ABIDJAN -- Une centaine d'Ivoiriens fuyant la guerre en Centrafrique seront évacués lundi vers la Côte d'Ivoire, annoncent lundi des médias ivoiriens.
Face à la détérioration du climat sécuritaire et à la persistance de la violence dans ce pays, les autorités ivoiriennes ont affrété un vol spécial qui devrait ramener les Ivoiriens à l'aéroport d'Abidjan où ils seront accueillis par le président Alassane Ouattara.
De nombreux civils sont "coincés" en Centrafrique dans des affrontements entre combattants de l'ancienne coalition rebelle "Séléka" et les forces d'autodéfense de Bangui, notamment la milice "Anti-Balaka".
Des violences meurtrières liées aux représailles entre groupes à majorité musulmane et groupe à majorité chrétiens font également rage.
Selon la Croix-Rouge, les tueries intercommunautaires ont fait un millier de morts dans la capitale centrafricaine depuis le 5 décembre, date du début de l'intervention française à travers l'opération "Sangaris".
Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) s'est déclaré "alarmé" face à la détérioration de la sécurité dans le pays et s'est dit "préoccupé" sur la sécurité des civils pris au piège dans la crise centrafricaine.
Face à la détérioration du climat sécuritaire et à la persistance de la violence dans ce pays, les autorités ivoiriennes ont affrété un vol spécial qui devrait ramener les Ivoiriens à l'aéroport d'Abidjan où ils seront accueillis par le président Alassane Ouattara.
De nombreux civils sont "coincés" en Centrafrique dans des affrontements entre combattants de l'ancienne coalition rebelle "Séléka" et les forces d'autodéfense de Bangui, notamment la milice "Anti-Balaka".
Des violences meurtrières liées aux représailles entre groupes à majorité musulmane et groupe à majorité chrétiens font également rage.
Selon la Croix-Rouge, les tueries intercommunautaires ont fait un millier de morts dans la capitale centrafricaine depuis le 5 décembre, date du début de l'intervention française à travers l'opération "Sangaris".
Le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) s'est déclaré "alarmé" face à la détérioration de la sécurité dans le pays et s'est dit "préoccupé" sur la sécurité des civils pris au piège dans la crise centrafricaine.