Abidjan– Les acteurs du secteur du textile ont été invités, mardi, par le directeur général adjoint de l’Association pour la promotion des exportations de Côte d’Ivoire (APEX-CI), Gérard Amangoua, à se regrouper, pour créer un label, en vue d’investir le marché américain, dans le cadre de l’AGOA.
Intervenant lors d’une conférence qui avait pour thème : "l’AGOA et le potentiel marché américain", au cours du premier Salon international du pagne africain (SIPA), M. Amangoua a mentionné que les Africains sont absents du marché américain du textile. "Notre pays regorge de potentiels textiles.
Mais sur le marché américain, nous sommes potentiellement absents", a-t-il souligné.
Selon lui, le pagne constituant une richesse, il est important que nous le fassions découvrir aux consommateurs occidentaux, en l’adaptant à leurs exigences et en créant des vitrines.
Au regard des différentes potentialités, M. Amangoua déplore l’absence de stratégies nationales à l’exportation susceptibles de booster le secteur. Il a déploré, entre autres, l’absence de banques pour financer les Petites et moyennes entreprises (PME).
Démarré lundi, le SIPA, selon le commissaire général, Mme Gaudji Florence, est une vitrine pour valoriser le pagne africain et promouvoir le talent et le savoir-faire des créateurs.
Le SIPA, qui vise à pérenniser le pagne comme un patrimoine culturel, s’articulera autour de conférences et défilés de mode jusqu’à mercredi. Il est placé sous le thème : "le pagne, de la tradition à la modernité".
kkp/kam
Intervenant lors d’une conférence qui avait pour thème : "l’AGOA et le potentiel marché américain", au cours du premier Salon international du pagne africain (SIPA), M. Amangoua a mentionné que les Africains sont absents du marché américain du textile. "Notre pays regorge de potentiels textiles.
Mais sur le marché américain, nous sommes potentiellement absents", a-t-il souligné.
Selon lui, le pagne constituant une richesse, il est important que nous le fassions découvrir aux consommateurs occidentaux, en l’adaptant à leurs exigences et en créant des vitrines.
Au regard des différentes potentialités, M. Amangoua déplore l’absence de stratégies nationales à l’exportation susceptibles de booster le secteur. Il a déploré, entre autres, l’absence de banques pour financer les Petites et moyennes entreprises (PME).
Démarré lundi, le SIPA, selon le commissaire général, Mme Gaudji Florence, est une vitrine pour valoriser le pagne africain et promouvoir le talent et le savoir-faire des créateurs.
Le SIPA, qui vise à pérenniser le pagne comme un patrimoine culturel, s’articulera autour de conférences et défilés de mode jusqu’à mercredi. Il est placé sous le thème : "le pagne, de la tradition à la modernité".
kkp/kam