars de contrôle de vitesse, ses brigades de gendarmerie et de police autoroutières, ses ambulances, ses "trauma-centers" pour la prise en charge rapide des éventuels blessés, l'autoroute du Nord est l'une des " meilleures plate-formes" de la sous-région, a relevé Alassane Ouattara.
"C'est un signe d'espoir, celui d'une Côte d'Ivoire ambitieuse qui a pris son envol", a conclu le président ivoirien.
