Le premier adjoint au maire de Djékanou, M'Bra Koffi Joseph se réjouit de la visite qu'entreprend, vendredi, le Président Alassane Ouattara dans le département, expliquant que cet événement constitue une bouée de sauvetage pour la population qui n'échappe pas à la paupérisation galopante exacerbée par la dernière décennie de crise.
Dans son allocution de bienvenue au couple présidentiel, le représentant du maire Abdoulaye Diallo, a souligné le rôle joué par Alassane Ouattara dans la mutation administrative de la ville.
Ainsi, a-t-il rappelé, c'est sous son impulsion, alors Premier ministre, que par le décret N°93-413 du 14 avril 1993, Djékanou a été érigée en chef-lieu de sous-préfecture, faisant ainsi de la cité, le point de départ d'un nouvel élan de développement.
Ensuite, a souligné le 1er adjoint au maire, par le décret N°95-941 du 13 décembre 1995, la ville est devenue une commune de plein exercice, pour se muer, par le decret N°2012-611 du 04 juillet 2012, en chef-lieu de département. "Merci pour avoir parachevé cette mutation administrative amorcée en 1993", a-t-il ajouté.
M'Bra Koffi Joseph a fait savoir que ces différentes mutations administratives ont été fort appreciées par les populations. Il a noté que par ces opportunités, Djékanou est devenue un pôle de lancement des activités agroindustrielles dans la région du Bélier.
Toutefois, le représentant de la municipalité a déploré le fait que "Djékanou la coquette" soit devenue "Djékanou la sinistrée", du fait de la pauvreté galopante, sollicitant un appui du Président de la République pour sortir de l'ornière.
Le discours de l'adjoint au maire a été précédé de la libation faite par le chef de terre, Nanan Yao Kouadio dit "Vieux l'impôt", qui a confié la cérémonie aux mânes des ancêtres, en l'occurrence la mère-fondatrice de Djékanou, Nanan Nandji Adjoua.
cmas
Dans son allocution de bienvenue au couple présidentiel, le représentant du maire Abdoulaye Diallo, a souligné le rôle joué par Alassane Ouattara dans la mutation administrative de la ville.
Ainsi, a-t-il rappelé, c'est sous son impulsion, alors Premier ministre, que par le décret N°93-413 du 14 avril 1993, Djékanou a été érigée en chef-lieu de sous-préfecture, faisant ainsi de la cité, le point de départ d'un nouvel élan de développement.
Ensuite, a souligné le 1er adjoint au maire, par le décret N°95-941 du 13 décembre 1995, la ville est devenue une commune de plein exercice, pour se muer, par le decret N°2012-611 du 04 juillet 2012, en chef-lieu de département. "Merci pour avoir parachevé cette mutation administrative amorcée en 1993", a-t-il ajouté.
M'Bra Koffi Joseph a fait savoir que ces différentes mutations administratives ont été fort appreciées par les populations. Il a noté que par ces opportunités, Djékanou est devenue un pôle de lancement des activités agroindustrielles dans la région du Bélier.
Toutefois, le représentant de la municipalité a déploré le fait que "Djékanou la coquette" soit devenue "Djékanou la sinistrée", du fait de la pauvreté galopante, sollicitant un appui du Président de la République pour sortir de l'ornière.
Le discours de l'adjoint au maire a été précédé de la libation faite par le chef de terre, Nanan Yao Kouadio dit "Vieux l'impôt", qui a confié la cérémonie aux mânes des ancêtres, en l'occurrence la mère-fondatrice de Djékanou, Nanan Nandji Adjoua.
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