Mes chers collègues de la Poste et des TIC et de la Culture
Madame le Conseiller du Président de la République
Distingués invités
Mesdames et messieurs
C’est un bonheur de retrouver mes amis de la presse. Comme vous le savez, mon premier métier, et celui qui ma révélé, l’entreprenariat de presse, le journalisme. Ce métier ma forgé (exemple), m’a beaucoup appris et beaucoup apporté dans mon cursus et ma vie tout cour.
Merci au bureau national de l’UNJCI et à son Président Monsieur Traoré Moussa (hommage au Pdt). Merci au bureau d’avoir porté son choix sur ma modeste personne pour parrainer cette soirée prestigieuse des EBONY. Ce que je fais avec beaucoup d’émotion, honneur et plaisir.
J’apprécie le principe du Prix EBONY ; soirée de distinction du mérite. Les sociétés progressent parce qu’elles montrent les meilleurs pour que leurs exemples servent de référent pour tous.
Le journaliste et l’ancien patron de presse que je suis, ne saurait rater l’opportunité que m’offre cette tribune pour dire un mot sur la situation difficile de la presse aujourd’hui.
Nous avons été les acteurs du printemps de la presse dans les années 90, marqué par des forts tirages quotidien qui oscillaient entre 50.000 et 80.000 exemplaires.
Aujourd’hui, la baisse des tirages et des ventes est une triste réalité, combinée à l’affaissement du marché de la publicité et la montée en puissance du numérique dans la consommation des médias constitue une menace pour la liberté et l’indépendance de l’entreprise de presse.
Nous avons le défi de réinventer un modèle économique de l’entreprise de presse qui lui assure son indépendance et sa liberté.
Le numérique ne doit pas être une menace pour la presse, mais une opportunité. Pour cela, l’Etat doit vous accompagner. Mais, il faut un équilibre entre l’engagement de l’Etat et l’engagement des professionnels de la presse.
Il faut retrouver la confiance entre la presse, le public et les pouvoirs publics. Et cela passe par une presse crédible (exemple : enquête MEMIS). La presse à un rôle important dans la gouvernance de l’opinion. Le gouvernement à la volonté d’accompagner la presse. Et, j’invite Madame la Ministre de la Communication à nous offrir un espace d’échange sur les défis et les enjeux de l’émergence d’une presse crédible en Côte d’Ivoire.
Une presse crédible est le socle des démocraties pérennes et des sociétés de prospérité. C’est sur ces paroles et avec l’expression de mes meilleurs vœux à tous pour 2014, que je dis longue vie à la presse ivoirienne.
Bonne soirée à tous et que le meilleur soit distingué.
Je vous remercie.
Hamed Bakayoko
Madame le Conseiller du Président de la République
Distingués invités
Mesdames et messieurs
C’est un bonheur de retrouver mes amis de la presse. Comme vous le savez, mon premier métier, et celui qui ma révélé, l’entreprenariat de presse, le journalisme. Ce métier ma forgé (exemple), m’a beaucoup appris et beaucoup apporté dans mon cursus et ma vie tout cour.
Merci au bureau national de l’UNJCI et à son Président Monsieur Traoré Moussa (hommage au Pdt). Merci au bureau d’avoir porté son choix sur ma modeste personne pour parrainer cette soirée prestigieuse des EBONY. Ce que je fais avec beaucoup d’émotion, honneur et plaisir.
J’apprécie le principe du Prix EBONY ; soirée de distinction du mérite. Les sociétés progressent parce qu’elles montrent les meilleurs pour que leurs exemples servent de référent pour tous.
Le journaliste et l’ancien patron de presse que je suis, ne saurait rater l’opportunité que m’offre cette tribune pour dire un mot sur la situation difficile de la presse aujourd’hui.
Nous avons été les acteurs du printemps de la presse dans les années 90, marqué par des forts tirages quotidien qui oscillaient entre 50.000 et 80.000 exemplaires.
Aujourd’hui, la baisse des tirages et des ventes est une triste réalité, combinée à l’affaissement du marché de la publicité et la montée en puissance du numérique dans la consommation des médias constitue une menace pour la liberté et l’indépendance de l’entreprise de presse.
Nous avons le défi de réinventer un modèle économique de l’entreprise de presse qui lui assure son indépendance et sa liberté.
Le numérique ne doit pas être une menace pour la presse, mais une opportunité. Pour cela, l’Etat doit vous accompagner. Mais, il faut un équilibre entre l’engagement de l’Etat et l’engagement des professionnels de la presse.
Il faut retrouver la confiance entre la presse, le public et les pouvoirs publics. Et cela passe par une presse crédible (exemple : enquête MEMIS). La presse à un rôle important dans la gouvernance de l’opinion. Le gouvernement à la volonté d’accompagner la presse. Et, j’invite Madame la Ministre de la Communication à nous offrir un espace d’échange sur les défis et les enjeux de l’émergence d’une presse crédible en Côte d’Ivoire.
Une presse crédible est le socle des démocraties pérennes et des sociétés de prospérité. C’est sur ces paroles et avec l’expression de mes meilleurs vœux à tous pour 2014, que je dis longue vie à la presse ivoirienne.
Bonne soirée à tous et que le meilleur soit distingué.
Je vous remercie.
Hamed Bakayoko
